Cette semaine, ou du moins ce dimanche, il est nécessaire de retrouver notre paradis à tous. Chaque Homme est unique, jamais personne ne pourra se le nier, mais l'amour lui, est tel une roue de carrosse sur les galets, il frappe tout le monde sans se soucier de la forme, la couleur ou le matériau.
Plongez donc dans l'un de mes premiers poèmes d'amour, nous sommes loin ici de mon écriture voulue incompréhensible mais il est important que chacun de vous ressente la passion derrière ces quelques mots.
Pour une lecture optimale il est préférable de lire ce poème en format paysage (option disponible dans les paramètres).
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Je veux...
Je la veux elle, elle me veut moi,
Mais avant de la voir : des vingtaines de mois.
Juste une boisson face à face,
Ou des notes de piano, remplie de grâce.
Ou même des sourires, des rires,
Des regards, des touchés,
Un petit câlin avant le couché.
La chaleur si jolie, à l'avenir,
Je la chercherais plus tôt.
Je la garderais, comme goutte d'eau
Dans un désert que la soif me voit finir.
Une fille, si jolie je la garderais à l'avenir.
La toucher sur ses complexes,
Espérer les faire disparaître,
Mélangeant savoir et absurbe d'être,
Espérant l'intéresser; ne pas être annexe.
Pourquoi elle ? Je ne sais pas,
Seule mon envie de rester ne vie trépas,
Si mignonne, je lui donnerais ma peau,
Si en Alaska elle avait besoin de chaud,
Ou mes os si elle avait besoin d'un toit.
À la semaine prochaine.
