FLAURA.
Oh non...
Il va lui faire du mal, Jonas ne sait pas à qui il a à faire ! Alex est quelqu'un de très fort, rancunier, il se laisse ne pas faire, et il cogne pour tout et n'importe quoi, exemple : moi.
J'ai peur !
Il vient de me lâcher, pour faire face à Jonas.
Oh non...
Je me suis faufilé vers la douche, je me suis mise dedans, j'ai rattroupé mes jambes vers ma poitrine, et j'ai mis ma tête dedans, j'étais pétrifié !
Je faisais que pleurer, imaginez, que Jonas perde face à Alex, et que Alex ré vienne finir se qu'il avait pas terminé, en fait je m'en fous de ça, se qui me préoccupe c'est si Jonas va s'en sortir !
Pourquoi il a fallu qu'il ré vienne dans ma vie ? Putain.
Je n'arrive pas à respirer, je pleure trop, j'essaie tant bien que mal de cacher mes sanglots, au cas où ça aggraverai la situation !
JONAS.
Il ne me fait pas peur, j'ai vécu pendant 14 ans avec un mec violant, qui bâtait ma mère, ma petite sœur, qui est morte maintenant, et si j'avais le malheur de répondre, ou de les protéger, j'étais mort !
Bien sur, avec tout ça j'ai suivie des cours de boxe, pour me défendre, j'ai suivie des cours d'auto défense, pour protéger ma famille, et j'ai appris à faire de la moto, pour m'enfuir et mettre à l'abri ma famille.
J'ai toujours été en combat avec moi-même, j'ai jamais été tranquille, j'ai toujours été sur mes gardes, au début je m'en fichais de me faire battre, du moment que ma sœur et ma mère, étaient heureuse, mais depuis qu'elle est morte, j'ai perdu mon sang froid, j'ai planté un couteau dans les reins de mon « père », je l'ai battue jusqu'au sang, mais pour moi c'était pas assez, pas suffisant, il fallait que je venge toute ces années perdu à cause de lui, toute ces années, que Lexie n'aura pas, toutes les prochaines années qu'elle ne découvrira donc pas, le petit copain qu'elle n'aura pas, pas de mariage, pas de belle famille, pas de diplôme, pas de métier, elle voulait partir loin, en Arizona, avec moi sur la moto, même si c'était impossible, c'était son rêve, et son rêve, je le réaliserais pour elle, pour ma petite sœur, que j'aime, et qui n'aura pas de fin heureuse.
« - approche connard de merde ! Dis-je. »
Il se mit à rigoler, je crois qu'il ne sait pas à qui il a affaire !
« - je t'aurais prévenu, mon gars, tu vas perdre !
- prévenu de quoi ? Tu te rends pas compte, que la différence, entre un bourge comme toi, et un pauvre comme moi, c'est que moi j'ai la stratégie, toi tu te grattes juste les couilles devant les films pour adultes ! De plus, toi tu bas pour le plaisir, pour augmenter ton tau de popularité, faire craquer les filles, moi je fais ça pour survivre, je me bas depuis que j'ai 6 ans, je suis née dans ça, alors la différence entre toi et moi, c'est que moi je suis un bon gars qui veut protéger sa bien aimé, toi t'es un arrogant, trop con pour un système sans « filles ».
Tout d'un coup, il souffla, presque aussi bruyamment que quand mon père ouvrait les placards, et qu'il ne trouvait pas d'alcool, ma colère est monté d'un cran, j'avais autant envie de le détruire, que ce connard qui se disait être mon « père » !
Je fonça droit sur lui, il eu même pas le temps de réagir, que je pris ses cheveux, et je balança sa tête dans le lavabo, en béton.
J'ai frappé suffisamment fort, pour qu'il ne le lève que dans 30 minutes.
J'admirais le corps souffrant de cet individu, mis au sol.
Apres avoir réfléchis, une pensais me traversa : Flaura.
« - Flaura ?
-Flaura t'es la ? »
Flaura.
J'entendais rien, j'étais pétrifié, je savais ni le début, ni l'entre deux, ni la fin.
La fin me terrifié, si bien que j'avais mis mon mode auto défense, j'étais dans ma bulle, personne ne pouvait m'atteindre, j'entendais rien, sauf mes pleures, je voulais faire face, ni à la réalité, ni au fictif !
On dirait pourtant, que je tremblais, que une force me secouait, je ne comprenais rien, j'entendais des murmure, mais je ne savais pas quoi.
« Fl... »
« F...l...a... »
« Flaur...a »
"Flaura, tu..."
"...m'entends?"
C'étais lui, il était venue me chercher, je ne devais pas changer de position !
Je senti une pression autour de moi, je me crispa d'un coup.
Mais étrangement, cette prise était plutôt pleine d'amour, et je reconnaissais cette odeur !
Jonas, c'est Jonas.
Tout d'un coup, je sortis la tête de mes genoux, et je vis son doux visage, il était rassuré de me voire, et je l'étais encore plus que lui !
Alors je le pris dans mes bras à mon tour, et il me serra contre lui.
« - je suis tellement contente que ça soit toi et pas lui.
- il ne te fera plus jamais du mal mon ange, je suis la pour toi, tout va bien. »
Sur ces belles paroles, il me prit la main et me leva.
« - il t'a touché ou ?
- sur tout mon Corps, Jonas. »
Soudain, il ferma la porte derrière lui, il me mit sur le lavabo, ou se trouver allonger, au sol, Alex, puis, il se rapprocha de moi, et mis ses mains sur mes Joux, il m'embrassa, alors je fis se qu'il fit.
Puis il descendit, avec sa bouche, le long de ma mâchoire, tout en me laissant des traces invisibles de bisous.
Il fit ça sur tout mon coup.
Sur mes épaules.
Mes bras,
Mes poignets,
Ma poitrine,
Mon ventre,
Mes cuisses,
Et il se stoppa net.
Il me regarda, droit dans les yeux.
« - je peux ? »
Je senti le rouge me monter.
Il fallait que je réfléchisse, j'étais terrifié !
Mais je n'avais aucune raison d'avoir peur, âpres tout, c'étais Jonas, Alex, lui n'aurait jamais demandé !
« - oui. »
Dis-je gêné.
Alors il me sourit, puis descendit vers mon intimité.
Il releva ma robe, vers mes fesses, puis il enleva, avec sa bouche, et ses délicates mains, ma culotte.
Je sentis son doux souffle, se coller contre ma partie.
C'était agréable.
Puis il déposa un premier baiser,
Puis un second,
Un troisième,
Et il fit ça sans s'arrêter,
C'était au delà de se que j'avais pu imaginer.
C'est dur à dire, mais j'aime le sexe, pour la première fois de ma vie.
Mon ange était enfin la.
Mon ange.
VOUS LISEZ
Jonas
Teen FictionAmour, passion, désespoir, meurtre, passé désastreux, sexe, tension, quel est le vrai mot pour qualifier la vie de Flaura, et Jonas, après un passer des plus horrible, cette rencontre fera de leur avenir, une fin joyeuse, ou un vide si profond, qu'o...