34

31 2 1
                                    

*Farah*

J'étais assez surprise de le voir à ma fenêtre. Sa tête est apparu comme ça jamais j'aurai cru. Je sais pas comment il a fait pour grimper mais il est très fort.

J'avais une dégaine de clocharde, c'était un peu le mauvais moment qu'il soit là car j'étais au bout de ma vie. Imaginez rester dans sa chambre pendant des jours sans téléphone ?

Le voir sortir de nul part m'a redonner goût à la vie. C'est mon sauveur.

Il était incroyablement beau. Jamais je pourrai me lasser de lui.

Il était essoufflé. En même temps grimper jusqu'à ma fenêtre faut être un escaladeur professionnel.

Je l'ai aidé pour qu'il rentre dans ma chambre.

Il n'a même pas examiner les lieux, il m'a juste regardé. Il m'a regardé passionnément. J'oublierai jamais ce regard. Je suis amoureuse de son regard.

On faisait trop bruit. Mon appart n'a pas des assez de bon mur insonorisé. J'entend toujours les pas de mon frère dans sa chambre.

S'ils apprennent qu'il y a un garçon dans ma chambre, les conséquences seront grave. Encore plus s'ils savent que c'est Yassim.

Moi : chut, il y a mon frère -

J'ai même eu le temps de finir ma phrase qu'il m'embrasse sur la bouche.

Waa j'ai jamais autant apprécié un moment. C'était magique.

C'était nous deux, unis, contre tout le monde.

Plus personne ne pourra nous séparer.

On s'embrassait encore et encore. Comme si que personne pourrait nous arrêter.

Il embrassait si bien que j'en oubliais que c'était ma première fois. J'étais heureuse que ce moment se passe. J'en ai toujours rêvé. C'est un rêve de petite fille qui se réalise enfin.

Mais tout d'un coup, pendant qu'on s'embrassait, la porte s'est ouverte.

...

C'est la fin.


Les conséquences sont les conséquences Farah.


Nous avons choisi de prendre des risques.


Nous avons choisi de prendre le risque de nos propres décisions.


Les histoires d'amour ne se terminent pas toujours bien.

...

Sofiane : PUTAIN J'ESPÈRE JE RÊVE PUTAIN !

Il avait la rage. Sa mâchoire était contracté a en faire ressortir la mandibule. Ses plies du visages contractaient tout son visage.

Il frottait ses mains sur ses yeux pour savoir si c'était un rêve mais ce ne l'était pas. Il y avait bel et bien un homme qui m'embrassait dans ma chambre.

Après quelques seconde de tensions et après les grandes respiration qui traduisaient notre peur et notre fin, il s'avança vers Yassim. Et le prit par le haut de son manteau.

chronique de Farah : « j'étais la seule qu'il a pu aimer »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant