Chapitre 8

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Fédé: J'ai reconnus la voix de Diego !

Léon: Ça ne fait pas longtemps qu'ils sont partis.

Cami: Venez je vous emmène chez Diego !

Maxi: On est trop Camila tu prends Fran, Ludmi, et Marco et moi Brodwey, Fédé, Andrès et Léon !

Tout le monde: On y va !

On se dirigea vers les deux voitures, le trajet dura à peine 10 min, Fédérico avait vu juste. Devant chez Diego il y avait sa voiture noire . Je sortis de la voiture en vitesse avec Fédé et Marco. On sonna, Diego ouvrit la porte et il reçu un poing dans la figure façon Fédérico. J'en profita pour fouiller dans la maison.

Léon: Vilu ?! VILU ?!

J'entendis des coups venant d'un armoire. Je montai dans une chambre et ouvra la grosse armoire. Je découvris Vilu au bord des larmes, la bouche, les mains attachés et la moitié de son t-shirt déchiré. Je la détachai rapidement et la pris dans mes bras. Elle tremblait de peur.

Léon: Chut.. C'est bon mon ange, je suis là. dis-je en la rassurant

Vilu: J'ai eut si peur ! Diego est malade ! Je sais pas ce qui lui prends ! Il a voulu me violer ! dit-elle partagée entre la colère et la tristesse.

Léon: ...

Vilu: Léon ?

PDV Vilu:

Il ne répondit pas et entra dans une fureur, il enleva sa chemise où il avait un débardeur en dessous et me le déposa sur mes épaules. Il descendit en courant, je fermai la chemise et j'essayai de le rattraper. Mais c'était trop tard à la minute où je descendu, je vis Diego contre le mur, le nez qui coule plein de sang. Je regarda Léon qui avait la main en sang. J'accours vers lui.

Vilu: Mais pourquoi tu fais ça idiot ?!

Léon: IL A FAILLIT TE VIOLER ET TU LE DÉFENDS EN PLUS !

Vilu: TA SANTÉ EST BIEN PLUS IMPORTANTE QUE CET ABRUTI !

Léon: Jamais je le pardonnerai !

Les autres entrèrent et assistèrent à la scène choqué, je leur raconta et Fédé accourut vers Diego.

Fédé: Je vais en finir avec lui. cria t-il en lui donnat un coup de poing.

Il hurla et Ludmilla le gifla.

Ludmi: Nan mais ça va hein ! Il a déjà eut sa leçon tu vas pas en rajouter t'es pas un gamin ?!

Fédé: Désolé..

Cami: Quelle soirée..

Nata: Tu l'as dis..

Fran: Faudrait peut être emmené Léon à l'hôpital non ?!

Nous nous dirigeons vers la voiture en vitesse direction l'hôpital nous attendons dans la salle d'attente où après une vingtaine de minutes le médecin sortie de la salle, j'accourus:

Vilu: Alors Docteur ?

Docteur: Il a simplement une hémorragie, 2 jours de repos et ça ira vous pouvez entrer !

J' entrais dans la chambre et vit Léon endormit.

Vilu: C'est vrai que t'es mignon quand tu dors.

Léon me colla contre lui en souriant.

Vilu: Tu dormais pas !

Léon: C'est vrai tu me trouve mignon ?

Vilu: Non. Je blaguais.

Léon: À ouais ?! On va voir ça ! dit-il alors qu'il me chatouillant.

Vilu: Haha ! ARR.. ÊTE... dis-je en pleurant de rire

Léon: Alors dis moi que je suis le plus beau !

Vilu: D'a...ccord haha ! T'es.. l..e plu..s beau !
Léon: Et je veux un bisou !

Je lui déposai un court baiser mais il le prolongea, il se mit en califourchon sur moi tout en m'embrassant les lèvres puis descendu vers mon cou. Je l'arrêtais.

Léon: Je suis désolé, c'était plus fort que moi.

Vilu: C'est pas grave.

Léon: À mon avis tu as aimé. dit-il avec un sourire pervers.

Vilu: Tu sais quand on m'as enfermé dans l'armoire j'ai cru entendre la même voix au téléphone.

Léon: Quelle voix ?

Vilu: Bah je t'ai dis que j'allais t'en parlé, c'était pas Olga mais une inconnue qui me menacé au tel.

Léon: Elle te menaçait de quoi ?

Vilu: De te quitter sinon elle nous ferai souffrir.

Léon: Pff ! Cette personne peut s'imaginer toute les situations possible jamais on ne sépara

Vilu: Je t'aime.

Il approcha ses lèvres des miennes, caressant ma lèvre inférieure avec sa langue, je savourai le délice que m'apportais ses lèvres. Sa main droite tenait fermement ma taille et l'autre caressait ma chevelure, me procurant des frissons qui me traversaient tout le corps. À contre cœur je me sépara de lui en reprenant mon souffle. Il me chuchota à l'oreille une chose qui me fit frémir, je me cacha le visage en rougissant et il rigola en me mordillant l'oreille.

Vilu: Tu le fais exprès !

Léon: De quoi ? déclara t-il d'un air innocent.

Vilu: Tu sais que je ne suis pas prête alors tu fais tout pour m'ex..ci..ter.. ! dis-je en balbutiant.

Léon: Justement je t'aide à te sentir prête. dit-il en faisant un sourire coquin.

Vilu: Pfff !

Il s'approcha pour m'embrasser mais on toqua à la porte, il soupira et je rigola, la porte s'ouvrit c'était Francesca.

Léon: T'arrive toujours au mauvais moment !

Fran: C'est sympa.. Désolé.

Vilu: Léon ! Nan Francesca ne t'excuse pas c'est plutôt à lui de le faire ! dis-je en lui lançant un regard noir.

Il soupira et souffla un petit "pardon", Fran sourit et me dit.

Fran: Merci Vilu, au faite n'oublie pas le spectacle est dans 3 jours.

Vilu: Oui j'espère seulement que Léon se rétablira très vite.

Léon: Justement j'allais guérir ! Mais Fran à tout gâcher !

Vilu: Mais t'arrête ! On est pas tout seuls !

Léon: Tu as honte de moi c'est ça !?I

l se tourna et bouda je m'approchais de lui.

Vilu: Non.. Léon je suis déso..

Il se retourna et m'embrassa Fran quitta la pièce sur la pointe des pieds. Je le pris dans mes bras.

Léon: Je guérirai le jour où tu sera dans mon lit.

Vilu: Bahh t'es un gros pervers ça n'arrivera jamais !

On rigola et il me dit.

Léon: Comme demain c'est samedi tu veux aller quelque part avec moi demain?

Vilu: D'accord.

Je lui fit un bisou sur la joue et m'en alla. J'expliquai à mes amis que Léon allait bien il avait seulement besoin de repos. Je rentra chez moi excité. J'allais avoir mon premier rendez vous !

Le lendemain je me lève me préparer et m'habilla:Je me dirigeai au point de rendez vous quand je vis une chose horrible. Je ne pouvais retenir mes larmes. Je ne peux pas le croire... Il s'est foutu.. de.. moi..

Un amor imposible. (Terminé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant