21- les souvenirs

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Coucou les filles bonne nouvelle c'est les vacances donc je posterai plus souvent voir un chapitre par jours

Bonne vacances

Bonne lecture, xoxo 💋

Quand je repris conscience, l'air était lourd et imprégné d'une odeur métallique. Mes tempes battaient douloureusement, et il me fallut quelques instants pour comprendre où je me trouvais. Un plafond bas, des murs de béton nus, et une lumière vacillante dans un coin de la pièce. Je n'étais plus dans la clairière, ni même dehors.

Mes poignets étaient enchaînés à une chaise, froids contre le métal, et chaque mouvement me coûtait une grimace de douleur. La confusion brouillait encore mes pensées, mais un détail revenait sans cesse en boucle : les derniers mots d'Elyo. "Je te donnerais mon cœur s'il le fallait..."

Pourquoi avait-il baissé son arme ? Que signifiait cette phrase énigmatique ? La douleur dans ma tête me donnait l'impression d'avoir perdu le fil d'une histoire que je devais comprendre à tout prix.

La porte métallique s'ouvrit dans un grincement strident, me tirant de mes pensées. Une silhouette pénétra dans la pièce, ses pas résonnant lourdement sur le sol de ciment. Ce n'était pas Elyo, mais l'un des hommes qui m'avait frappé. Il s'approcha lentement, un sourire glacial se dessinant sur ses lèvres.

— T'as fait un sacré spectacle dehors, lança-t-il avec une voix rauque. Dommage que ça n'ait servi à rien.

Je le fixai sans répondre, ma gorge trop sèche pour articuler quoi que ce soit. Il se pencha vers moi, plantant son regard dans le mien.

L'homme se redressa brusquement, puis tourna les talons, claquant la porte derrière lui. Le silence retomba comme un couperet. Chaque seconde me semblait une éternité, et mes pensées dérivaient de plus en plus vers Elyo.

Alors que je tentais de rassembler mes forces pour me dégager de mes liens, une voix familière perça à travers le silence, basse, presque imperceptible :

i la version corrigée et enrichie de ton texte :

« — Bonjour, Elena. »

Je me mis à regarder autour de moi, paniquée, mais il n'y avait personne. La pièce était silencieuse et déserte. Mon regard se posa sur un point en hauteur, une caméra. C'était de là que la voix provenait.

La voix continua, froide et calculée :

« — Si tu es ici, c'est que l'affrontement final approche. Tu ne sais pas encore qui je suis, Elena, mais tu le devineras bien vite. J'ai décidé de te rendre tes souvenirs, non pas pour t'offrir une quelconque rédemption, mais parce que ces souvenirs... sont ton pire cauchemar. Ils renferment tous tes traumatismes, tout ce qui te relie à la meurtrière que tu es devenue. »

Mon souffle se bloqua dans ma gorge. « C'est impossible », murmurai-je, les yeux écarquillés, refusant d'accepter ce que j'entendais.

Un rire guttural résonna à travers les haut-parleurs, glaçant le sang dans mes veines.

« — Oh, mais si, si... Il suffit de te donner la même dose de drogue qui t'a fait tout oublier lorsque tu étais petite. »

Je sentis mes mains trembler, mon cœur s'emballer.

« — Mais... je pourrais en mourir ! » m'écriai-je, la panique m'envahissant.

Le rire s'intensifia, sinistre et sans pitié. Puis, soudain, la caméra explosa dans un crépitement assourdissant. Avant que je ne puisse bouger, l'homme qui était venu plus tôt pénétra à nouveau dans la pièce. Cette fois, il tenait une énorme seringue entre ses mains.

Hate to love [ en cours]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant