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S U I T E

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Homme 1- levant les yeux vers mes seins avec un sourire suggestif Oh là là, je vois que les surprises ne manquent pas avec toi.

- les bras croisés, une expression de dégoût sur le visage Arrêtez immédiatement cette attitude déplacée. Vous dépassez les limites.

Homme 1- riant légèrement Allons, ma belle, ne te formalise pas. Je ne fais que remarquer ce qui est évident.

- d'un ton cinglant Ce qui est évident, c'est votre manque de respect envers moi et envers les autres personnes présentes dans cette salle. Si vous n'êtes pas capable de vous comporter de manière appropriée, je vous suggère de quitter les lieux.

Les mots sortent de ma bouche avec une fermeté glaçante, signifiant clairement que je ne tolérerai pas un comportement aussi irrespectueux. L'homme me lance un regard moqueur, mais je reste stoïque, déterminée à ne pas céder devant son attitude déplacée.

Homme 1- souriant de manière arrogante Tu es bien coriace, Zahraa. Mais je suis sûr que tu apprécies l'attention, au fond.

- gardant mon calme malgré l'exaspération croissante Vous vous trompez lourdement. Je n'ai aucune envie d'être l'objet de votre attention ou de vos remarques déplacées.

Homme 1- haussant les épaules avec nonchalance Comme tu voudras. Mais avoue que tu aimes jouer à la dure à cuire.

- serrant les dents, luttant pour maintenir mon sang-froid Mon attitude n'a rien à voir avec ce que vous supposez. Je vous demande simplement de respecter mes limites et celles des autres.

Homme 1- lançant un regard provocateur Peut-être que je préfère les femmes qui savent s'amuser un peu, sans se prendre trop au sérieux.

- d'une voix glaciale Vous n'avez visiblement pas compris. Je ne plaisante pas. Maintenant, si vous n'avez rien d'autre à dire, je vous conseille de retourner à vos affaires.

Alors que je m'apprêtais à sortir des toilettes, l'homme me saisit brusquement par le bras, me tirant vers lui avec force. Je me retrouve plaquée violemment contre le mur, pris au dépourvu par sa soudaine agression. Mes instincts de survie s'éveillent alors que je lutte pour me libérer de son emprise, mais sa force est bien supérieure à la mienne. Une vague de panique monte en moi alors que je réalise la gravité de la situation, mais je refuse de céder à la terreur. Je suis déterminée à me défendre, coûte que coûte, contre cet homme sans scrupules.

- tentant de me libérer de sa prise Lâchez-moi immédiatement !

Homme 1- sourire narquois Allez, ma belle, ne sois pas si farouche. Tu sais que tu en as envie autant que moi.

- essayant de rester calme malgré la colère grandissante Vous êtes en train de commettre une grave erreur. Lâchez-moi ou vous le regretterez.

Homme 1- ignorant mes paroles, continuant ses avances Tu es tellement attirante quand tu résistes. Ça ne fait que me donner encore plus envie.

- cherchant une échappatoire LÂCHE-MOI ! ESPÈCE DE CONNARD ! LÂCHE MOI JE TE DIS !

Alors que je lutte contre lui, l'homme continue ses avances impitoyables. Sa main glisse de mon bras vers mes seins, les touchant avec insistance malgré mes tentatives désespérées de me dégager. Une vague de dégoût et de terreur me submerge alors que ses gestes deviennent de plus en plus intrusifs.

Puis, d'une brutalité glaciale, il saisit mes cheveux et les tire en arrière, forçant ma tête à basculer en arrière. Je ressens une douleur fulgurante alors qu'il pose ses lèvres sur mon cou, traçant un chemin humide le long de ma peau, me laissant frissonner de dégoût et d'horreur. Je suis paralysée, prise au piège entre ses mains brutales et son intrusion violente, incapable de trouver un moyen de m'échapper de cette situation cauchemardesque.

Alors que mes tentatives pour le repousser restent vaines, je sens la frustration monter en moi. Dans un dernier espoir de trouver un moyen de m'échapper, je décide de jouer le jeu. Je réprime un frisson de dégoût alors que je pose ma main sur son torse, puis je descends lentement jusqu'à ses abdominaux, feignant un intérêt que je n'éprouve pas.

Un sourire satisfait étire les lèvres de l'homme alors qu'il croit avoir gagné. Je simule un soupir de désir, luttant pour ne pas laisser transparaître ma répugnance. Dans mon esprit, je planifie déjà ma prochaine action, déterminée à mettre fin à cette mascarade le plus rapidement possible et à m'échapper de cette situation cauchemardesque.

Je sens son regard brûlant sur moi, rempli de désir et d'anticipation. Avec une fausse douceur, je passe ma main dans ses cheveux, tirant légèrement pour lui montrer mon propre désir feint. Puis, d'un geste délibéré, je pose ma main sur le décolleté de ma robe, suggérant l'accès à ce qu'il convoite tant.

Son sourire s'élargit alors qu'il interprète cela comme une invitation claire à passer à l'action.

Avec un mouvement sensuel, je fais glisser ma main le long de ma robe, effleurant légèrement ma poitrine pour entretenir l'illusion de désir. Puis, d'un geste rapide et décisif, je sors mon couteau suisse et le brandis, mes yeux exprimant maintenant une détermination froide.

Avant qu'il ne puisse réagir, je plante le couteau dans son abdomen avec une précision chirurgicale, le regardant avec intensité alors qu'un mélange de soulagement et de colère envahit mes sens. Son expression passe de la surprise à la douleur alors qu'il recule, laissant échapper un cri étouffé. Je ne lui laisse pas le temps de riposter, prenant avantage de sa surprise pour me libérer de son emprise et m'échapper de la pièce, laissant derrière moi l'homme agonisant, un rappel brutal de la réalité de ce monde dangereux dans lequel je navigue.

Je sors rapidement des toilettes, mon cœur battant encore fort dans ma poitrine, et je me hâte de rejoindre mon père. Mon esprit est en ébullition alors que je pense à l'incident qui vient de se produire et aux conséquences qui pourraient en découler. Je me sens soulagée d'être enfin sortie de cette situation dangereuse, mais je sais que nous devons agir rapidement pour nous mettre en sécurité. Je me dépêche de rattraper mon père, prête à faire face à ce qui nous attend.

- posant ma main sur l'épaule de mon père, le regardant avec sérieux Bab, il est temps de partir. Il y a quelque chose que je dois te dire.

Bab- surpris par mon ton sérieux Que se passe-t-il, ma chérie ?

- baissant la voix pour qu'il soit le seul à entendre Il y a eu un incident dans les toilettes. Je te raconterai tout en chemin, mais nous devons partir immédiatement.

Bab- fronçant les sourcils, comprenant l'urgence dans mes paroles Très bien, suis-moi.

Nous nous levons rapidement de la table, mon père échangeant quelques mots rapides avec les autres convives avant de nous diriger vers la sortie. Je ressens un mélange de soulagement et d'anxiété alors que nous nous éloignons de cette soirée qui a pris un tournant sombre et dangereux.

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Coucou mes chou qu'étés vous allez bien ? Pour ma part tout va bien. Alors ce chapitre ?? Vous en pensez quoi ? Comme d'hab ??

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Bref je vous laisse.

Suite du chapitre prochainement ..

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