Chapitre dix

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Trois long jours sont passé depuis le fameux soir en
Boîte de nuit.

Mon père a essayer d'entrer dans ma chambre pour prendre de mes nouvelles mais je n'ai pas accepter qu'il entre.

Samantha est la seule personne qui peut venir.

Et, d'après elle j'aurais fait une crise de panique l'autre soir.

Je crains qu'elle ai raison.

Ma peur de rester prisonnière dans cette chambre plusieurs années encore me gâche la vie.

Je veux vivre ! Voyager, sortir, danser, nager, skier, courir, crier, parler, manger tout et n'importe quoi, aller dans un parcs d'attractions, tombée amoureuse, faire l'amour.

Une vie normal, c'est tout ce que je souhaite avoir.

Pas être enfermée dans une maison à longueur de journée. Être épié par un garde du corps complètement dingue.

Avoir une relation père/fille normal avec mon géniteur.

Je pourrais peux être dormir et rêver de tout ça, de tout ce que je souhaite avoir.

Ma soirée ce termine devant un film sur mon ordinateur portable.

Il est vingt-deux-heure-treize lorsque j'entends un bruit sourd venant du couloir.

Allonger dans mon lit je sursaute dangereusement alors que le bruit est de nouveau plus fort la deuxième fois.

Et je comprend, quelqu'un essaie d'ouvrir la porte, à ça manière.

Bam !

La porte s'ouvre dans un fracas.

La clenche tombe au sol et quelques visse la suivent .

Mon garde du corps vient de briser ma porte en deux coup de pied.

- Vous êtes un vrai malade !

- J'ai dit à votre père que je vous sortirais de cette chambre avant demain matin.

- Bravo, j'espère que vous avez mis assez d'économies de coter pour payer la réparation.

- Ne vous en faite pas pour cela.

Je lève les yeux au ciel.

Debout devant moi, les bras croisés il lève un sourcil à son tour en attendant que je dise quelques choses.

- Sortez de ma chambre maintenant.

- Pas avant que vous me disiez pourquoi vous y êtes enfermé depuis trois jours.

- Ça ne vous regarde pas.

Il s'impatiente, je le laisse me suivre du regard lorsque j'éteins mon ordinateur et le range dans mon tiroirs de bureau.

- Que c'est t'il passer dans cette boîte de nuit ?

Mon envie de m'enferme à nouveau dans ma chambre trois jours de plus et maintenant impossible avant que la porte ne soit réparé.

Et, apparemment je ne peux pas le tuer.. putain de super soldat.

- Qu'est ce qu'il vous est arriver ? Insiste-t-il.

Je me tourne rageusement vers lui.

Si mes yeux pourrais le tuer, il sera tellement mort !

- C'est vous ! Voilà, ce qu'il met arriver ! Vous êtes un homme ignoble !

Mes petites mains frappe son torse dur pour essayer de le repousser mais il ne bouge pas d'un centimètre.

- À part surveiller une petite garce, je ne vois pas-

Je l'arrête dans ça phrase en lui mettant une gifle.

Ma main me chauffe, ce mec est aussi dur que la pierre !

Son regard ce fait furieux, il pose ces mains sur mes épaules et fait cogner mon dos contre la porte de ma penderie.

Je grimace de douleur.

- Je vous déteste, annonce-je.

- Et je ne vous aime pas non plus, mais mon boulot est de vous protéger et de vous suivre ou que vous soyez.

- J'avais bien compris, mais ne vous en faite pas là petite fille gâtée pourrie, la garce et là putain de prisonnière ne restera pas bien longtemps dans votre vie.

Il fronce les sourcils.

- De quoi parlez vous ?

- Je veux dire.. le..le contrat et permanent.

Je mens, je n'avais pas vraiment penser à cela.

Par contre, j'éviterai d'annoncer mes projets à l'homme qui et en charge de ma protection.

Son regard intense me questionne mais je ne dirais rien de plus.

Il ce sépare de moi et sort de ma chambre.

Je suis une fille courageuse, pourtant je n'en peu plus de tout cela.

Allonger dans ma baignoire complètement habillée, je laisse l'eau chaude couler encore un peu avant de l'arrêter complètement.

Une larme incontrôlable coulent le long de ma joue.

Ma vie étant ce qu'elle et, inutile.
Je préfère l'arrêter ici.

Un petit sourire prend place sur mes lèvres avant de plonger entièrement sous l'eau.

Les moments de mon existence passe tel un film dans mon espoir.

Je me souviens avoir était heureuse un moment.

C'était à mon quatrième anniversaire.

Mes deux parents était présent sourire jusqu'aux oreilles.
La petite fille au ailes de fée, elle aussi était souriante.
Je me demande ce qui est arriver à cette petite fille.

Mon coeur commence à affaiblir.

Cette petite fille ne mérite pas de mourir, réalise-je.

Elle mérite de vivre pour elle, de changer les choses. D'être heureuse.

Mon corps ressort de l'eau en trempant le sol.

Je reprends mon souffle.

- Je mérite d'être heureuse, marmonne-je.

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