chapitre 28

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Sur le tarmac, sous le ciel sénégalais, le jet de DIA TEISEI fendait l'air tel un faucon majestueux. Un cortège imposant, tel un tableau vivant de pouvoir et d'opulence, l'attendait avec impatience. Les voitures de luxe scintillaient sous les rayons du soleil, reflétant la grandeur de leur propriétaire. Les gardes, vêtus de leurs uniformes immaculés, se tenaient parfaitement alignés, prêts à exécuter les moindres ordres de leur maître. La scène était digne d'un spectacle royal, une démonstration de puissance et d'autorité qui ne laissait personne indifférent.

Le jet se pose avec grâce, comme un oiseau de proie retrouvant sa terre natale. Le cortège, tel un ballet orchestré avec précision, se met aussitôt en mouvement. Certains membres de l'équipe s'affairent à décharger les bagages, manipulant chaque valise avec une dextérité remarquable. D'autres se précipitent pour accueillir leur patron, alignés telles des sentinelles prêtes à servir leur maître. Pendant ce temps, des gardes prennent position, scrutant les alentours avec vigilance, prêts à repousser toute menace potentielle. Chaque geste, chaque mouvement, est exécuté avec une synchronisation impressionnante, reflétant l'efficacité et la discipline de l'équipe de DIA TEISEI.

Le cortège, tel un monstre en marche, émerge de l'aéroport, dévorant la route qui s'étend devant lui tel un serpent vorace. Sur l'autoroute qui mène aux Almadies, les passants se rassemblent comme des spectateurs fascinés par le spectacle qui se déroule sous leurs yeux. Certains applaudissent frénétiquement, d'autres agitent des drapeaux, tous scandent le nom de DIA TEISEI avec ferveur, comme une incantation invoquant la puissance et la grandeur. Les motos rugissent comme des bêtes sauvages, escortant le cortège avec une énergie indomptable. Les voitures civiles suivent le mouvement, absorbées par la force magnétique de cette procession majestueuse. Dans ce tourbillon de mouvement et de bruit, le nom de DIA TEISEI résonne comme un hymne, portant la promesse d'un leader puissant et respecté.

Dans une atmosphère chargée d'attente, DIA TEISEI parcourt les vastes couloirs de sa demeure, chaque pas résonnant comme un écho de son autorité. Il s'approche d'une servante, son regard scrutant, cherchant des réponses.

DIA TEISEI : Où est Aïssata ?

Servante, s'inclinant respectueusement : Elle se trouve dans la salle de détente à l'ouest de la demeure, monsieur.

Sans un mot de plus, DIA TEISEI se met en marche, traversant les couloirs opulents et les salles somptueuses. Le silence qui l'entoure contraste avec la turbulence de ses pensées.

Dans un coin confortable de la pièce richement décorée, Nina et ADE s'installent, leurs regards curieux se tournant vers Aïssata, alors qu'ils observent le ballet incessant des gardes patrouillant autour et à l'intérieur de la demeure imposante des DIA TEISEI.

Nina, pointant du doigt vers la fenêtre où des gardes défilent : Pourquoi tant de gardes ici, Aïssata ? C'est comme si nous étions dans une forteresse impénétrable.

ADE, hochant la tête en accord : En effet, c'est assez impressionnant. On se croirait dans un film d'action.

Aïssata, esquissant un sourire amusé : Oh, ces gardes ne sont que la pointe de l'iceberg en matière de sécurité pour la famille DIA TEISEI. Tu sais, ils sont incroyablement puissants. C'est leur manière de se protéger.

ADE, l'air intrigué : Mais après tout ce qui t'est arrivé, est-ce que ça ne te dérange pas d'être constamment entourée de gardes ?

Aïssata, secouant légèrement la tête : Pas du tout. Après ce qui s'est passé, je me sens en fait plus en sécurité avec eux autour de moi. Et puis, vous devriez vous habituer à les voir près de moi. C'est juste une partie de ma nouvelle réalité.

Nina, avec un petit sourire sceptique : Je suppose que tu as raison. Mais quand même, ça fait un peu étrange de t'imaginer te promener à l'université avec tout un contingent de gardes du corps.

Les Liens Inattendus d'Aïssata : Mariée à l'Homme d'Affaires PuissantOù les histoires vivent. Découvrez maintenant