Chapitre 19: Tu vas être papa.

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Je me précipitai dans la chambre en voyant Violetta dans un piteux état. Elle pleurait à chaudes larmes, je l'a pris rapidement dans mes bras et lui caressait doucement le dos.

Fran: Violetta dis moi ce qui se passe ?

Vilu: Je.. je suis en..en..ceinte..d'u..n mois..

Je le regardai choqué et à la fois heureuse. Je la comprenais comme même mais je ne savais si elle pleurait des larmes de joie ou de tristesse.


Fran: Tu devrais comme même être heureuse non ? C'est merveilleux de donné la vie !


Violetta me regardait stupéfaite par ce que je venai de dire et elle finit par pleurer encore plus que tout à l'heure. Angie vînt la prendre dans ses bras et elle se calmait aussitôt. Sa tante réussit toujours à la consolé mieux que sa meilleure amie, mais je m'en voulais de l'avoir attristé, ce n'était pas mon intention..

PDV Vilu:

Après l'annonce choquante du docteur, je restai figée sur mon lit. Mon corps tremblait, parce que le fait d'avoir un enfant est-il aussi stressant qu'on le pense ? Ou bien parce que León s'en va et m'abandonne.. ? Je ne savais plus quoi pensé à par le fait de pleurer. Lorsque j'entendis une personne entré, je voyais mes deux meilleures amies et ma tante. J'étais heureuse de les voir ici mais je ne voulais pas qu'elle me voient dans cet état.

Malheureusement c'était trop tard, je n'ai pas su retenir mes larmes, j'étai trop bouleversé pour me voilé la face. Fran vînt me prendre dans ses bras, elle me consolait puis me demandait pourquoi je n'étai pas heureuse d'avoir un enfant. Ne comprends t-elle que j'avais à peine 18 ans ? Que le propre père de cet enfant n'est qu'un lâche ? Qu'être une mère était une lourde charge ?

Je pleurai encore plus, je me sentai une vraie idiote pas parce que Francesca m'ai vexé biensûr que non. Parce que j'ai été naïve pendant toutes ces années.. Angie vînt me prendre dans ses bras, elle me chuchotait quelque chose à l'oreille. À peine avait-elle soufflé son dernier mot que je me rhabillais en vitesse.

(vu qu'elle était avec la robe d'hôpital où je sais pas comment ça s'appelle x) )

Je me précipitai vers la porte et croisai le docteur qui me rappelait que je n'étai pas encore en bonne état mais je lui barrai la route à vive allure. Je courrai jusqu'à l'aéroport, il me restai une toute petite once d'espoir en entendant une annonce par micro.

"Le vol pour San Francisco va décollé. Veuillez attaché vos ceintures et je vous souhaite un agréable voyage".


Trop tard, je vus l'avion décollé par la grande vitre de verre. Il.. il est partit.. Je m'écroulai au sol, explosant en larmes devant tout le monde qui me regardait bizarrement. Je m'en fichai pas mal mais je savais une chose sans lui ma vie était fini..

◆◆◆◆◆◆◆

6 ans plus tard...

Bip ! Bip !
7h30, mon réveil sonnait, je rentrai dans la cuisine en voyant mon futur mari préparé le petit déjeuné. Je lui fis un bisou sur la joue et il sourit. J'allai cherché ma petite Maria pour l'emmené à l'école mais Diego me retint le bras.


Vilu: Qu'est ce qu'il y a ?

Diego: C'est ton premier jour de travail, je vais l'emmené ne t'inquiète pas.


Je lui souris et il prépara la petite avant de me souhaité bonne journée en me faisant un baiser sur le front. Je m'en allai à l'adresse indiqué, je ne connaissais pas le nom de l'agence et bizarrement j'avais passé mon entretien par téléphone. Lorsque j'entrais dans l'agence je regardais autour de moi, c'était très luxueux cette entreprise appartenait sûrement à une famille très riche. Une hôtesse vînt m'accosté et me demandait mon nom.


Vilu: Je suis Violetta Castillo et j'ai rendez-vous avec un certain Fernando.

Hôtesse: Monsieur Fernando Vargas ? Il est à la retraite depuis à peu près 6 ans. Aujourd'hui c'est son fils qui à prit sa succession ! dit l'hôtesse en rigolant

Son regard s'obcursit petit à petit.

Hôtesse: Et.. il est mort depuis bientôt 3 ans..

Elle avait l'air de vraiment y être attaché. Peut être était-il un bon patron ?

Vilu: Je suis désolé..

Hôtesse: Oh ne vous en faite pas.. Suivez moi je vous pris. Monsieur Vargas vous attends. *faible sourire*

À l'entente de ce nom, je restai figé "Vargas".
Ce nom me disait quelque chose.. Je suivais l'hôtesse vers un ascenceur pour monté au premier étage.
Le couloir était très spacieux, lorsque je voyais sur la porte un nom plaqué or. "Monsieur León Fernando Vargas". Mon dieu ! Je me suis peut être trompé d'agence ! Comment León pouvait être ici dans une entreprise du Mexique ?


J'avai emménagé ici avec Diego pour l'oublié définitivement. Mais pendant toute ces années ce fut impossible. Croyez moi si je vous dis que Diego et moi dormons encore séparé ? Il a été très patient depuis toute ces années et cela m'ai surprit qu'il n'avait pas tenté de me touché. Pourtant je me sentais coupable, je vivais avec lui depuis près de 6 longues années. Après tout ce qu'il avait fait pour ma fille et moi..


Maria avait maintenant 5 ans, j'étais désespéré quand León était parti. Jusqu'au jour où cette merveilleuse petite fille que je ne connaissais pas encore est entré dans ma vie. Elle est la prunelle de mes yeux, je l'adorais elle ressemblait énormément à son père. Elle avait ses yeux verts émeraudes qui me faisaient toujours autant craqué et avait ma chevelure marron. Elle était tellement mignonne, elle ne sait pas encore que son père n'est qu'un lâche.

Heureusement il y avait Diego pour me soutenir avec qui je ne vais pas tardé à me marié. L'hôtesse toqua à la porte, on entendit un léger "entrez". Je reconnaissais cette voix, je voulais faire marche arrière mais trop tard. Je me retrouvais devant le bureau. Le dossier de la chaise du propriétaire était de dos, il ne me voyait pas.

Mr.Vargas: Eh bien j'imagine que vous êtes une de mes nouvelles employés.

Vilu: Et je crois que je vais démissioné sur le champs.

Il pivota sa chaise face à moi en fronçant les sourcils. À mon avis il ne m'avait pas reconnu vu que son expression n'a pas changé..

Mr.Vargas: Et pourquoi ça ?

Vilu: Pour rien je m'en vais.

Je me précipitai vers la porte, faisant tombé ma carte d'identité. Merde.. "Mr.Vargas" alias León la ramassa et ouvrit grand les yeux ronds.

León: Vio..Violetta ?

Vilu: ....

Un amor imposible. (Terminé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant