My shadow

Chapitre vingt-sept

Bucky

Nous arrivons a l'adresse.

Le gala ce déroule dans un énorme château moderne dans New York.

Je suit de près April sans la lâcher une seconde des yeux.

Nous entrons dans la salle de réception ou la décoration moderne et chic ce mélange.

Un énorme lustre trône au dessus de nos têtes.

Plusieurs personnes sont déjà installés autour des tables ronde de la salle.

Je reste debout contre le mur a quelques mètres d'April, qui sourit à son père lorsqu'il l'aide à prendre place sur une chaise.

La soirée ce déroule tranquillement.

Tout le monde dine, boivent et s'amuse.

Un homme habiller d'un costume bleue nuit suivit d'une jeune femme portant une robe rose commence un discours pour remercier les personnes présentes ce soir.

Il ouvre le bal ensuite sous un tonnerre d'applaudissements.

Je replace mon gants qui essaie de s'échapper tout en regardant la plus belle femme de ce soir.

Elle me sourit au loin.

Mon cœur rate un battement à c'est magnifique yeux brillant de bonheur.

La soirée bas son plein.

Je fronce les sourcils lorsque je remarque un homme prendre place au côtés d'Elijah Miller et de ça fille.

Il paraît vieux, peut-être la trentaine. Habiller d'un simple costume similaire au miens, il passe une main dans ces cheveux court brun.

Le rire d'April résonne alors que cet inconnu lui raconte je ne sais quoi.

Je me tend.

Ce dernier ce lève tout sourire et tend ça mains vers la jeune femme Miller.

Elle pose à son tour ça mains dans la sienne et tout sourire ils disparaissent sur la piste de danse.

Je me déplace sur la gauche pour les suivre du regard.

Ils s'arrête au milieu des autres couples dansant au son de la musique de bal.

Je serre les dents alors que je remarque les mains baladeuses de cet homme sur les hanches d'April.

Ils danse au rythme de la musique tandis que j'essaie d'éteindre le feu qui brûle en moi.

La jalousie m'assaille.

Elle a l'air parfaitement à l'aise et heureuse avec cet homme qu'elle connaît depuis cinq minutes à peine.

Heureusement pour moi, la musique ce termine rapidement.

Il raccompagne April à ça table et l'abandonne en allons saluer un groupe d'hommes de l'autre coter de la salle.

Monsieur Miller ce lève à son tour et rejoins les toilettes.

Je me précipite vers elle et prend place à ces côtés.

Ma mains sur ça cuisse la serre d'avantage.

- Qui est-ce ?

Je ressens son regard brûler mon profil.

- Tu est jaloux ? Demande-t-elle.

Ma tête tourne vers elle, nos yeux emplis de désir et de rage ce mélange.

- C'est ce que tu essaie de faire ? Me rendre jaloux ?

- Ça marche apparemment.

- Apparemment, affirme-je.

Je m'apprête à me lever lorsqu'elle m'en empêche.

- Où vas-tu ?

- Tuer ce salaud.

- Bucky, tu ne-

- Je t'es dit avant de partir de la maison que je tuerais chaque hommes qui posera les yeux sur toi.. hors, celui-ci à poser c'est mains sale sur ton corps.. je ne le tuerais pas, j'espère seulement qu'il apprendra à vivre sans mains après cette soirée.

- Tu est complètement fou !

Je n'ajoute rien et quitte la table.

L'homme et toujours entourer des autres en pleine discussion.

J'attendrais donc un peu, rien qu'un peu.

April passe a côtés de moi en attrapant mon bras, je la suit dans les couloirs.

Elle s'arrête devant une porte qu'elle ouvre et nous entrons dans une salle de bain vide.

En me poussant dos contre la porte elle referme cette dernière et s'approche de moi.

- Je trouve cela très mignon que tu sois jaloux, mais tu ne coupera les mains de personne ce soir ! Ni jamais !

- Je ne suis pas mignon.

- Bien sur, tu est un homme déterminée, courageux, dangereux, mystérieux et hyper sexy. Mais tu ne pourra pas montrer au monde entier que je t'appartiens en fessant des horreurs pareil.

- Tu m'appartiens, je n'ai rien a prouver a qui que ce soit.

- Si, a moi.

Je fronce les sourcils.

- Cet homme travail avec papa, mon père lui parle souvent de moi. Il voulais simplement faire ma connaissance, un point c'est tout !

- Il était forcé de te toucher ?!

Elle explose de rire.

- Bucky, il est marié et ça femme attend son troisième enfant.

- Je suis sur que ça ne l'aurais pas empêché de te draguer.

Ces yeux rassurant brillent.

Elle s'approche un peu plus de moi en attrapant mon visage en coupe entre ces petites mains.

- Mais il ne l'a pas fait.. et je ne sais pas si tu est au courant mais j'appartiens a un certain Monsieur Barnes.

Bon dieu, cette femme !

Elle n'a aucune idée de ce que je ferais pour elle.

- Maintenant si tu veux bien.. je dois me remettre du rouge à lèvres, murmure-t-elle près de mes lèvres.

Je l'embrasse a en perdre le souffle.