Chapitre vingt-deux

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Deux semaines plus tard.

C'est deux dernières semaines ont était complètement dingue.

J'ai passer (comme toujours) la plus grosse partie de mes journées à la maison.

Mais, depuis deux semaines je suis ravi de rester allonger dans mon lit, avec mon garde du corps blotti contre moi.. ou en moi.

Je suis accro à ce type, accro au sexe et encore plus accro à ces lèvres charnues.

Samantha et dans le jardin, je la rejoins lorsque je la vois monter sur une grande échelle pour cueillir des pommes en haut de l'arbre.

Je prend ça place et monte sur l'échelle pour attraper trois pommes dans ma mains.

- Descends de la ! J'entends ça voix m'ordonner.

Mes yeux rencontre  regard énervé et.. inquiet de Bucky.

- Attend, il y'en a une la.. je vais la chercher !

Je tend ma main pour récupérer la belle pomme rougi vif.

- Miller si tu tombe de cette échelle je te tue !

- D'accord Bucky !

Et je réussi à attraper la pomme, puis je redescends.

Son regard menaçant me scrute.

- Quoi ? Je ne voulais pas que Samantha ce blesse en montant sur l'échelle.

- La prochaine fois aucune de vous ne monte sur cette échelle, je le ferais moi même.

- Tu est mon garde du corps Bucky, pas mon père.

Il glisse un regard vers Samantha qui range les pommes dans un panier, puis il s'approche de moi.

- Heureusement, que je ne suis pas ton père, me souffle-t-il.

Nous rentrons ensuite dans la cuisine pour préparer une tarte au pommes Samantha et moi.

J'épluche et coupe les fruits pour ensuite les plonger dans la crème et étaler la préparation sur une pâte brisée.

Après avoir enfourné tout ça, je m'effraie lorsque mon portable ce met à sonner.

Je répond à mon père.

Nous discutons quelques minutes, il m'annonce devoir partir en France plus d'une semaine.

Mon père me manque.

Je n'ai malheureusement pas le choix que de m'y faire.

La porte d'entrée claque et Sam fait son apparition sourire au lèvres.

Il embrasse la tempe de Samantha puis s'approche de moi pour me prendre dans ces bras.

Ça fait un moment qu'il n'étais pas revenu nous voir, je suis tellement contente de le revoir.

- Comment vas-tu Sam ?

Je resté blotti contre lui tandis qu'il garde un bras sur mon épaule.

- Tout va bien, et toi bébé Miller ?

Assis autour de l'îlot central le regard menaçant de Bucky ce pose sur son ami.

- Salut Bu-

- Ton bras.

Sam fronce les sourcils, et moi également.

Captais América et moi échangeons un regard interloqué.

- Retire ton bras de ces épaules ! Ordonne Bucky.

- Quoi tu es sérieux ?

- Très sérieux.

Sam retire son bras en fronçant les sourcils vers son ami.

A mon tour je le questionne du regard mais il ne laisse rien paraître.

L'atmosphère ce détend quelques minutes plus tard.

Nous passons à table en discutant, Sam nous racontant ces dernières anecdotes de missions et Samantha nous dévoilant c'est secret culinaire.

Il et vingt-deux-heures lorsque nous terminons de faire la vaisselle et le ménage.

Je remarque Bucky grimper les escaliers pour rejoindre ça chambre, je le suit.

Il referme la porte sans m'avoir vue, je frappe contre le bois pour l'avertir de ma présence.

Il rouvre et affiche un sourire en me voyant sur seuil.

J'entre dans ça chambre puis me tourne vers lui les bras croisés sous ma poitrine et les sourcils froncer.

- C'était quoi ça ?

- Quoi "ça" ?

- Ton comportement avec Sam ?

- Il n'as pas à te toucher.

- C'est mon ami !

Je le repousse mais il revient toujours encore plus proche qu'avant.

- Si tu savais à quel point je m'en fou, April. Ami ou pas, aucun homme à part moi n'a le droit de te toucher.

Je m'empourpre, j'affiche une moue boudeuse et  essayant de cacher mes joues rougit, en m'approchant de lui prête à le défier.

- C'est moi qui décide qui est-ce qui a le droit de me toucher ou non.

Il s'approche rapidement en fessant cogner mon dos contre la porte de ça salle de bain.

Son souffle frappe contre mon visage.

- Tu est mienne, April. Ton corps, ta peau, tes lèvres, et cette magnifique nuque et en ma possession.

- En est tu certain ?

- J'en suis certain, affirme-t-il.

Il mène ça main à mon visage qu'il caresse en douceur, son doigt ce pose sur ma paupière fermer.

- Je tuerais chaque homme que tu regarderas avec le même regard que tu pose sur moi.

Le souffle coupé, je louche sur ça bouche.

- T'es yeux sont ma plus grande faiblesse.

- Embrasse-moi.

- À qui appartient tu, April ?

- À toi, je t'appartiens.. à toi, uniquement à toi.

Il fond sur mes lèvres.

J'entour ça taille de mes jambes et il me lance sur son lit en m'embrassant tel un affamer.

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