Chapitre 17

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PDV Yam

* Flashback

Assis à la bibliothèque, je commence à somnoler devant Les vacances de Jane de Lucy Maud Montgomery. Je ferme le livre, range mes affaires et sors.
Je parcours mon chemin à pieds pour aller à la salle de sport, les gars sont occupés ailleurs alors j'irai seul. J'arrive devant le bâtiment en inspirant profondément, j'expire et m'y introduis. Je salue le personnel et file me changer dans les vestiaires. Aussitôt fini, aussitôt je me mets au travail.
Une demie heure plus tard pendant que je travaille mes abdos, une belle blonde aux yeux gris entre et commence à se dépenser. Pendant deux secondes, nos regards se croisent. Après, qui suis-je pour m'empêcher de la détailler ? ( Non, je ne suis pas un pervers. Merci).

Elle vient discuter avec moi pendant ma pause donc la sienne aussi. J'apprends qu'elle s'appelle Évelyne Jacob's, elle a 20 ans et est en 2e année de droit, cool.

— Ils sont bien dessinés tes abdos, dit-elle.

— Tu veux toucher, que dis-je, tu aimerais ? 

Je la vois s'avancer et là, elle pose ses mains sur mes épaules les longeant jusqu'à mes abdos pour les retracer avec ses doigts.
Je la surprends en train de mordre sa lèvre inférieure, intéressant...
On se sépare ensuite après quelques mots pour faire chacun nos exercices.

Une heure plus tard, j'ai fini, je m'en vais alors prendre une douche avant de quitter les locaux.
Quelques minutes après être entré dans l'une des cabines, j'entends des pas résonner dans la grande salle puis quelqu'un se servir de la cabine à ma droite. Croyez-moi qu'à peine ai-je ouvert la porte que quelqu'un me plaque au mur et referme la cabine. Une Évelyne en serviette devant moi, elle s'en débarrasse et je me retrouve devant son beau corps.

Bonté divine...

Elle commence à m'embrasser et je dépose mes mains sur son fessier en le pressant. Elle passe ses mains sur mon dos et elles se retrouvent doigts sous mes cheveux  les tirant légèrement. Pas besoin de beaucoup de temps, elle est assez mouillée - après vérification - pour que je puisse lui rentrer deux doigts d'un coup, elle hoquette. Je fais des va-et-vient, ensuite un mouvement circulaire sur son clitoris avec mon pouce. À quelques secondes près de venir, je retire mes doigts et elle me met une tape à l'épaule. Je ris et lui dis que je vais chercher une protection.
Lorsque je reviens dans la cabine, elle se met à me sucer, très fort, la meuf m'a rendu la pièce de ma monnaie en se moquant aisément, 'fin bref, on retrouve notre situation initiale.

Ses seins aux tétons si durs accueillent ma bouche et le reste. Un, deux, trois suçons et Billy est dans son pieu. Je la porte, elle enroule ses jambes autour de moi. Bonne prise pour aller loin.
Je lui assène des coups assez violents sans répit. Elle crie presque, j'espère que personne ne nous entend, mais bref, tant pis s'ils n'ont pas de partie de baise improvisée.
On finit vite fait après son extase.

— Je ne suis pas fatiguée, pas rassasiée.

— Tu voudrais être épuisée ?

— À ton avis ...

Je sors chercher une seconde protection dans mon sac.

Après la salle, je suis rentré. Une douche, bonne bouffe, une sieste s'est imposée.

Fin du flashback*


De bon matin en classe, heu, je suis en plein exam là... Rembobine le film.

*Léger flashback

Donc voilà, je me suis réveillé assez tôt - avec les souvenirs de la semaine dernière - parce que les examens blancs commencent aujourd'hui. Si je stresse ? Pas du tout, limite, je suis en train de finir mon parfum là, LOL. Routine habituelle ensuite.

Fin du léger flashback*


Voilà, je suis en train de faire une contraction de texte en français, l'analyse du texte. Puis, Je passe à la petite dissert', à croire qu'après sera l'épreuve des maths. Il va falloir temporiser.

Quelques heures plus tard...

C'était chaud en maths, j'ai pas envie de m'y attarder. Je rentre chez moi après avoir salué mes sujets et file dormir, j'en ai grave besoin après cette journée.
Je me réveille une heure plus tard, je prends une douche et passe à table avec mes parents. On échange des banalités pendant le repas et on parle également - fallait s'y attendre - des épreuves d'aujourd'hui.

Relax man

On en parle fissa fissa (pas envie de m'y attarder je vous dis). On finit de manger et je débarrasse, j'aide ma mère à faire la vaisselle.

— Alors, les amours ? Elle demande soudainement.

Je la regarde genre...?

— Quelles amours ?

— Bah, tu as une copine ? Quelqu'un en vue ?

Depuis quand pose-t-on ce genre de question dans cette famille ?

— Heuuu...non, arrête, s'il te plaît, je commence à être gêné, lui dis-je.

— Toi ? Gêné ? Fait mon père en sortant d'où je ne sais.

— Oui, je crois l'avoir dit il y a moins de deux.

— Dis le mec qui a crié " Layla, je t'aime" dans le centre commercial, disent mes parents en même temps.

— C'est clair, vous vous êtes entendus pour vous liguer contre moi et en plus j'avais 4 ans, vous m'aviez fait un sale coup, je réplique. 

— Un sale coup ? Demande ma mère moqueuse.

Elle sait très bien de quoi je parle, ils le savent tous les deux.
À mes 4 ans - pendant mon 4e anniversaire -, on était allés faire les courses pour organiser un truc avec mes potes (relax, mes parents et moi étions allés faire les courses), donc ma mère avait demandé un micro pour le tester (je ne savais pas why) pendant que mon père me faisait parler. Il m'avait demandé de choisir un prénom de fille au hasard et compléter avec " je t'aime ", que c'était un jeu qu'il voudrait m'apprendre. J'avais 4 ans, assez pensif pour mon âge, mais pensez à ma part de naïveté. Leurs amis passaient avec leur fille alors j'avais pioché son prénom, devinez la suite...

— Layla vient demain dîner à la maison avec ses parents, crie mon père pendant que je file dans ma chambre.

— JE M'EN FOUS, je réplique, très classe.

                                                                                                            ...

Je ne m'en fous plus là, il faut voir qui j'ai en face de moi, ça faisait un moment que je ne l'avais pas vue, et là, j'ai envie de la démonter.
Je vous passe ma journée d'examens et le reste de ma routine.
Nous sommes devant la fameuse Layla, il n'y a pas plus calme que moi dans cette pièce.
Pendant le dîner, les discussions fusent, juste, je ne veux pas de questions d'anecdotes gênantes, rien qui pourrait porter atteinte à ma...

— Ça va avec les examens, Yam ? Me coupe la mère de Layla de mes pensées.

... personne.

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⏰ Dernière mise à jour : Jul 16 ⏰

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