Chapitre quatre

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Mes yeux sont hypnotisé par l'eau bleu turquoise de la piscine intérieure de notre maison.

Je n'aime pas l'hiver et le froid.

Le soleil brûlant sur ma peau le ciel dégager et les journées longue, me manques.

Papa a acheter cette maison des années avant ma naissance, il y a fait construire une piscine intérieure lorsque j'étais petite.
Mais je n'aime pas me baigner alors que le froid prend possession de l'extérieur.

J'ouvre la fenêtre vitrée pour sortir dans le jardin et m'y promener.

Mon garde du corps doit faire son apparition dans quelques minutes. J'essaie de faire durer le moment et profiter de mes derniers moment seule.

Le froid fait rougir le bout de mon nez et de mes doigts.
J'aurais dû mettre mes gants.

Au moment où cette pensée traverse mon esprit je ressens une présence à mes côtés.
Sam ce trouve derrière moi en affichant sont magnifiques et éternel sourire.

- Il est la ?

- Pas encore. Je suis venue apporter tes gants, tu sais pourtant que ta peau et sensible l'hiver ! Me réprimande- elle.

Je sourit et la laisse me mettre les gants en coton sur mes mains.
Elle a raison, mes mains sont souvent très assécher l'hiver.

- Qu'est ce que tu as ma chérie ?

- Je suis prisonnière de ma propre vie, Sam..

- Tu le sais aussi bien que moi qu'il fait cela pour prendre soins de toi.

- Chaque parents sur cette terre veulent prendre soin de leurs enfants, ce n'est pas pour autant qu'ils engage un garde du corps qui surveillera chacun de leurs faits et geste.

- Ça technique est.. exagéré, c'est vrai, mais ton père et un homme qui sait ce qu'il fait. Laisse-lui une chance.

Samantha a raison, malgré que ma colère envers mon père et encore très présente. Je vais essayer de suivre son plan.

J'aime mon père.
Il est l'homme qui m'a élevé je suis devenue qui je suis grâce à lui, je lui en serais toujours reconnaissante.
Malgré que je ne comprenne pas ces décision par moment, j'accepte de me soumettre à ce qu'il me dit de faire.

Même si je doit remettre ma vie social de coter.
( je n'en et pas vraiment, de toute façon.)

- Rentrons, notre nouveau colocataire doit être arriver depuis quelques minutes.

Bras dessus bras dessous nous entrons dans la maison ou la chaleur me frappe en plein visage.

Je me débarrasse de ma veste ainsi que mes gants puis nous rejoignons la cuisine.

Mon père est déjà assis autour de l'îlot central face à un homme assis lui aussi, dos à moi.

- À la voila ! April, je te présente l'homme qui sera en charge de ta protection.

Habiller de noir, l'homme ce lève pour me faire face.
Grand et imposant, il me dépasse d'une tête.

Son regard aussi bleu que l'eau de la piscine me fascine.

- Samantha, voulez-vous bien montrer ça chambre à Monsieur Barnes.

- Bien sur, Monsieur Miller.

Un cou dans mes côtes me fait sortir de ma trans.

- Aie !

- Viens avec nous, nous allons faire visiter la maison à ton garde du corps, m'ordonne Sam.

Je lève les yeux au ciel et la suit jusqu'à la chambre d'amis en face de la mienne.

- Où est la chambre de.. euh..

Il me questionne du regard.

- Vous avez déjà oublier mon prénom ? Et vous êtes mon garde du corps ? On et pas sorti de l'auberge !

Malgré son air professionnel, Samantha rit discrètement en cachant son sourire derrière ça main.

L'homme au côtés d'elle me fusil du regard avant de s'approcher de moi.
Je recule de quelques pas jusqu'à me stopper en me cognant contre le mur du couloir.

- Je suis votre garde du corps, pas votre ami. Donc, je n'ai pas besoin de connaître votre prénom. A moins que je vous trouve un surnom.. attendez une petite seconde.. lesquelles serais le mieux.. petite emmerdeuse ou bien.. princesse pourrie gâtée ?

- Je ne vous permet pas de m'insulter ! Je m'énerve.

- Vous appelez princesse est une insulte ?

Mon côté diabolique prend possession de mon corps.

- À ce que je sache vous êtes mon employé, Monsieur Barnes. Donc aussi longtemps que vous vivrez sous mon toit, vous me devrais respect et considération.

- Bon ! April, rejoins ta chambre je terminerai la visite, nous interromps Samantha.

Dans un dernier regard brûlant de haine j'entre dans ma chambre et claque la porte avec violence.

Moi qui étais prête à faire un effort pour mon père, il a fallu qu'il choisisse l'homme le plus agaçant de tout New York.

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