LES CICATRICES DU PASSÉ

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Repartant dans le passé, précisément dans le village qui se trouve dans la forêt bestiale avant qu'il ne tombe en ruine.

Après que le bestial chien ait jeté Kurama dans le terrain vague. Dix ans plus tard, âgé de dix-huit ans, Kurama vagabonde dans le village en évitant le regard des gens pour ne pas être pourchassé. Ses vêtements sont déchirés de tous les côtés, ainsi que son corps crasseux et maigre, elle se nourrit des restes des poubelles du village. La nuit, Kurama dort derrière un restaurant dans un carton et juste à côté il y a la forêt. Kurama monte discrètement sur le toit du restaurant pour voir les clients qui rentrent à l'intérieur. Le restaurant est beaucoup plus animé le soir, avec plus d'ampoules allumées, les clients sont assis à l'intérieur tout comme à l'extérieur, derrière le restaurant on peut voir la forêt à perte de vue. À l'extérieur il y a plusieurs animaux, le paysage est magnifique, sans oublier la pureté de l'air frais qui adoucit l'atmosphère.

 À l'extérieur il y a plusieurs animaux, le paysage est magnifique, sans oublier la pureté de l'air frais qui adoucit l'atmosphère

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Comme tous les soirs, Kurama monte sur le toit pour observer les clients du restaurant. Deux bestiaux sortent du restaurant en riant, un bestial chien et un bestial abeille.

Le bestial abeille : ahah! Les humains sont peut-être débiles, mais la bouffe japonaise est trop dingue.

Il le dit d'une voix joyeuse tout en regardant le bestial chien qui fixe le toit du restaurant.

Le bestial abeille : poto!

S'exclame-t-il en secouant le bestial chien.

Le bestial chien : ouais! Ouais!

S'exclame-t-il en regardant son ami.

Le bestial abeille : je peux savoir pourquoi tu fixes le toit?

Le bestial chien : j'ai cru voir quelqu'un sur le toit, je dois aller voir derrière le restau!

Il le dit tout en regardant le toit du restaurant.

Le bestial abeille : derrière le restau, il n'y a que la forêt et des animaux.

Il le dit tout en regardant son ami qui s'en va.

Le bestial chien : je préfère vérifier!

S'exclame-t-il tout en partant. Le bestial chien se dirige derrière le restaurant et voit Kurama de dos, puis revient vers son ami en courant.

Le bestial chien : partons d'ici.

Il le dit tout en étant essoufflé.

Le lendemain soir, le bestial chien repart derrière le restaurant mais Kurama n'est pas là, déçu, il se retourne pour partir, mais en se retournant, il voit Kurama.

Le bestial chien : bonsoir !

S'exclama-t-il tout en affichant un léger sourire.

Kurama : qu'est-ce que tu fais là ?

KIMÉSASHINOù les histoires vivent. Découvrez maintenant