Addict.

Chapitre 35

Je relève la tête et croise le regard d'Arthur dans le miroir. Il met une main sur ma gorge et me susurre à l'oreille

Arthur : Je vais te prendre ici, contre ces lavabos, bébé.

Moi : Mais t'es malade ou quoi quelqu'un peut rentrer !

Il empoigne mes fesses à travers mon short et les claquent. Ses mains remontent sur mes hanches et je le sens appuyer son sexe en érection contre moi.

Arthur : T'inquiète pas ça ira très vite.

Je tente de me retourner mais Arthur me tient en place. Il déboutonne mon short et l'abaisse.

Moi : Non, il y a beaucoup trop de monde ici Arthur tu t'en rends compte ou quoi ?

Arthur : Le café est presque vide..

Je l'entends ouvrir sa braguette.

Moi : Arrête, je ne peux pas faire..

Je n'ai pas le temps de finir ma phrase qu'Arthur écarte ma petite culotte et s'insère rapidement en moi.

Moi : Putain Arthur je te jure que..hmm..

Il commence des mouvements de vas et vient ce qui me laisse échapper un gémissement.

Arthur : Tiens toi bien aux lavabos, ok ?

J'acquiesce d'un signe de tête et agrippe le rebord des lavabos. Je n'en reviens pas de faire ça ici. Encore dans une cabine de toilette on peut être plus ou moins cachés mais là..

Arthur tient fermement mes hanches et martèlent en moi, littéralement. Je me mords la lèvre pour ne pas gémir. Il pousse toujours plus loin en moi à un rythme monstrueux. Si il continue comme ça dans 2 minutes tout au plus je jouis. Je relève la tête et croise une nouvelle fois son regard dans le miroir. Nous voir en pleine action nous suffit et nous jouissons ensemble.

Arthur se retire rapidement et referme sa braguette. Je remet ma culotte et mon short et me regarde rapidement dans le miroir. Mes cheveux collent légèrement à mon visage, j'essaye de les recoiffer rapidement avec mes doigts. Arthur ricane. Je me tourne vers lui.

Moi : Quoi ?

Il s'approche de la porte, l'ouvre et avant de partir me lance avec un sourire narquois

Arthur : Oh rien, tu as juste l'air d'une meuf fraîchement baisée.

Je souffle et pars faire ce que j'étais censée faire à la base : pisser.

[...]

Pierre ouvre la porte de l'appartement, j'entre en courant, le bousculant, et me jette sur le canapé.

Moi : Ça fait quand même du bien de retrouver son chez soi !

Il ferme la porte derrière lui et me regarde en souriant.

Pierre : Une vraie gamine.

Je me lève et me plante devant lui. Je lève la tête et le fixe. Ses lèvres sont rosées et ont l'air si douces, si.. Ohhh reviens sur Terre Alex !

Pierre, riant : Tu voulais me dire quelque chose ou juste me faire barrage ?

Moi : Enfaîte je voulais te remercier pour ces vacances parce que c'était vraiment trop bien et c'était tout ce dont j'avais besoin ! Bon ok il y a eu des petites tensions entre nous mais comme dit le dicton " Un colocataire avec qui nous n'avons pas de différent n'est pas un bon colocataire".

Pierre : Non mais n'importe quoi, c'est pas du tout un dicton ça !

Moi, souriant en coin : Ouais je sais je viens de l'inventer.