P R E D E S T I N E D | Jace Wayland

23• Guerre en approche

Chapitre vingt-trois...
Guerre en approche

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PENDANT UN MOMENT, Hodge cherchait la liberté. C'était tout ce qu'il avait demandé et la raison pour laquelle il avait trahi ceux de l'Institut parce que la seule personne qui pouvait accorder sa liberté était Valentin Morgenstern.

Non seulement Hodge détenait en sa possession la coupe mortelle, mais Maylena Bellerose tout de même.

L'enfant catatonique, ne pouvant pas s'agiter ou crier pour être libéré. Elle ne pouvait pas se défendre comme elle l'avait espéré.

Hodge n'avait rien vu de tel, et il n'y pensait même pas alors qu'il suivait les ordres.

Comme il avait rencontré un membre du Cercle qui l'avait conduit à Valentin et au navire qu'il avait pris en charge et où il tenait le bras des futurs Chasseurs d'Ombres après qu'il les ait fait boire à dans la Coupe Mortelle sur laquelle ses mains devaient se poser.

Hodge était surpris par l'armée de Shadowhunters qui marchait à bord du navire alors qu'il portait la jeune femme dans ses bras alors qu'elle marchait lentement et qu'il n'avait pas besoin de la retenir.

Valentin avait attendu que son plan fonctionne. Il croyait que tous ses plans pouvaient fonctionner. Et tandis que ses yeux se détournaient de la noiraude, Veronica Morgenstern se tenait à côté de lui alors que ses mains reposaient dans le manteau à capuche en laine bordeaux attendant ce que Hodge leur avait promis à tous les deux.

Hodge a posé Maylena sur ses pieds, où il savait qu'elle pouvait se tenir debout alors que Valentin s'approchait de lui, dans l'espoir de bonnes nouvelles.

— Je crois que tu as quelque chose qui m'appartient. Les Morgenstern avaient cru que Hodge ne ferait pas son apparition s'il n'avait pas la coupe mortelle, sinon il aurait été extrêmement imprudent de sa part de montrer son visage.

— Comme nous l'avons convenue... La coupe brillait sous son toucher alors qu'il la tendait joyeusement à Valentin.

— Mon vieille ami.

Valentin avait quelque peu douté qu'il serait capable de poser ses mains sur la coupe mais alors que Hodge la posait dans sa prise, son doute avait changé.

— Tu as bien fait, Starkweather. Tu as mérité ta liberté.

Hodge hocha la tête.

— Merci . Cela fait longtemps que je n'ai pas pu respirer l'air frais. Voir le monde extérieur de mes propres yeux.

Le traître s'était raidi à l'approche de Veronica qu'il avait surpris en entendant les talons fin de ses bottines heurter le sol.

La figure maternelle de Maylena Bellerose n'a pas pu s'empêcher de forcer un sourire vers Hodge alors qu'il admirait la façon dont ses cheveux étaient rabattus en un chignon qui complimentait son visage.

— Eh bien, profite-en Hodge. Le monde est sur le point de changer. Elle pépia avant que ses yeux ne tombent sur sa fille adoptive debout derrière Hodge. Merci d'avoir fait ce que je t'ai demandé. Veronica a remercié le Starkweather.