Chapitre vingt-quatre

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Bucky

Je ne peu plus me passer d'elle.

Il et au alentour de minuit lorsque je donne deux petit coup à la porte de ça chambre.

Cela fait plus de deux semaines que nos soirée ce déroule ainsi.

Moi venant frapper à ça porte à une heure tardive pour m'allonger à ces côtés et lui faire l'amour, l'embrasser, la contempler.

Je frappe une nouvelle fois mais toujours rien, je décide alors d'ouvrir.

Elle n'est pas là, mais je remarque un morceau de papier poser sur son lit.

Mon nom écrit et souligné en rouge, je lis le mot.

"Je suis à la piscine, rejoins moi"

Je sourit et dévale les escaliers pour la retrouver à la piscine.

Heureusement, aucun employé ne traîne dans la maison le soir.

Samantha a ça chambre de l'autre coter et elle y sort rarement le soir.

Je la remarque au loin, allonger sur l'eau en étoile de mer, nue comme un vers.

Je tousse pour lui faire signe que je suis là.

Elle ce met debout et me sourit.

- C'est bizarre cette sensation d'être nue dans la piscine, déclare-t-elle.

Les lumières sont toute éteinte, la seule qui éclaire sont corps nue et la lumière sous l'eau.

- Rejoins-moi dans l'eau.

Je m'exécute et retire mes vêtement laissant uniquement mon boxer.

Mon corps entre dans l'eau chauffer et je m'approche d'elle.

Une fois devant elle, un sourire coquin prend place sur son visage. Ces mains attrape le tissus de mon caleçon et elle le lance sur la pierre après me l'avoir retirer.

- C'est mieux comme-ça.

Elle entoure ma nuque de ces mains en m'embrassant tendrement.

Son regard s'attarde sur mon bras puis ces lèvres ce pose sur la bordure entre ma peau et le vibranuim.

- Tu n'a pas à embrasser mon corps meurtri.

Elle relève la tête vers moi, son regard me questionne.

- J'ai causer énormément de souffrance dans ma vie, April.

- Tu a causer mon bonheur, me répond-t-elle.

- Je suis un meurtrier.

- Tu a eu un passé très douloureux, Bucky.

- Si par "passé douloureux" tu veux dire tuer des personnes innocentes sans ressentir une once de culpabilité alors oui, j'ai un passer douloureux.

- C'était contre ton gré, tu n'étais pas toi même. Je sais que tout ça te hante encore aujourd'hui, mais il faut que tu continue de vivre. Tu as réussi à surmonter tout ça, maintenant il faut que tu saisisse cette nouvelle chance qui t'es donner.

C'est mots résonne en moi et me font du bien.
Elle me fait du bien.

April, a su voir qui j'étais réellement elle me comprend et me soutien chaque jours depuis que je suis entrée dans cette maison.

Le souffle coupé, je m'approche d'elle et l'embrasse à plein bouche.

Son odeur, ça peau, ces lèvres.. je ne pourrais plus jamais être loin de tout ça, loin d'elle.

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