13- maman

140 10 22
                                    

Coucou les filles vous allez bien ? La première qui dit que ce chapitre est sexuel je la bloque parce que sayer

Bonne lecture, xoxo 💋

Point de vue Elyo - Hôpital

Je venais d'arriver à l'hôpital hier soir. L'infirmière l'avait prise en charge et m'avait rapidement dégagé, mais je n'avais pas pu me résoudre à partir. Je suis resté sur le parking, incapable de quitter les lieux. Au lever du soleil, je me suis réveillé dans la voiture. Je sors mon téléphone de ma poche et vois qu'il n'est que 7 heures. L'hôpital n'ouvre qu'à 8h30, ce qui me laisse encore un peu de temps. Je démarre la voiture et me dirige vers le centre-ville.

Je me gare en plein centre-ville, sors de la voiture et entre dans un petit magasin de bijoux. Je m'avance vers la vitrine. Il y avait toutes sortes de bijoux, mais un collier retient mon attention. Il était doré, en forme de cœur, avec un petit espace pour y glisser une photo à l'intérieur. Alors que je contemple le collier, une idée traverse mon esprit. Je l'imagine avec une photo précieuse à l'intérieur, quelque chose de symbolique. Ce collier pourrait devenir un trésor personnel, un rappel constant d'un lien ou d'un souvenir important. Je pense à l'offrir à quelqu'un de spécial, sachant à quel point un tel cadeau pourrait toucher cette personne.

Quelques minutes plus tard - Hôpital

J'entre dans la chambre d'Elena. Nesrine, Ines, Alex et Stefenne étaient déjà là.

— Sortez, dis-je sèchement.

— Non, moi je reste, répond Nesrine en se redressant, son ton défiant me tend instantanément.

Je m'approche d'elle dangereusement.

— J'AI DIT DE TE CASSER, QU'EST-CE QUE TU NE COMPRENDS PAS ?

Je suis à bout aujourd'hui, je veux être seul avec Elena. Nesrine s'apprêtait à protester quand je la prends par le bras pour la faire sortir. Je la tire, mais Stefenne s'interpose et me pousse violemment.

— Touche-la encore et je te bute, Elyo.

— Tu sais très bien que je ne ferais jamais de mal à ta copine. Tu es mon frère, donc ta meuf est comme ma sœur, idiot. Je lui demande juste de sortir.

— ARRÊTE DE LAISSER TA COLÈRE TE CONTRÔLER, PUTAIN !

Quand je réalise ce que je viens de faire, je m'approche doucement de Nesrine qui recule, méfiante.

— Eh, eh, eh, doucement, je ne vais pas te faire de mal. J'étais juste en colère parce que j'avais peur pour Elena. Je suis désolé, d'accord ?

— T'es vraiment un petit con, dit-elle en me sautant dans les bras.

— La prochaine fois que tu me désobéis, je te jure que je te bute, Ness.

Elle rigole et quitte la chambre, suivie par Alex, Ines et Stefenne.

Je m'approche doucement d'Elena, la soulève délicatement et m'allonge sur son lit d'hôpital, la serrant contre moi.

— Ne me fais plus jamais ça, Elena, dis-je en embrassant chaque cicatrice sur ses bras.

— Je n'ai plus de famille...

— Tu nous as nous. Ness et Ines sont tes sœurs, Alex et Stefenne tes frères, et Aline est ta nièce. Nous sommes ta famille, Elena. Tu n'avais pas le droit de nous abandonner, dis-je en caressant ses cheveux.

— Je n'ai plus de mère...

— Ce n'est pas grave, on partagera la mienne.

Elle se tourne vers moi, un sourire sincère sur le visage, avant de fondre en larmes encore plus fort.

Hate to love [ en cours]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant