15. partout.

12 0 0
                                    




On venait de déposer Ariana et Rufus, chez lui.

Elle avait l'aire contente, mais inquiète à mon sujet.

Jonas avait pris la route pour aller chez lui.

Sur le GPS, il y avait affiché qu'on avait encore 10 minutes de route, il était à l'opposer de chez moi, et je me demandais pourquoi il était venu jusqu'à chez moi, alors que je suis qu'une pauvre fille !

Je faisais que regarder le GPS, ou dehors, mais tout d'un coup, l'itinéraire changea.

« - euh Jonas, tu t'es trompé de chemin, je crois.

  - non t'inquiète pas, je vais juste faire un détoure ! »

Bon, les plans avaient  changé, et moi mon esprit n'avait pas bougé.

Alors que j'étais entrain de percevoir l'horizon, il mit sa douce main sur ma cuisse, et avec son pouce il la caressa.

J'avais le sourire aux lèvres.

Il avait mis la radio, la radio que habituellement j'aurais aimé, sauf que la, j'avais juste envie de me pendre.

Apres 5 bonnes minutes, nous arrivâmes à l'endroit voulu.

Il me rappelait un truc, mais je n'arrivais pas à savoir quoi, comme si mon cerveau voulait me protéger d'un truc.

Jonas se gara et descendit de la voiture le premier, moi j'en étais presque incapable.

Il fit le tour et arriva devant ma portière, pour l'ouvrir, il me tendit sa main, et je sortis.

Je pue alors respirer l'air chaud et frais de la nature en pleine été.

Il devait être 22 heures, mais pas grave, Jonas avait quand même envie de se rouler dans l'herbe.

Il me prit dans ses bras, alors je me retrouva à mon tours au sol.

Il me serra si fort dans ses bras, j'en eu le souffle coupé.

Il me murmura :

« - le premier en bas, a gagné une multitude de bisous.

  - et le perdant ?

  - pleins de chatouille ! »

Puis je le vis qui roulait dans la pente, alors je fis de même, c'était plutôt amusant, il faut se l'avouer !

Bon par contre, ne mettez pas de vêtements blanc !

« - gagnéééééé. Annonça Jonas.

  - ce n'est pas juste, t'es parti avant moi aussi.

  - à moi les bisous, à toi les chatouilles. »

C'est parti pour l'enfer.

Il sauta sur moi pour me chatouiller, j'étais littéralement plié de rire, j'en pouvais plus !

« - OK, stop. »

Rien.

« - Jonas, s'il te plait, stop. »

Rien.

« - Jonas, c'est bon, j'ai dit stop ! »

Tout d'un coup, un souvenir parvint à entrée dans ma tête.


                                                                    *           *

« Flaura, détends toi, personne ne nous verra ici, puis j'ai grave envie de te rendre, maintenant, c'est si, excitant.

JonasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant