Un amor imposible. (Terminé)

Chapitre 22end: Je t'aime

León: Alors pourquoi me la tu caché ? dit-il en se redressant

Vilu: Parce que... Au début j'ai cru que tu étais un... dis-je en baissant la tête Un lâche. murmurais-je

León: Ah... Je suis désolé.

Vilu: Non c'est moi qui suis désolé ! Si j'aurai su tout ce que ton père t'avais affligé, j'aurai accepté ta demande tout de suite !

León: Mais c'est moi qui ne te l'ai pas raconté avant ! Je te demande pardon...

Je l'embrassais tendrement, je voulais que ce baiser dur à tout jamais. Mais malheureusement, je manquais de souffle. Il me prit dans ses bras et je resserais l'étreinte encore plus fort.

Vilu: Oublions tout ça et profitons du moment présent. Ne me quitte plus jamais, je n'ai jamais cessez de t'aimer.

León: Moi aussi depuis ces 6 derniers années, je n'ai cessé de t'aimer. Je veux être avec toi...

Vilu: Pour toujours.

On s'embrassa encore une fois mais plus fougueusement.

???: MAMAN !

Je continuais de l'embrassé, je ne voulais pas m'arrêté, mais León me repoussa doucement et me sourit.

León: On aura notre moment de plaisir ce soir. dit-il en chuchotant près de mon oreille

Vilu: Ou.. oui.. dis-je en rougissant

Maria: Tu trompe papa ?!

Vilu: Ma chérie ton père c'est lui, Diego était mon copain seulement...

Maria: Tu trompe ton copain ? dit-elle ahurit

Vilu: C'était mon copain... Mais tu es encore trop petite pour comprendre.

León la prit dans ses bras, les larmes aux yeux, je ris à son geste et fut attendrit en même temps. Elle le ressera de ses petites mains, c'était trop mignon. J'en fus presque jalouse qu'elle est prit mon petit moment avec León que j'en riais. Leon le remarqua, il sourit et tendit son autre bras vers moi.

León: Regarde Maria, Maman est déjà jalouse que tu es volé les bras de ton père.

Je fis semblant de bouder et nous riâmes tout les 3. Voilà le bonheur d'une vrai famille que j'attendais depuis si longtemps.

Après notre étreinte à trois, Leon décidait de nous emmener à la foire pour "rattraper le temps perdu". Nous allons donc à la foire et se dirigeâmes vers le manège des petits avec Maria qui s'amusait. Voir le bonheur de sa fille est vraiment merveilleux pour une mère, pendant ce temps León me caressait le derrière discrètement, je fronçais les sourcils. Il ne m'avait pas dit que nous aurions notre moment ce soir ?

L'après midi avança à grands pas, il était 16 heures, et j'étais vraiment en colère. Pourquoi ? León n'as pas cessez avec ces caresses discrets et ces regards suggestives, pas que ça ne m'ai pas plus au contraire. Non le problème c'est qu'il osait le faire en public ! Cette partie de son adolescence est toujours resté en lui et moi qui le croyait mature...
A croire qu'il le fait exprès pour me donné envie ! Je regardais encore Maria en souriant quand León arriva avec un grand sourire jusqu'au oreilles. Qu'avait-il derrière la tête, il se glissa derrière mon dos pour m'embrasser dans le cou. Je rougissais et lui chuchota furieuse.

Vilu: Arrête León ! On est pas tout seuls !

León: J'en peux plus d'attendre ! Ca fait comme même 6 ans que je n'ai pas touché... dit-il en passant discrètement une main sous ma chemise