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Il se retourna soudainement de mon coté. Il fixait un peu trop mon visage, j'étais trop gênée.

Il me parle d'une voix grave.

Yassim : t'es belle.

J'étais un peu surprise de ce qu'il vient de dire. C'est pas tous les jours que je reçois des compliments de la pars d'un homme.

Je ne savais pas quoi répondre.

Moi : ah .. euh .. merci

Il rigole.

Yassim : ah c'est bon j'ai compris

Moi : désolé je ne sais pas trop quoi répondre à ça. J'ai jamais eu de compliment de ma part d'un homme.

Il me fait un sourire au coin. Je ne sais pas ça signifiait quoi.

Yassim : peut être me répondre par un bisous ?

Je crois que je rêve. Il me demandait un bisou !

Moi : tu es drôle dis donc.

Il rigole encore. Décidément, on dirait que je suis une humoriste.

Yassim : Nan Farah ce n'est pas une blague.

Moi : comment ça ?

Il ne répondit pas à la question. Un gros blanc se mit en place.

Yassim : Et toi Farah tu me trouves comment ?

Pourquoi il avait l'air si sérieux dans ses questions ?

Moi : moche.

Bon là j'avoue j'ai un peu menti. Il était tout l'inverse de ce que j'ai dis. Il était vraiment beau. Son visage est parfait, son sourire donne envie de l'embrasser, son regard, on ne cesse pas de le regarder. Il était si grand c'est impressionnant pour moi, qui faisait même pas la moitié de sa taille. On pourrait croire qu'il ai 10 ans de plus que moi pourtant il n'a que 1 ans de plus. J'ai jamais vu un homme si beau de ma vie. Et un homme aussi protecteur avec moi (mise à part mon frère).

Yassim : t'es bien là seule à me trouver moche *ricane* toutes les autres me trouvent bg.

Moi : bah va voir les autres alors au lieu de rester là à me parler et perdre ton temps.

Mon coter jaloux est ressorti. J'aime pas de parler des autres meufs alors qu'on sait tous que si il va en parler à une autre, elle ne refusera pas.

Yassim : Ouais j'y avais pensé.

J'étais trop énervée de l'intérieur. Je sais qu'il disait ça pour me rendre jalouse et je n'accepte pas ça.

Moi : très bien pour toi.

Soudainement je senti un poids sur moi. Il venait de se mettre sur moi. Après avoir été l'humoriste je suis devenu un cheval...

Je pouvais admirer ses biceps car il était torse nu. Il en avait des gros pour le décrire. Il doit s'entraîner beaucoup pour en avoir.

Moi : Tu veux quoi ? Tu sais très bien que tu m'écrases, tu fais le double de mon poids et de ma taille.

Yassim : je n'ai pas le droit ?

chronique de Farah : « j'étais la seule qu'il a pu aimer »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant