Chapitre trente-cinq

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La porte d'entré claque et Bucky fait son apparition. Il me sourit en me voyant.

Je me lève de ma place et m'approche de lui pour l'embrasser.

Ils était partis pendant deux jours pour une mission Sam et lui.

Je suis rassurer de le voir sans blessure.

- Tu m'a manquer, je souffle contre ces lèvres.

- Tu m'a manquer toi aussi..

J'attrape son avant bras pour le tirer vers les escaliers où nous entrons ensuite dans la chambre.

Bucky attrape ma taille et me lance sur le lit où il me rejoins pour m'embrasser.

Mais je le sens nerveux.

Il ce relève et commence à faire les cents pas devant moi.

Je pince mes cuisses complètement insatisfaite de lui.

- Tout va bien ? Je lui demande.

Mon estomac me serre.

- Je dois te dire quelque choses.

Ma tête tourne.

- Ça fait un moment que j'essaie de te le dire mais.. je ne trouve pas le courage.

Bucky plante ces yeux dans les miens.

Je me sens nauséeuse.

- Je t'aime, April, annonce-t-il.

Une main devant la bouche j'accours au toilettes et vomi dans la cuvette.

- Hé, April ça va ?

Je me sens tellement nul.

Mon dieu, il viens de me dire qu'il m'aimer il y'a une seconde et... il ce retrouve à tenir mes cheveux alors que je rend mon déjeuner.

Je me lève du sol et tire la chasse d'eau.

- Je .. vais me nettoyer.

Il hoche la tête et quitte la salle de bain.

Je retire mon tee shirt puis me brosse et rince les dents au moins cinq bonne minutes.

De retour dans ma chambre, j'enfile rapidement un teeshirt.

Bucky et assis au bord de mon lit, la tête baisser et les mains croisés.

Il relève la tête et me scrute inquiet.

- Est ce ça va tu a -

- Je t'aime, moi aussi Bucky, le coupe-je

Il me sourit.

Ma mâchoire m'en fait mal tant je sourit moi aussi.

Bucky s'approche de moi et prend mon visage en coupe pour m'embrasser.

Nous nous retrouvons dans le jardin quelques heures après avoir avouez nos sentiments.

Bucky et moi marchons main dans la main.

- Comment un homme comme toi peut m'aimer, moi.

Il s'arrête et fronce les sourcils.

- Je te retourne la question.

- Tu est quelqu'un d'ambitieux, généreux, gentil, sur protecteur et très sexy.

Son sourire m'ébloui.

Ça mains glisse jusqu'à ma joue puis ma nuque ou il y dessine quelque choses d'incompréhensibles.

- Je n'ai jamais cru que la vie ou bien le destin me laisserais mourir après avoir subit toute c'est torture sans avoir connu l'amour. Et puis tu a croisé ma route.

- Donc, pour toi je suis une sorte d'ange.

Je rit.

Son regard intense me consume.

- April Miller, tu est tout ce que j'ai de plus chère au monde.

Nous nous embrassons, tout deux follement amoureux de l'autre et heureux.

Je suis enfin heureuse et entourée de personnes que j'aime.

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