2-La mission

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Bon les filles aujourd'hui j'avais pas trop la motivation d'écrire mais j'ai quand même réussi à à écrire la chapitre en entier et faire la correction donc j'espère qu'il vous plaira aujourd'hui nouveau personne je l'aime trop personnellement mon chouchou vous me dirais vos avis sur ce nouveau personne

Bonne lecture xoxo 💋

                                 ♡

Point de vue d'Elyo

Après qu'elle soit partie en courant sous la pluie pour rejoindre je ne sais qui, je me suis levé et je suis rentré chez moi.

Cette fille m'intrigue particulièrement. Je n'arriverai pas à décrire ce que j'ai décelé dans son regard, mais je n'avais jamais vu ça dans le regard de quelqu'un d'autre.

Et elle est dotée d'une de ces beautés qu'on ne voit qu'une fois dans sa vie. Elle est d'une beauté exceptionnelle.

J'insère ma clé dans la serrure de la porte de mon appartement, mais je sens comme une odeur de brûlé.

Je glisse ma main sous mon pull et récupère l'arme qui était coincée dans mon pantalon depuis ce matin.

Je regarde toutes les pièces de la maison en faisant attention à mes gardes. On ne sait jamais, dans le monde dans lequel je vis, tout est possible.

En arrivant à ma cuisine, je vois une ombre. Je prends de l'élan et lui saute dessus.

— MAIS OH ELYO, T'AS PERDU LA TÊTE !

En reconnaissant la voix de mon meilleur ami, je me lève à la seconde et lui tends ma main pour qu'il se relève.

Stefenne est blond, aux yeux bleus, un bleu pur comme celui d'un diamant. Il est un peu plus petit que moi, il doit faire dans les 1m90. Il a pratiquement la même carrure que moi, une carrure très imposante : épaules larges, muscles, veines qui ressortent sur les bras.

Stefenne est comme mon frère. Il a tout vécu avec moi, il est le seul qui me connaît par cœur.

— J'AI FRÔLÉ L'ARRÊT CARDIAQUE À CAUSE DE TOI, SALE IDIOT !

— Je t'ai déjà dit de changer de ton quand tu t'adresses à moi. Je suis un sale quoi ? Répète pour voir si t'as des couilles.

— SALE IDIOT, dit-il en partant en courant dans la maison.

Je lève les yeux au ciel et lève l'arme que j'avais dans la main. J'enlève le cran de sécurité de l'arme et vise juste à côté de sa tête. Il lâcha un cri strident.

— SALE PSYCHOPATHE !

J'allais lui répondre quand je reçois un appel de mon patron. Je décroche immédiatement et colle mon téléphone à mon oreille.

— Au bureau à 22h. Il ne me laisse même pas le temps de riposter qu'il me raccroche au nez. Connard.

Je regarde mon téléphone et constate qu'il était déjà 21h.

J'accours à la salle de bain sans faire attention à Stefenne. J'enlève mes habits et rentre dans la baignoire. En sortant de la baignoire, je mets une chemise noire satinée avec un pantalon de costume noir. Je peigne mes cheveux noirs en avant et me brosse les dents. J'enfile une paire de Louboutin, prends les clés de mon appartement puis claque la porte sans dire au revoir. Je pris ma voiture et démarrai.

22h20
Bureau du patron.

⁃ La prochaine fois que tu arrives en retard, je te jure de t'envoyer mes hommes.

⁃ Tes hommes ? Ah, tu parles des incapables plantés devant chez toi toute la journée ?

Il lève les yeux au ciel, dépassé par mon insolence et mon manque de professionnalisme.

⁃ Bon alors, je vais faire couler le sang de qui ? dit-il en souriant comme un enfant qui attend avec impatience son cadeau de Noël.

⁃ Tu ne changeras donc jamais, tu es vraiment irrécupérable, dit-il en me foudroyant du regard.

Je lui fais un petit sourire en coin, accompagné d'un clin d'œil. Vous devez peut-être vous dire que je suis insolent avec mon patron et que je lui parle comme s'il était un de mes collègues, mais mon patron est bien plus qu'un simple patron. Il est comme le père que je n'ai jamais eu. Il est le seul à avoir eu confiance en moi quand personne ne croyait en moi.

⁃ Tu ne tueras personne, du moins pas aujourd'hui, dit-il.

⁃ Bah, c'est nul alors. Je n'en veux pas de ta mission de merde, dis-je, prêt à tourner les talons.

⁃ ELYO, CESSE DE TE COMPORTER COMME UN ENFANT, dit-il en me hurlant dessus.

Je rigole et fais demi-tour pour me rasseoir sur ma chaise.

⁃ Ta mission est tout autre. Tu vas devoir t'infiltrer dans un lycée comme professeur d'écriture.

Quand j'ai entendu le mot "écriture", mon visage s'est contracté.

⁃ écri  quoi ?

⁃ Tu as bien entendu, écriture. Tu es plutôt doué en écriture.

⁃ L'écriture et moi, c'est fini depuis bien longtemps et tu le sais mieux que personne.

Je le fixe du regard pour être sûr qu'il ne se fiche pas de moi, mais non, je ne vois pas de mensonge ou de rigolade dans son regard. Il était bien sincère. Il se fout de moi. L'écriture et moi, c'est fini, comme un amour impossible.

⁃ Et pourquoi tu veux que je m'infiltre dans un lycée ?

⁃ Pour surveiller une fille qui se nomme Elena Salvatore, dit-il en sortant un objet de la poche avant de son pantalon de costume.

C'était une photo et la personne qui était sur cette photo était une fille plutôt petite de taille avec un tient bronzer, environ 1m50. Elle avait les yeux en amande d'un bleu turquoise infini comme un tunnel sans fin, de longs cils, un nez fin,, et des lèvres pulpeuses et rose. Elle avait des cheveux noir très longs jusqu'aux fesses.

C'était elle, la fille d'hier. Cette photo devait dater de quelques années en arrière, mais rien n'avait changé chez elle. Enfin si, son regard. Son regard d'avant était beaucoup plus joyeux. Son regard était illuminé comme une boule de joie, rien à voir avec son regard de maintenant. Son regard de maintenant est comme vide, vidé de sens et d'intérêt. Ses yeux sont comme un océan de tristesse dans lequel elle se noie. Elle a l'air d'un corps sans âme. Qu'a-t-elle bien pu vivre dans sa vie pour avoir un tel regard ?

⁃ Une quoi ? Cette fille ne peut pas être une Salvatore, c'est tout simplement impossible.

⁃ Et si avait une fille cachée depuis des années. Tu dois bien te douter que si ses ennemis découvrent qu'il avait une fille cachée, ils seraient capables de la tuer.

⁃ Qui a demandé à protéger cette fille ?

⁃ La personne qui a demandé à protéger cette fille est...

Hate to love [ en cours]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant