𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟗

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Amaryllis

Amaryllis

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          𝐌𝐎𝐍 𝐂𝐎𝐄𝐔𝐑 𝐒𝐄 𝐂𝐎𝐌𝐏𝐑𝐈𝐌𝐄 dans ma poitrine alors que je jette un œil à l'horloge de l'infirmerie

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          𝐌𝐎𝐍 𝐂𝐎𝐄𝐔𝐑 𝐒𝐄 𝐂𝐎𝐌𝐏𝐑𝐈𝐌𝐄 dans ma poitrine alors que je jette un œil à l'horloge de l'infirmerie. Cinq heures du matin. Nous sommes rentrées entre les murs hier soir en vue de l'expédition extra-muros. Je n'aurais jamais pensé tant m'inquiéter. Mais depuis hier, le mensonge de Livaï me reste en tête. Pourquoi a-t-il menti ? Il a forcément de bonne raison, je le sais. Mais pourquoi ? Est-ce un mensonge adressé à tout le monde ? Oui. Lorsque je parle de l'expédition à l'escouade tactique, elle est convaincue que c'est une mission de reconnaissance. Alors c'est peut-être collectif.

Où alors, je me monte la tête seule. Peut-être que ce n'est qu'une impression. Peut-être qu'il n'a pas menti, et que je me le suis imaginée. Je suis tellement perdue dans mes pensées que je sursaute lorsque j'entends la porte s'ouvrir. Le matériel prêt à accueillir les derniers soldats, je me tourne vers l'entrée et vois deux soldats qui passent timidement la tête, dont un que je connais. Celui au crâne rasé. Par contre, celui aux cheveux blonds sur le dessus, je ne le connais pas.

Bonjour Connie, je salue le soldat. Et toi, tu es..?

Les joues de l'adolescent s'empourprent alors qu'il balbutie des chose incompréhensibles. Connie finit par lui mettre un coup à l'arrière de la tête, s'attirant les foudres de son camarade.

Jean Kirstein, se présente-t-il.

Bien... Jean Kirstein. Assieds-toi, je commence par toi. Je connais déjà Connie.

Il s'exécute en grommelant mais s'assoit sur la table d'auscultation.

Ça va être rapide, je lui promets en vérifiant ses réflexes — qui sont très bon d'ailleurs. Pas trop stressés ?

On va juste en reconnaissance, il n'y a pas de quoi stresser, me rétorque Jean.

Moi je suis stressé.

 𝐋𝐄 𝐓𝐄𝐌𝐏𝐒 𝐃𝐄𝐒 𝐃𝐈𝐒𝐒𝐎𝐍𝐀𝐍𝐂𝐄𝐒Où les histoires vivent. Découvrez maintenant