C'est toi que je veux 

𝐂𝐎𝐔𝐏 𝐀𝐒𝐒𝐔𝐑𝐄

Chapitre 22|| Coup assuré AVERTISSEMENT : VIOLENCES VERBALE .

PVD HERA :

Après avoir fini de ranger le psychopathe prend mon plat pour le jeter à la poubelle je regarde sur la table de chevet de l'hôpital et je vois qu'il y'a un couteau en bois qui vient du sac de starbuck je le prends directement puis je le cache en dessous de mon oreiller .

- alors, tu as aimé ce repas ?

- oui dis-je en roulant des yeux. C'est quand tu vas me re relâcher. ?

- tu es déjà pressé de partir mon ange ?

- oui comme ça je vais plus revoir ta sale gueule !

- oh tu me fait mal au cœur en disant dit -il en mettant ses sur son cœur.

- tant mieux !! Tout ce qui est sûr, c'est que je vais jamais jamais jamais jamais tomber amoureuse de toi même si tu me viole ou tu me torture !

- mais enfin pourquoi tu penses à ces choses terribles ? Je vais jamais te faire du mal mon ange ! Et p-

Soudain des cris et des tir commence à surgir de partout dans l'hôpital le psychopathe sort son arme de sa poche.

- tu bouge pas est-ce que c'est bien clair ?

- qu'est-ce qui se passe ? C'est quoi, ce putain de bordel ?

- j'en sais rien, mais reste ici !

- s'il te plaît, desmenottes moi !

- pour que ensuite tu t'échappes ? C'est mort, je viens te récupérer après de toute façon !

Il part de la pièce en me laissant seul  dans la chambre d'hôpital.

PVD RYAN :

Je progresse prudemment à travers l'arrière de l'hôpital, mon équipe dispersée pour couvrir plus de terrain. Les lumières sont faibles, les couloirs désertés. Chaque pas que je fais est calculé, silencieux. Mon cœur bat à tout rompre, sachant qu'elle est quelque part à l'intérieur, et je ferai tout pour la sauver.

Soudain, je tombe face à face avec un garde, un homme massif, son regard aussi froid que l'acier. Nos yeux se croisent, et en une fraction de seconde, il se jette sur moi, tentant de m'étrangler. Je l'esquive de justesse, et nous engageons une lutte féroce. Je bloque son coup de poing avec mon avant-bras avant de riposter avec un coup direct à sa gorge. Il vacille, mais revient à la charge. Je lui assène alors une série de coups de genou dans le ventre, suivis d'un coup de coude à la tempe. Il titube et s'effondre au sol, sans vie.

Je reprends mon souffle, mon cœur battant à tout rompre, mais je n'ai pas de temps à perdre. Je m'enfonce dans l'hôpital, mes pas résonnant sur le sol carrelé. Le bâtiment est étrangement calme, les chambres des patients plongées dans un silence angoissant.

Je longe les couloirs, vérifiant chaque pièce. J'ouvre les portes une à une, jetant un coup d'œil rapide à l'intérieur, à la recherche de n'importe quel signe. Finalement, je tombe sur une chambre.

Je continue à avancer dans les couloirs sombres, vérifiant chaque chambre par la petite fenêtre de la porte. Mon cœur s'emballe chaque fois que j'aperçois une silhouette, mais à chaque fois, ce n'est pas elle. Je serre les dents, refusant de céder à la panique.

Je m'arrête devant une énième porte, jetant un coup d'œil rapide à travers la vitre. Et là, mon cœur manque un battement. Je vois sa tête, ses cheveux en désordre, son visage fatigué mais vivant. C'est elle.