𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟒

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Amaryllis

Amaryllis

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          𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄 𝐏𝐑𝐄𝐕𝐔, la journée a été très longue

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𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄 𝐏𝐑𝐄𝐕𝐔, la journée a été très longue. Je masse ma nuque en rangeant les dossiers médicaux des membres de l'escouade tactique dans les tiroirs du bureau situé dans la pièce au fond de l'infirmerie. Je me masse la nuque en n'en sortant alors qu'Hanji s'étale sur l'une des tables d'auscultation. Elle est tellement fatiguée qu'elle dort les yeux ouverts. Elle commence déjà à baver.

Hanji.

Elle se redresse dans un sursaut et manque de tomber de la table alors qu'elle se remet debout maladroitement.

On a fini.

Enfin, soupire-t-elle en se dirigeant vers la porte de l'infirmerie. On va pouvoir aller dormir.

          Et elle quitte le lieu immédiatement. Je peux le comprendre, il est presque deux heures du matin. Et dans les faits, on a pas fini. Je ne lui ai pas dit parce que je pense qu'elle serait devenue folle ou qu'elle aurait fondu en larmes, mais il nous manque encore un patient.

           Un soupir de fatigue m'échappe alors qu'à mon tour je sors de l'infirmerie pour me rendre dans les cuisines, le dossier d'Eren sous le bras. Je prépare mécaniquement mon thé et laisse l'eau bouillir alors que je prie pour retrouver de la reine-des-près dans le cellier. Je glisse une mèche de cheveux gênante derrière mon oreille. Mes pensées partent dans tous les sens, mais convergent toutes vers le même problème.

          La dernière personne que je dois examiner, c'est le Caporal. Et ce n'est pas une mince affaire.

          Du peu qu'a pu me dire Hanji, elle ne l'a examiné qu'une seule fois, et c'était dans des circonstances très particulières. Mis à part cette fois-ci, il a toujours refusé de se faire examiner. Et elle avait raison puisqu'il n'a pas pointé le bout de son nez de toute l'après-midi. Mes lèvres se pincent alors que l'agacement me gagne. Il m'a pourtant dit qu'il était d'accord hier soir.

 𝐋𝐄 𝐓𝐄𝐌𝐏𝐒 𝐃𝐄𝐒 𝐃𝐈𝐒𝐒𝐎𝐍𝐀𝐍𝐂𝐄𝐒Où les histoires vivent. Découvrez maintenant