Direction la chambre.

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Asami: Ne le touche surtout pas. Sinon, la police est là dans 2 minutes.
Feilong: Il a tant de valeur que ça ? demanda-t-il en se tournant vers lui, les yeux brillants. Tu es riche et puissant, je le sais bien. Mais pourquoi est-ce si excitant ? Ce n'est pas comme si ta richesse m'importait.
Asami: Évidemment qu'il ne t'importe pas, rétorqua Asami d'un ton sec en l'entraînant vers sa chambre.

Il croyait accorder un véritable privilège à ses amants, songea-t-il avec cynisme. Par conséquent, il trouvait simplement normal d'avoir une récompense pour les précieux moments qu'il daignait passer avec eux.
Avant d'arriver à la porte, il lui passa les bras autour du cou.

Feilong: Te rends-tu compte que nous avons dîné 3 fois ensemble et que tu ne m'as jamais rien dit sur toi ?
Asami: Te rends-tu compte que nous avons dîné 3 fois ensemble et que tu n'as jamais rien mangé ? riposta Asami.

Ils avaient enfin atteint sa chambre. Du pied, Asami referma la porte. Puis, tandis qu'il retenait son souffle, il fit coulisser les boutons de sa chemise.

Feilong: Tu ne t'embarrasses pas de préliminaires, hein ?
Asami: Disons que j'en ai assez des préliminaires verbaux, répondit Asami en faisant rapidement glisser la chemise sur ses épaules.

Il frissonna délicieusement.

Feilong: Et tu n'es pas du genre à t'excuser. Froid, impitoyable, énergique...
Asami: Tu parles de moi ou de toi ? demanda-t-il en détachant le clip de son élastique qui retenait ses cheveux.
Feilong: Je te parie que tu n'as jamais regretté une seule chose de ta vie, méchant garçon.

Tout en souriant, il lui passa un doigt sur les lèvres.

Feilong: Dis-moi quelque chose de personnel sur toi. Juste une chose. Par exemple... on raconte que tu es le père de ce bébé. Est-ce vrai ? Tous les journaux en parlent.

Un homme à séduire.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant