Chapitre deux

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Il y'a une semaine je vous avais dit à quel point j'aimer sortir et rencontrer de nouvelles personnes.
Sauf, que ce soir je n'avais pas très envie de discuter et simplement de danser et boire à ma soif.

Hors, un sale con a préféré entourer ma taille de ces  mains alors que j'étais au centre de la piste de danse à me trémousser sur la musique.

Je me retrouve assise sur une chaise du poste de police. Mes yeux rencontrent l'heure qu'affiche l'horloge accroché au mur blanc.
Quatre-heures-zéro-sept.

J'ai bien peur que les policiers et contacter mon père pour venir me récupérer.

Mes doutes ce confirme une demi-heure plus tard lorsque la porte claque et que le regard énervé de mon paternel ce pose sur moi.
Un policier nous demande d'entrer dans un bureau.

Assise à côtés de celui qui m'a élevé je reste silencieuse.
Qu'est-ce que je dois dire dans ce cas ? Je n'ai aucun droit de me défendre avec ce que j'ai fait.

- Votre fille a casser le nez d'un homme en boîte de nuit et.. lui a donner un coup de genoux dans les parties intimes.

Il le mérite.
Je n'étais pas en capacité de discuter ce soir il aurais dû le comprendre.

Je sens le regard brûlant de mon père sur ma personne.
Il va me tuer, ou m'envoyer au couvent. Je pencherais plus pour la première solution.

- L'homme a t'il porter plainte contre elle ?

- Non, il est encore soûl mais peut-être bien qu'il le fera demain.

Il hoche la tête.

- April, sort d'ici j'aimerais discuter avec ce policier, seul à seul.

Sans un mot je m'exécute.
Je sais très bien ce qu'il ce passera dans ce bureau une fois que je ne serais plus là.
Mon père va sûrement faire chanter ce pauvre policier pour que l'homme de la boîte ne porte pas plainte.
Et ça marchera, comme toujours.

Le chemin du retour à la maison ce fait silencieusement et, ça me fait peur pour la suite.

Nous arrivons à la maison est sans dire un mot, mon père rejoins son bureau en silence.
Je crains que ce silence prévoit d'être bientôt explosif et dangereux.

———

En plein rêve je m'effraie lorsque j'entends mon nom résonner près de mon oreille.
Mes yeux s'ouvre à moitié pour rencontrer le visage ridée et les yeux brun de Sam.

- Laisse-moi dormir.

- Avec ce qu'il c'est passer cette nuit ? Hors de question, debout ton père veut te parler.

Sam et une employée de la maison. Elle s'occupe principalement des repas et de quelques taches ménagère.
Mon père l'a engagé il y'a vingts-ans, soit un an avant ma naissance.
J'ai grandit avec elle.
Samantha Philips est pire que mon père.
Autoritaire, sûr protectrice, gentille et méchante à la fois.
Des cheveux gris et blanc attacher dans un chignon bas, une tenue basique cacher par son éternel tablier de cuisine.
Sam et petite peut être mesure t'elle un-mètre-cinquante-cinq mais pas plus.
N'ayant pas de mère capable de s'occuper de moi, je considère Sam comme un mentor, un exemple.
Je l'aime énormément.

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