Le mystère de la nuit.

L'amour...

J'ai la rage. Rare sont les loups garous qui en ont. Je mordis toujours les barreaux. Jayson demanda de me soigner. Mais il n'avait plus de traiement pour cela, il y avait à Stadforde, une ville voisine. Je grondais en passant mon museau entre les barreaux. L'homme en blanc me regardait, Jayson me regardait en disant d'attendre son retour. Ma réponse comme d'habitude. Gronder.

La nuit passa, je mordis et marcharnais sur ces foutues métals, je terrorisais les animaux, je grondais, huralis tout la nuit. La fatigue n'eut aucun effet sur moi. Je grondais mordant les barreaux. Je pus tordre une barre mais pas tout. Lorsque l'homme en blanc entre avec Jayson. Il tendit ce pistolet devant moi. Je grondais en panssant mon morceau entre les barreaux en tentant de le mordre aucune chance. 

Il tira sur moi et peu de temps, je m'endors. Je me réveillais, un peu mieux mais j'avais une faim de vampire sur moi. J'éais toujours en loup, je vis Jayson qui me parlait. Je suis toujours dans la cage. L'homme n'est pas là. 

- Lilith, ça va? demanda-t-il  en me tendant sa main.

Je ne grondais plus, j'avais les yeux braqués sur son cou. Il toucha mon museau mais je regardais toujours son cou. Il ouvrit la porte, je sautais sur lui. Il ne fit rien et me regardait. Je repris ma forme humaine.

- ...faim, dis-je avec ma george sèche.

Il tourna la tête, je lèche la morsure et mordis. Ce sang unique qui coule en moi, mon coeur bat à toute vitesse, je sens une chaleur en moi. Je me sens libéré d'un poid, je me levais et vis Jayson qui souriait. Il m'entoura de ses bras. Il me serra contre lui.

- Si tu savais comme j'étais inquiet. Je t'ai cherché partout.

Je restais silencieuse, je me souviens de la colère et de ma transformation dont la rage m'a forcé à être un loup. Je touchais mon dos et vis des bandages. 

- Le vétérinaire t'a soigné, dit Jayson.

- Vétérinaire? demandais-je surprise.

- Oui...En fait il est un loup garou aussi mais comme il a su que je te cherchais, il m'a conduit à toi.

- Oh...J'étais si horrible que ça, grimaçais-je en pensant une mauvaise image de moi.

Il rigola et me serra contre lui. Il me caressa les cheveux. Je voyais vraiment toute l'inquiétude qu'il a eut. Je sentais la fatigue m'emporter. Je pris sa main en sommeillant.

- ...reste avec moi...

Ce fut les seules mots qui sortient de bouche avant ce sommeil. 

Je sentis l'odeur de menthe, je sentais l'odeur de mon bien aimé près de moi. J'ouvris mes yeux faiblement. Je le vis endormis. Je touchais ses yeux sombres, il gronda et me prit dans ses bras toujours endormis. Il faisait jour. Je restait là à sentir son odeur et emprofiter ce contact. 

Je me réveillais. Je me levais brusquement. Et ben! Je suis une vrai dormeuse. Je ne vis pas Jayson. Il a dû partir. Je me changeais. Je mis un haut d'où on voit mon ventre et un short noir, je fis une queue avec mes cheveux. Je mis de ma musique en commençant à nétoyer. Je passais la chiffon sur les meubles du salon en dansant.

Lorsque ma chanson préféré passa. Je chantais ma chanson " Monster ",  je dansais. Je passais mon balais tranquillement en chantant. Je forçais le song. Je frottais le sol avec ma serpière après le balais. J'arrosais la plante sur la fenêtre. Lorsque je sentis des bras autour de moi. Je regardais et vis Jayson tout souriant torse nu. Il m'embrassa.

- Bien réveiller à ce que je vois, dit-il en m'embrassant dans le cou. 

Je rigolais. Il a tout vu. 

- Où tu étais? demandais-je en me retournant vers lui.

- Dans la salle de bain, je prennais mon bain et comme j'ai entendu la musique, je ne voulais pas ratter une miette pour voir ma femme chanter et danser. 

Il me taquine toujours celui-la. Je vis des gouttes d'eau sur sa peau, je léchais l'eau. Il frissone, je souris. Il semble si sensible. 

- Et moi, j'adore te voir sensible, souriais-je en fuyant.

Il put me rattraper et il me chatouilla. Je mourrais de rire dans le fauteuil en cherchant un accès mais il me chatouillais tellement que je suis à bout de souffle. 

- Dit pardon, plaisant Jayson en souriant.

- Non, rigolais-je en prennant ses mains.

Il se mit au-dessus de moi. Il souria et déposa un baiser sur mon nez. Je souriais. 

- Je ne pourrais pas vivre sans toi, dit-il en m'embrassant.

- Moi non plus.

On joua un peu, il faisait à manger et la journée se passa dans la tendresse.