Bucky
J'avoue ne pas avoir le choix de faire ce boulot, si je veux continuer de travailler pour Fury je dois restez chez les Miller aussi longtemps que je le peux.
Cependant, devoir surveiller une femme qui m'agace autant que celle-ci, commence déjà à me mettre hors de moi.
Lorsque je suis arrivé dans cette maison, j'étais étonné de rencontrer un Elijah Miller gentille et aussi doux qu'un agneau.
Différent du comportement de ça fille.
April Miller.
J'essaie de faire mon job, c'est à dire la surveiller.
Mais, mademoiselle veut me faire la peau.Comme ce matin, il est au alentour de huit-heures alors que je sort de ma chambre apprêtée pour la journée.
La porte de ça chambre et fermer.
- Petite garce.
Je frappe contre le bois mais aucune réponse ne viens quelques secondes plus tard.
Ma main entoure la clenche et la baisse pour ouvrir la porte.
Je passe ma tête dans la pièce mais rien, elle n'y est pas. Mes jambes rejoignent la salle de bain en deux enjambées, vide.
Si elle est sortie en douce je serais son pire cauchemar à partir d'aujourd'hui.
Elle me sort par les yeux !
Rapidement, je descends les marches pour rejoindre la cuisine.
Une délicieuse odeur passe sous mes narines me fessant saliver.
Les bras croiser et les sourcils froncer, je la retrouve derrière la gaziniére entrain de faire cuire quelques choses dans une poêle.
A son tour, elle me remarque. Affichant un grand sourire elle me salut.
Je râle et prend place autour de l'îlot central.
- Vous n'êtes pas d'humeur ce matin, affirme-t-elle, comme tout les jours, elle termine en murmurant ça réplique.
- Je vous ai entendu. Et non, je suis ne suis pas de mauvaise humeur, quand je suis venu vérifier dans votre chambre j'ai seulement cru que vous vous étiez enfuie.
- Et ou vouliez-vous que j'aille à sept-heure du matin ?
- Tout et possible, surtout avec vous.
Dos à moi, je prend le temps de la scruter.
Elle porte encore son pyjama. Un pyjama peut couvrant.
Son tee shirt court me donne une vue sur le bas de son dos nue et, son short dévoile c'est longue jambes doré et lisse.
C'est cheveux attachés dans une queue de cheval haute bouge au rythme de ces gestes.
Le souvenir de son déshabillage d'hier devant moi me reviens.
Elle pivote vers moi et me tend une assiette remplie d'œuf brouillés, de deux tranches de bacon et de tomates couper en cartier.
Ça donne très envie.
- Je pensais qu'il y'avait des employés pour faire la cuisine ?
Elle prend une boucher de ces oeuf puis en plaçant ça mains devant ces lèvres elle me répond maladroitement :
- Sam est malade, elle m'a appeler hier soir en disant qu'elle ne voulait pas venir et nous contaminer.
- Elle habite ici normalement ?
- Oui, ça soeur l'héberge quelques jours le temps qu'elle guérisse.
J'hoche la tête puis à mon tour je prend un morceau de bacon en bouche.
Nous mangeons en silence jusqu'à ce qu'elle le brise en annonçant :
- Nous allons faire du shopping aujourd'hui.- Nous ?
- Vous devez me surveiller et être avec moi à tout moment. Le discours de papa Miller, vous vous en souvenez ?
Je m'en souviens.. malheureusement.
——
Elle me traine de boutique en boutique pendant plus de deux heures l'après midi même.
Je m'installe sur un pouf d'une cabine d'essayage à côtés de la sienne ou elle essaie des vêtements.
- Euh.. monsieur Barnes ?
- Oui ?
- Je.. enfin j'ai un petit problème, annonce t'elle timidement.
Je me met debout en face des grand rideau de la cabine.
- Que ce passe t'il ?
- J'ai bloquer la fermeture de la robe.
Pourquoi trouve t'elle toujours le moyen de ce mettre dans les pires situations ?
Je lève les yeux au ciel avant de lui demander si elle me laisse entrer.
- Vous avez déjà tout vus, oui entrée, me pique t'elle.
La couleur de son ensemble de lingerie bleuté me fait penser à l'océan.
J'ai vue, mais pas assez longtemps, repense-je a hier soir.
Lorsque j'entre dans la cabine je tire directement les rideau et un sourire relève le coins de mes lèvres des l'instant où je vois c'est cheveux ébouriffés.
- Arrêter de vous moquer et aider moi plutôt !
- Qu'est-ce que vous avez fait ?
- J'ai voulue la retirer mais la fermeture et rester bloquer.
Maladroitement je place mes mains autour de ça taille fine pour la mettre dos à moi.
- Vous aimez regarder lorsque je me déshabille, apparement, me nargue-t-elle.
Je reste silencieux en fessant descendre la fermeture mais son regard à travers le miroir me brûle.
Une fois la fermeture ouverte, je relève la tête et rencontre ces yeux vairons.
J'approche de son oreille.
- Je n'ai pas encore tout vue, lui murmure-je.
Puis sans rien ajouter je sort de la cabine.
April Miller est belle, très belle.
Depuis que ma vie et redevenue un temps sois peu normal, j'ai essayer de faire comme tout le monde.
Rencontrer des personnes faire connaissance avec des jeune femmes.
Je n'en et pas eu vraiment le temps avec les missions, mais Sam a voulue me faire sortir.
C'était bizarre mais attrayant de voir que je plaisais encore au femmes, et que les femmes me plaise encore.. comme à l'époque.Mais maintenant qu'April Miller et entrer dans ma vie je dois m'efforcer déjà premièrement : de ne voir qu'une seule femme pendant mes journées.
Et deuxièmement : c'est mon travaille, donc me mettre à draguer la belle blonde qui cherche la taille de la jupe à frange dans le rayon, je dois éviter.Je mes ma vie social sur pause quelques temps, histoire d'avoir fini avec cette histoire de garde du corps.
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My shadow
RomanceUn garde du corps ! Mon père me met un garde du corps sur le dos. Je comprennent qu'avec son boulot de politicien ce soit compliqué, car, mon père a énormément d'ennemis. Mais, je n'ai pas besoin d'avoir quelqu'un qui me coller aux basques vingt-q...