Chapitre 6 (mini chapitre)

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Point de vue : Yam

*Flashback

Je sors de la salle, pris par surprise, mon dos rencontre le mur, une personne a les mains posées sur mon torse, je relève la tête et mes yeux croisent ceux de...

— Naïma, qu'est-ce que tu me veux ? Je lui demande.

— Je veux tes mains sur mes fesses et tes lèvres sur les miennes m'embrassant fougueusement.

Un frisson de désir me parcourt.

— T'aimes le " Dark talk " ? Je lui demande encore.

Elle me fait un sourire en coin.

- J'en conclus que c'est un " oui ", dis-je.

Je l'emmène dans un bâtiment isolé de l'établissement dans une des pièces (ne me demandez pas comment j'ai eu les clés, merci). Je l'assois sur une table et referme la porte, lui retire sa veste en jeans et son crop top, puis la laisse en soutien-gorge. Je déboutonne et baisse sa braguette. Je pars au niveau du bureau du professeur et tire la chaise, je la dépose à environ 1 mètre en face d'elle, j'écarte légèrement les cuisses et la dévore du regard. Elle rougit, c'est mignon.

— Bien... Sais-tu ce que je vais te faire ? Elle secoue négativement la tête alors je reprends; d'accord, tu vas aimer, crois-moi.

Je me racle la gorge et commence d'une voix rauque sombre de désir.

— Je vais t'embrasser, presser tes fesses, les malaxer, caresser tes seins à travers le tissu et te faire gémir avec un suçon, là, je sais que tu mouilles et en frissonnes d'impatience, fais-je sûr de moi.

Elle sert automatiquement les cuisses, puis les rouvre et se frotte contre la table.

— Je ne t'ai en aucun cas demandée de faire ça, elle arrête. Je vais rentrer doucement ma main dans ta culotte quand j'aurai baissé ton pantalon,  ensuite entrer un doigt en toi que je vais mouvoir en t'impatientant, quand je me serai délecté de ton état suppliant, j'ajouterai un second et augmenterai la cadence jusqu'à un 3e, 4e s'il le faut; j'ai l'impression que ta chatte pourra tout prendre. À un moment, lorsque je sentirai ton apogée, je te laisserai frustrée un instant avant d'attaquer tes seins que je prendrai un malin plaisir à embrasser, mordiller les tétons jusqu'à ce qu'ils soient rouges de douleur, mais bien avant tes seins, je te ferai lécher mes doigts trempés de ta propre mouille. Elle gémit et moi, je m'approche d'elle.

— Qu'est-ce que tu attends ? Me demande-t-elle hagarde, dans ses pensées.

— Patience bébé, patience. Je retirerai le peu de tissu qui recouvre encore ton corps, te retournerai et entrerai en toi d'un coup, elle halète, une main tirant sur tes cheveux et l'autre claquant tes fesses, je vais être brutal.

Fin du flashback*

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