Chapitre douze

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Bucky

- J'ai essayer de me suicider !

C'est yeux sont remplis de larmes.

Elle entoure son corps de c'est bras et ce laisse tomber au sol de la cuisine.

Assise par terre, le dos contre la porte du placard elle fond en larmes.

Mon coeur ce pince à cette vision.

Je ne pensais pas qu'elle allait aussi mal.

A mon tour, je m'accroupis et m'installe à ces côtés dans un silence apaisant.

Je la laisse pleurer, ce vider de toute la tristesse qu'elle contient.

De longue minutes plus tard, je n'entend plus ces sanglots.

- Ne.. ne dites rien à mon père, ni à Samantha s'il vous plaît.

- Vous savez ce qui m'agace le plus.

Elle tape le dos de ça tête contre l'armoire en soufflant.

- Vous pensez être seule et, prisonnière de cette maison. Hors, Samantha vous traite comme ça propre fille, votre père vous aime tellement qu'il a fait appel à un garde du corps pour vous protéger.

Son visage pâle ce tourne vers moi.

Elle m'écoute elle prend note, je dois continuer à la rassurer.

- Mon imbécile d'ami viens me rentre visite ici uniquement pour goûter à vos pâtisseries.

Enfin, un petit sourire fait lever le coin de ces lèvres.

- Vous n'êtes pas obliger de me dire tout cela pour me faire regretter. Je me déteste d'avoir pensée une seule seconde à ma mort.

Cette fille a tellement l'air dépitée et triste.

- Je ne ferais plus jamais cette bêtise, c'est promis.

Elle m'assure qu'elle n'essaiera plus d'en finir avec ça vie.

Je me sens bizarrement à l'aise pour retirer mon gant.

Lui révélant ma main en Vibranuim.

Je vois ces yeux Vairons scruter le métal en fronçant les sourcil.

- Apres tout ce que j'ai vécu, pendant plus de soixante-dix-ans je suis enfin un homme en paix avec lui même. Malgré tout, il m'arrive de repenser à mon passé et j'en et le cœur déchiré à chaque instant.

Si l'on m'aurais dit il y'a quelques semaines que j'allais me sentir aussi bien en racontant mon passé à cette jeune femme, je ne l'aurais jamais crue. Jamais.

April a vider son sac ce soir, je dois aussi le faire, pour elle.. pour moi.

- Vous repenserais à ce moment plusieurs fois dans votre vie, et cette petite voix dans votre tête vous criera que vous êtes une jeune femme courageuse et forte qui aura la vie heureuse qu'elle veut tant. Ne laissez pas ce moment de faiblesse vous empêcher de vivre.

Un moment de silence prend place entre nous.

L'un à côté de l'autre nos épaules ce frôle au rythme de nos respirations.

- Merci, Monsieur Barnes.

- Vous pouvez m'appeler Bucky.

C'est yeux me font un drôle d'effet, et cela dès la première seconde ou je l'es et rencontrer.

- Merci, Bucky, me souffle-elle.

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