CHAP34/Epées de Bois

68 6 7
                                    


WILL

À mon grand étonnement, je fis un rêve.

Je me demande souvent comment mes camardes demi-dieux qui en ont l'habitude distinguent les rêves prophétiques des rêves ordinaires. Nico est un expert en la matière. Il se balade dans les songes avec une carte vip.

Bon, il se trouve que là, j'avais peu de doutes. Je n'aurais probablement pas pu inventer ca tout seul.

Viollette étais en filature dans le palais d'Hadès.

Nous avions laissé la chasseresse aux champs de l'asphodèle après de crash du train avec pour mission de récupéré notre camionnette. Il faut croire qu'elle avait réussi à atteindre le palais, non sans difficultés si j'en croyais son bras et le bandage ensanglanté qu'elle portais.

Elle avançait doucement dans les couloirs sombres, son couteux de chasse en main. Je notais avec inquiétude qu'elle était blessée à son bras d'arme. Ça me fit un coup au cœur de la voir si mal en point.

Pourtant, elle semblait savoir ce qu'elle faisait, se dirigeant de sa démarche de chat dans les dédales de marbres sombres, aux aguets. Elle a fini par crocheter savamment une porte. J'avais la sensation qu'elle ne l'avait pas choisi au hasard.

Une fois derrière la porte, Viollette souffla un grand coup. Elle s'était introduite dans le palais d'Hadès.

Je découvrais la piece en même temps qu'elle. C'était une grande chambre, qui ne détonnais pas vraiment de la déco générale de chez leur Majesté de la Mort : Des grandes colonnes de marbre noir, des meubles ouvrager dans les mêmes tons, et quelques bibelot squelettiques.

A l'exception du mur du fond étais une bais vitré d'un étrange modernisme. Les paysage infernaux s'étendais j'jusqu'à l'horizon, ou je cru distinguer les épaisses murailles qui entoure le royaume, et le Styx.

Viollette fit quelque pas dans la piece, à l'affut. Elle avait mis une chaise devant la porte, la condamnant. Mais cette chambre était recouverte de poussière, personne n'y avait mis les pied depuis des mois. Je doutais que ce soit le genre d'endroit où les gens débarque à l'improviste. Violette devait le savoir.

Elle inspectait la chambre méticuleusement. Elle cherchait quelque chose.

En y regardant de plus près, je tiquais sur des détails. Le lit était défait, des ventent trainait par terre. Des livres ouverts s'entassaient dans les coins.

Viollette c'est rapprocher de la commode. Elle était surplombée d'un grand miroir, mais on avait jeté un drap dessus. Des grimoires et des os de petits animaux y prenais la poussière.

Mentalement au-dessus de l'épaule de Viollette, je la regardais fouiller dans les tiroirs pleins de vêtements, jusqu'à ce qu'elle tombe sur celui qui étais fermé.

- Bingo, c'est elle dit à elle-même.

Viollette crochetas la serrure du tiroir aussi facilement que celle de la porte. Elle fouilla dedans quelques secondes avant d'en extirpé un sachet transparent contenant des genres de barres de céréales. De l'ambroisie.

- Merci ... Mes dieux merci, a-t-elle sangloté.

Elle s'est assise par terre et à manger la barre d'ambroisie comme quelqu'un qui en avais vraiment besoin. Savourant son gout. Les larmes aux yeux. J'ignorais quel parfum de son passé prenais pour elle la nourriture magique, mais ça la touchait.

J'eu de la peine pour mon ami exsangue et seule. J'avais hâte qu'on soit réuni.

Une fois remise sur pied, elle a commencé à inspecter les étagères pleines de livres. Ils avaient l'air tous anciens, et un peut flippants. Une collection de grimoires de sorcière.

SunlightOù les histoires vivent. Découvrez maintenant