22. douce caresse.

6 1 0
                                    




Il embrasse si bien, j'en ai des papillons plein le ventre, qui ne demandent qu'à sortir !

Il embrasse et déguste tout mon corps.

Partie par partie, il ne laisse aucune miette du gâteau !

Je frissonne, mais j'ignore si ça provient du petit filet de vent qui se situe dehors, ou si ça vient de l'envi et du désire que me procure Jonas, actuellement.

Je pense que ça vient du plaisir, car la, en ce moment, je meurs de chaud, tellement la tension est palpable !

Il met sa main derrière ma nuque, pour venir déposer ses lèvres si douces sur mon coup, qu'on aurait dit qu'un nuage d'éclaire venait à ma rencontre.

Il ré vient se poser sur mes lèvres.

Ça fait un moment qu'on est la, à s'embrasser, sans avoir fait quelque chose pour autant.

La raison de pourquoi j'ai choisi Jonas.

Pourquoi je l'ai choisi lui, et pas un autre.

C'est que en ce moment même, on peu s'embrasser avec un désire énorme sans rien faire à cote pendant 35 minutes, tant que je lui ai pas demandé de me déshabillé, il ne le fera pas.

A la place, il place ses mains rugueuses sur mes hanches, et il laisse de douce caresse.

On respire si fort,

Un ours pourrait nous retrouver même en période d'hibernation !

Il se place par terre, assis, et moi je viens me placer sur lui, de manière à être sur ses jambes, prés de son bassin, pour mieux l'embrasser.

Il dépose ses grandes mains veineuses, sur mon fessier.

Et moi sur son torse.

La tension devient limite insupportable, fait qu'il me retire le peu de tissue que j'ai sur moi, vite.

Il dépose ses mains au centre de mon dos, comme si mon souhait s'était réalisé.

Il tente bien que mal, de détacher mon soutien gorge, mais sans succès.

Alors je décide de lui venir en aide.

Je passe mes mains dans mon dos, de sorte à retirer les crochets.

Une fois les crochets retiré, mon soutif fini parterre.

Je le regarde droit dans les yeux, et je vois un sourire naitre sur ses lèvres.

Des lèvres que j'aimerai retrouver ailleurs que sur ma bouche.

Il met sa main autour de coup, puis s'approche de mon visage, pour me faire basculer en arrière, et se retrouver au dessus de moi.

- maintenant c'est à mon tour de te montrer de quoi je suis capable ! dit-il.

- j'attends que ça mon ange.

D'un coup sec, avec un seul bras, il retire son t-shirt, et se retrouve en boxer, la, devant mes yeux, au dessus de moi.

Il prend mes hanches, et me fait glisser vers lui, pour être beaucoup plus prés.

Avec ses mains, il retire le dernier bout de lingerie qui recouvrait mon corps : ma culotte.

- vas-y. dis-je.

Il descend tout en léchant mon corps.

Il contourne mon nombril.

Puis continue son chemin, jusqu'à la zone.

Il s'arrête, pour relever la tête et me contempler.

Il me regarde avec sérieux cette fois, comme pour demander mon approbation.

Alors je lui souris pour lui donner le feu vert.

- je veux t'entendre me le dire. Enonça-il.

- tu peux.

D'un coup il dépose ses lèvres chaudes et humides, sur mon entre jambe.

Je gémis de plaisir.

Je me redresse sur les coudes, pour mieux observer comment il va si prendre.

Il commence à lécher, puis faire des vas et viens.

Bien évidemment, je commence à prendre plaisir, alors je bascule en arrière.

Je transpire tellement que c'est bon.

Puis il introduit un doigt.

Puis deux.

Je mets un bras sur la bouche, pour me retenir de crier.

- enlève ce bras ma princesse, c'est plus amusant que les autres sachent que tu es à moi.

- mais ils dorment surement.

- oui, mais pas nous.

Déterminé, je me redresse.

Je plaque une main sur son torse, pour le faire tomber.

Maintenant que je suis sur lui, je descends pour lui retirer son boxer.

Puis je la prends dans ma main.

Je pose mes lèvres dessus, il a l'air de kiffer ça.

Puis il introduit ses mains, dans mes cheveux, de sorte à former une masse de cheveux au dessus de ma tête.

Il est sur le point de tout lâcher, quand une tête s'introduit dans la tente.

- hey Flaura, t'aurais pas vue...

- oh merde désolé, fait chier. Dit-elle ensuite.

Elle sort, tout en aillant un fou rire.

J'avoue que voir sa meilleure amie sucer un garçon qui sort même pas avec, c'est assez drôle.

- désolé. Dis-je à Jonas.

- t'inquiète, ça arrive.

On se regarde, puis on pouffe de rire.

- je reviens, j'en ai pour 5 minutes.

- d'accord, fais vite, j'ai hâte de finir. Dit-il.

- reçus 5/5.

Je sors, pour retrouver ma meilleure amie, entrain de s'essuyer les yeux, parce qu'elle arrive plus à ne pas rire.

- t'as aimé ? dit-elle.

- ça aurait pu être mieux, si t'aurai pas interrompu ça.

- t'aurais pas vue mon doudou ?

- attend t'as interrompu la meilleure partie de baise pour un doudou ??

- tu sais que les doudous ça passe avant tout, même un bon coup.

On explose encore plus de rire, comme si nos reins n'étaient pas entrain de crever de crampes.

- il est peu être dans le coffre ? Tu veux les clefs ?

- avec plaisir, bon j'y vais, amuse toi bien ma puce.

- toi aussi.

Une fois rentré, je retrouve un Jonas assoupi, je l'ai surement épuisé.

Je le rejoins, et me blotti dans ses bras chaleureusement accueillant.

Puis je tombe dans les bras de morphes.

Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : Jun 08 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

JonasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant