𝐯𝐢. 𝑓𝑎𝑚𝑖𝑙𝑊 𝑙𝑖𝑛𝑒

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𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟔

𝑝𝑎𝑡𝑒𝑟𝑛𝑒𝑙

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"I SAY THEY'RE JUST THE ONESWHO GAVE ME LIFEBUT I TRULY AM MY PARENT'S CHILD

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"I SAY THEY'RE JUST THE ONES
WHO GAVE ME LIFE
BUT I TRULY AM MY PARENT'S CHILD





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                                𝕻𝖗𝖔𝖌𝖗𝖊𝖘𝖘𝖎𝖛𝖊𝖒𝖊𝖓𝖙, les feuilles des arbres viraient vers le rouge puis le doré, alors que le mois de septembre achevait à peine sa troisième semaine. L'erreur aurait été de penser que le temps était passé vite, lorsque Sebastian avait l'impression d'en avoir vu défiler chaque seconde.

Peut-être qu'il aurait mieux digéré les minutes si encore ses recherches avaient pu servir à quelque chose. Sauf qu'à l'image du sablier, lui aussi faisait du sur place. Il avait l'impression de retomber sans cesse sur les mêmes ouvrages, sur les mêmes informations qui ne le menaient à rien. Evidemment, il ne désespérait pas, c'était en tout cas ce qu'il se répétait.

Ominis, quant à lui, était déjà allé voir Anne plusieurs fois depuis le début de l'année. En réalité, c'était même ce qu'il courait faire, la plupart du temps, lorsque la matière de son père figurait sur son emploi du temps. Il comprenait maintenant pourquoi la sœur Pallow avait préféré sa chambre d'hôpital à la maison des Gaunt. Il était maintenant le premier à privilégier St Magouste à la salle de classe de son père.

Il préférait rester dans l'ignorance de la manière dont Elvis Gaunt devait prendre plaisir à endoctriner les esprits malléables de ses élèves. Il connaissait parfaitement sa façon de faire et comptait bien se l'épargner, en mémoire du petit garçon qu'il avait été et qui n'avait hélas pas eu ce luxe. 

Des échos étaient ressortis de cette classe, et la tournure qu'avaient pris les cours de théorie magique était au moins à la hauteur de ce que pouvait espérer un Gaunt. Il semblait que finalement, avec l'aide de son père, Phinéas Black était parvenu à ajouter sa pattes aux enseignements de Poudlard ; une patte bien noire. Il avait par ailleurs, à maintes reprises, entendu des Serpentards saluer cela, et ça le dégoûtait au plus au point.

Dans la Grande Salle agitée par l'effervescence d'un dimanche matin, l'héritier s'était installé aux abords d'une des fenêtres, feuilletant la Gazette des Sorciers en projetant déjà sa prochaine virée à St Mangouste. Seulement, aujourd'hui, Elvis Gaunt semblait ne pas l'avoir entendu de cette oreille, si bien qu'il se précipita sur lui pour lui arracher le journal des mains.

𝐅𝐑𝐀𝐓𝐄𝐑𝐍𝐄𝐋 ━ ℎ𝑜𝑔𝑀𝑎𝑟𝑡𝑠 𝑙𝑒𝑔𝑎𝑐𝑊 ﹙sebastian sallow﹚Où les histoires vivent. Découvrez maintenant