Chapitre 20: Mensonges.

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Vilu: Oui. Maintenant que tu m'a reconnu rends moi ma carte.

León: Attends s'il te plaît laisse moi t'expliqué !

Vilu: Nous avons rien à nous dire félicitation pour ton mariage et tes enfants !

León: Je n'ai pas d'enfant et j'ai divorcé depuis bientôt 3 ans.

Vilu: Ah donc si je ne suis pas assez bien pour toi Stéphie non plus ? Jusqu'à quand seras tu raisonnable ? Il te faut toutes les femmes du monde ?

León: Je ne l'aimais pas. Et je ne t'ai jamais oublié ! D'ailleurs j'adore tes cheveux blonds si je me souviens bien avant ils étaient marrons.
dit-il en s'approchant de plus en plus de moi

Il caressait doucement mes cheveux, lui aussi avait changé il avait les traits plus séduisants, les épaules plus large. Et les cheveux courts, quelques mèches virant en hauteur. Il était plus sexy que jamais.

León: Tu es encore plus sexy qu'avant je regrette de ne peux avoir pu être à tes côtes depuis ses 6 derniers années..

Je rougissai à sa remarque mais aussi de colère.

Vilu: Eh bien Monsieur aurait dû y pensé avant de m'avoir abandonné !

León: Mais ma chérie je ne t'ai jamais abandonné !

Vilu: Ne m'appelle pas comme ça !

León: Alors comme ça tu cherche un boulot pourquoi ? dit-il en fronçant les sourcils

Vilu: Pour ma f... Ça ne te regarde pas !

León: Qu'est ce que tu allais dire ?

Vilu: Rien !

León: Je n'en suis pas si sûr !

Il s'approcha de moi pour me chatouiller comme quand nous étions jeunes. Il savait comment me faire avoué les choses mais je ne lui dirait rien. Au lieu de ça je riais tellement que je me retrouvais au sol, il se trouvait sur moi. Il approchait son visage du mien, je ne faisais rien observant ce qu'il allait faire. Il n'était plus qu'à quelques centimètres de mon visage lorsque qu'on entendit quelqu'un toqué derrière la porte.

León se releva d'un coup et je me redressai encore assise hyper gêné. León ouvrit légèrement la porte laissant apparaître la tête de l'hôtesse qui ne pouvait m'apercevoir.

Hôtesse: Monsieur vous avez rendez vous avec monsieur Pasquarelli dans quelques minutes.

León: Reportez mon rendez vous s'il vous plaît.

Hôtesse: Bien Monsieur.

Elle s'en alla et il ferma la porte mais cette fois à clé. Qu'avait-il derrière la tête ? Il s'approcha de moi avec un sourire qui me faisait toujours autant bavé.

León: Où en étions nous ?

Il se baissait de plus en plus sur moi, je voulus qu'il m'embrasse biensûr. Depuis ces 6 longues années je n'attendai que ça. Il me plaque violemment au sol et m'embrassa passionément, il embrassait toujours aussi bien. Sa bouche absorbait la mienne de manière sensuelle puis il passa sa langue sur la commissure de mes lèvres pour ensuite la faire rentré et taquiné ma langue.

Je le regardais droit dans les yeux, biensûr j'appréciais son baiser mais j'étais totalement outré. Comment osait-il m'embrassé après avoir disparu depuis ses 6 longues derniers années ? Il ne sait pas comment j'ai pu souffrir ! Il ne sait pas non plus qu'élevé une fille était dur ! Il ne sait rien de ce qui s'est passé depuis ces 6 longues années !

Un amor imposible. (Terminé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant