❝ La magie noire semble inoffensive jusqu'à ce qu'il soit trop tard.❞
L'année passée, Sebastian Pallow a tout sacrifié pour perdre encore plus que ce qu'il possédait.
À l'aube d'une nouvelle année à P...
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"WHEN I COME BACK AROUND, WILL I KNOW WHAT TO SAY? NOT TODAY, MAYBE TOMORROW OPEN UP THE DOOR, CAN YOU OPEN UP THE DOOR ? I KNOW YOU SAID BEFORE YOU CAN'T COPE WITH ANYMORE
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𝕷'𝖆𝖘𝖙𝖗𝖔𝖓𝖔𝖒𝖎𝖊 était une discipline enseignée aux élèves de Poudlard pour élargir leurs connaissances sur la magie insoupçonnée qui habitait le ciel. On leur apprenait à lire les astres, la bonne manière de les reconnaître pour mieux les observer. Hélas, jamais on ne leur y avait expliqué la raison pour laquelle pour certains, les étoiles ne s'alignaient pas. Jamais personne n'aurait été capable de dire pourquoi pour Ominis, Anne ou Sebastian, ces foutues étoiles ne brillaient pas.
Les douze coups de minuit avaient sonné depuis peu. La classe travaillait en silence, maintenant que le Professeure Shah avait donné ses consignes.. Isolé dans son coin, Sebastian s'évertuait tant bien que mal à régler son télescope lorsque la vision à travers la lentille se troubla de nouveau. Il décida d'interpréter ce nouvel affront comme le signe qu'il était grand temps pour lui de tout remballer. L'appareil manqua de peu la chute lorsqu'il le détacha à la hâte de son trépied pour le remettre sans la moindre délicatesse dans son étui.
— Monsieur Pallow, à quel moment ai-je laissé entendre que la classe était terminée ? l'interpella sèchement la professeure alors qu'il s'était déjà silencieusement dirigé vers la sortie.
— Il n'y a rien d'autre que des nuages dans votre ciel.
— Vous y voyez seulement ce que vous daignez voir.
— Si je ne dois être bon qu'à voir les nuages, et bien soit ! accepta-t-il avec cynisme.
— Monsieur Pallow, je vous interdis de quitter cette Tour ! héla la professeure.
— Pas d'inquiétude, je n'irai pas bien loin ! railla-t-il, déjà en bon chemin dans les escaliers.
Ce n'était pourtant pas l'envie qui lui manquait. Il l'aurait d'ailleurs fait sans hésiter si le sortilège de Gaunt ne le maintenait pas encore prisonnier dans le château, tels des chaînes invisibles et pour l'instant invincibles.
— Monsieur Gaunt, veuillez donc ramener votre camarade parmi nous, s'exaspéra Shah.
— Non merci, répondit distraitement l'intéressé, trop occupé à feuilleter son manuel pour prêter la moindre attention à la scène qui était en train de se jouer dans la salle.
