8-Le kidnapping

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Coucou les fille ce chapitre contient 1800 mots donc il est un peut plus long que d'habitude.

« l'eau d'une larme peut éteindre le feux d'un cœurs »

Bonne lecture xoxo💋

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Le lendemain matin.

Après notre soirée pyjama, les filles sont parties tôt pour les cours. En me levant, maman m'a insultée et frappée en disant : « Tu es une dévergondée ! Qu'est-ce que j'ai bien pu faire pour avoir une fille comme toi ? Je t'avise de ne plus jamais ramener tes copines, ces prostituées, sous mon toit. »

Après cette altercation, j'ai simplement enfilé des Ugg et je suis sortie en pyjama pour aller m'acheter des livres. Lire est mon échappatoire. Lire me fait ressentir des choses que rien d'autre ne me fait ressentir. Je me sens vivante quand je lis.

Arrivée à la librairie, je prends les escaliers et monte au deuxième étage, dans la section romance psychologique. J'aime tellement les romances psychologiques, je me reconnais dans les personnages et ça me fait me sentir moins seule.

— YES ! TroubleMaker Deux est sorti ! hurle-je dans la librairie.

Tout le monde se retourne pour me regarder. En sentant autant de regards sur moi, je commence à stresser. Je prends vite mon livre, descends les escaliers en furie et vais à la caisse.

Je paye mes articles et sors du magasin quand mon téléphone sonne. C'était un numéro non enregistré. Je décroche.

— Allô ?

— J'espère que t'as pas oublié que ce soir à 19h je viens te chercher. Ne sois pas en retard.

— Et si j'ai pas envie de venir ?

— Tu viendras quand même.

— Va te faire enculer profondément.

Il rigole. Son rire m'énerve, tout chez lui m'énerve. Je n'avais qu'une envie, l'égorger.

— J'ai pas de tenue pour y aller de toute façon.

— Ça tombe bien, je t'y emmène.

— Je ne suis pas chez moi.

— Je sais, idiote. Je suis derrière toi.

— Ose encore m'insulter et je te jure que tu te prends un coup dans les couilles.

— AHHHH AU SECOURS J'AI PEUR, LA MÉCHANTE ELENA VA ME FRAPPER.

Je lève les yeux au ciel. Il est vraiment idiot. Je me retourne et le vois dans une Porsche noire. Elle était juste INCROYABLE.

Je m'avance vers la voiture et ouvre la portière côté passager. Je m'assois et mets mon livre sur mes genoux.

— Tu lis ?

— Tais-toi pour l'amour de Dieu.

Il rigole et démarre la voiture tellement vite que je reste scotchée à mon siège.

— RALENTIS !

En entendant mes mots, il fait un sourire en coin et accélère encore plus. Arrivés en plein centre-ville, ça faisait déjà plusieurs minutes qu'il cherchait une place. Voyant un homme qui venait de garer sa voiture et qui s'apprêtait à descendre, Elyo rapproche la voiture.

— Laisse-moi ta place.

— Vous êtes un rigolo, vous, dit l'homme en rigolant.

— À votre place, je ne rigolerais pas trop. Vous savez qui je suis ? dit Elyo en sortant son arme.

Hate to love [ en cours]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant