12. l'enfer.

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« -alors, tu as peur ? »

Aucun mots de voulaient sortir de ma putain de bouche, j'étais tétanisé, au bord du gouffre. On dit souvent que on passera à autre chose au fur et à mesure du temps, on repousse le deuil, mais quand le deuil qu'on a tant repoussé se trouve finalement derrière votre dos, et que vous êtes impuissant face à la situation, car vous n'avez pas su trouver une solution au problème, le problème s'amplifie, et la faut trouver une solution, et vite !

« - réponds petite trainée ! »

Je déglutis.

« - je te parle ! »

Respire.

« - réponds, petite pute ! »

Trouve une solution.

« - je t'ai dit de me répondre ! »

Il me prit par les cheveux, et se colla à mon dos, il sentait mon coup, pendant que moi je cherchais à fuir. Il me regarda à travers le miroir.

« - tu es belle comme trainé. »

Il glissa une de ses mains le long de mon corps, comme je porte une robe, il avait facile d'accès, alors délicatement, il mit sa main entre mes jambes, il commença à faire de petits va et vient, puis il me murmura :

« - j'espère que t'aime ça, je veux te préparer avant de t'encombrer toute entière. »

J'avais peur, il venait de poser à nouveau ses mains sale, sur mon corps sans vie, il me restait plus qu'une seule chose à faire, attendre, attendre, et espérer que ça se passe vite, comme ça plus vite ça se fait, plus vite je pourrais ré mettre mon masque, et retourner au prés des gens qui pensent que ça va, alors que je suis sur le point de me ré faire abuser par mon ex.

« - gémie pour moi, beauté. »

Je ne fis rien.

« - gémie je t'ai dit, trainé »

Il resserra sa prise autour de mon coup.

« - gémie et je sers plus. »

J'étais obligé de faire se qu'il voulait, sinon j'allais y rester.

« - plus fort. »

Je fis plus fort.

« -bon tu es assez mouillé, on va passer au étapes suivante. »

Oh non...

Il me pencha sur levier, et se mis contre mes fesses.

« - regarde, on n'est pas beau, la ?

-que tu es ennuyeuse comme fille ! »

Je déglutis, lorsqu'il commença à descendre ma culotte.

Il allait le faire ...

Jonas.

Elle fait quoi ? Ça fait 20 minutes qu'elle est sensé venir, je vais partir à sa recherche !

Je me dirige vers le salon, et je croise Rufus, Ariana, mais pas Flaura, bizarre !

« - Ariana ?

-euh oui ?

-elle est ou Flaura ?

-ben avec toi, normalement !

-ben elle est partie chercher à boire, et elle n'est pas revenue !

-laisse moi réfléchir, attend. »

Je la vois qui réfléchit, et tout d'un coup, elle se met à froncer les sourcils, sévèrement !

« - oh putain de merde.

-quoi ? Dis-je.

-y'a qui à cette putain de fête ?

-euh, je vais voire avec Ben. Pourquoi ?

-ou est Ben ? »

Elle ne répondit pas à ma question, et le stress me monta à la tête.

Elle se précipita vers Ben.

« - doucement ma jolie, je sais que je suis apprécié mais bon.

-chut, tu as invité qui à la soirée ?

- euh des gens, beaucoup de gens. Dit-il sarcastiquement.

- qui ?

- alors y'a, toi, moi, Rufus, Jonas, Flaura, Alex...

-attend stop, tu as dit qui apres Flaura ?

- Alex, pourquoi ?

-et merde ;

- Il se passe quoi Flaura ?

- son nom de famille c'est bien : Brown ?

- euh oui.

-putain, fais chier.

-quoi ?

-Jonas, fouille toute les pièces de la maison, Rufus tu viens avec moi, Jonas si tu l'as trouve, protégé la de cet enculer ! »

Elle me laissa pas le temps de répondre, elle était déjà partie, alors je fis se qu'elle m'avait demandé.

Je partis à l'étage, pour regarder dans toutes les pièces de cette maison, Ariana et Rufus, sont partis dans le jardin, je ne savais absolument pas à quoi m'attendre, mais Ariana m'a dit que je ne devais absolument pas faire le jaloux, mais la sauver !

Première pièce, une chambre.

Rien.

Deuxième pièce, un dressing.

Rien.

Troisième chambre, une chambre, visiblement occupé.

Toujours rien.

Au bout de 9 pièces, j'arrive à une salle de bain, on dirait qu'il y a des gens qui occupe la pièce, par précaution, je vais getter un coup d'œil.

FLAURA.

Soudain, alors qu'il était entrain d'enlever son pantalon, j'entendis un bruit, comme si il y avait quelqu'un.

Faites que ça soit Jonas !

« - pour encore plus de plaisir, je ne vais pas nous protéger, tu te souviens, on a déjà testé, t'as aimé ! »

Oh non...

Je ne pourrais pas assumer une fois de plus.

Aller, faites qu'une personne vienne à mon secours.

Au moment où il commence à rentrer en moi, une porte s'ouvre en grand.

C'était lui, il était venu à mon secourt !

JONAS.

En ouvrant la porte, je fis connaissance d'un mec, pas plus grand que moi, pas trop musclé, il avait une tête de sale con, et je vis Flaura, en pleure.

J'interpella le mec :

« - tu fais quoi connard ?

- tu ne vois pas que c'est occupé ? trouve-toi une autre meuf, et une autre pièce !

- non car au cas où tu n'aurais pas vue, c'est ma copine que tu tiens, et j'irais nulle part, venant d'un connard comme toi !

- Répète un peu !

- Je ne vais pas me gêner tiens. »

JonasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant