Une épreuve n'est-elle finalement finie que lorsqu'on a terminé d'en apprendre le nécessaire ? On pourrait se dire plutôt que chaque secondes souffertes et survécues sont nécessaires pour grandir. Au final, quand la douleur est passée on se retrouve dans une case d'ennui et de patience de la prochaine aventure.
Le plus important, ainsi, est uniquement de laisser le décompte vers la mort naturelle et comment on réagit face à l'adversité au final ne nous mène pas plus loin d'une réaction à une autre.
Quant à la passivité elle n'existe pas, se laisser porter par le vent n'est certes qu'un choix de repos, de fatigue et de paresse, mais surtout un choix de croyance, de patience et de foi.
Ceci nous mène à ce poème. Bonne lecture. N'hésitez pas à mettre le paramètre "paysage".
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Genoux attrofiés :Brisé entre les astres tu brilles,
Tu reflètes et demeure violet de Wien,
Tu renverse la gravité tel une quille
Malgré les voix en opéra de Vienne.Scindé dans ta profonde psychose,
Deux choses chassent l'osmose
Entre tes pieds qui sont sur terre
Et tes visions dos à la Terre.Que tes crispations sortant de la génisse
Se noient dans ce doux nectar.
Quidam est soûl, lambda est poire
Mais Baudelaire revit: "Que tu me bénisse".Corrompu, mauvais ou politique,
Tes pairs te sont qu'un triptyque ;
Les yeux cernés, oreille en otite
Tu fonds leur secret en Andésite.