* DRIIING DRIIING *
La sonnette retentit, Pierre étant dans sa chambre je partis ouvrir.
Et là je vis Nathan, il me voulait quoi celui là ?
Moi : Pars.
Nathan : Non, il faut que je te parle !
Moi : Fais vite alors parce que je n'ai aucune envie d'écouter un gars comme toi.
Nathan : J'ai un problème..
Moi : Comme tout le monde non ?
Nathan : UN GROS PROBLEME BORDEL !
Moi : De une tu vas te calmer et de deux je m'en fiche de tes problèmes enfin de ton GROS problème.
Bon, d'accord j'avais été un peu méchante sur ce coup là mais j'ai horreur des gens qui viennent s'apitoyer sur leur sort ! Non mais sérieusement, tout le monde à des problèmes et tout le monde ne vient pas faire chier les autres avec sa.
Nathan : J'AI LE SIDA !
Moi, bafouillant : Qu..quo.. quoi ?
Nathan : AH, là sa t'intéresse un peu plus mes problèmes hein. Je te rassure je n'ai pas le sida, c'était juste pour voir à quel point tu ne pensais qu'à toi.
Moi, lui riant au nez : Moi, je ne pense qu'à moi ? Mais tu es qui toi pour me dire sa ? Hein, tu es qui ? C'est pas moi qui viens sonner à la porte des gens en prétextant avoir un problème !
Nathan : PUTAIN ! - il commença à s'énerver - Ta gueule, je te jure ferme là.
Euh, là je ne comprend pas.. je ne lui avais pas dit quelque chose de vraiment touchant ou autre pour qu'il s'énerve ainsi. Il est vraiment pas bien ce mec en faite.
Moi, commençant à hausser le ton : TU VAS MIEUX ME PARLER TOI, C'EST PAS PARCE QUE MONSIEUR GUEULE QUE JE VAIS ME LA FERMER !
Nathan : Tu sais quoi ? C'est bon je vais te laisser, tu ne sauras donc pas de quoi je voulais te parler et le jour où mon problème deviendra également le tien tu auras l'air bien conne à ne rien comprendre.
Moi : Ouai c'est sa, casse toi. Et mec, tes problèmes restes tes problèmes.
Nathan me frappa. C'est la première fois qu'un homme lève la main sur moi, je n'en reviens pas.
Je le regarde, ou plutôt le fusille du regard avant de lui mettre une baffe. Si je ne me serai pas controler je lui aurai balancer tout ce que je pensais de lui et je l'aurai certainement insulté de tout les noms. Mais non, je me suis contrôler et n'ai rien dit contrairement à lui.
Nathan m'attrapa les poignets et me les serra assez fort : TU OSES ME GIFLER, TU OSES ?
Moi : OUAI J'OSE, TU VOIS LES VIEUX MECS DANS TON GENRE IL MERITE QUE SA : DES GIFLES ET ENCORES DES GIFLES.
Nathan : ET TOI TU SAIS CE QUE TU MERITES TOI ?
Moi : NAN VAS Y DIT LE MOI, DIT CE QUE TU PENSE ! AU MOINS T'AURAS EU LES COUILLES DE FAIRE QUELQUE CHOSE.
Nathan : JE VAIS TE LES DIRES TES VERITES OUAI, ALEXIA TU N'EST..
Pierre sortit de l'appartement.
Pierre : OH, c'est quoi votre problème à tout les deux là je vous entend crier depuis tout à l'heure !
Nathan, en me regardant : Tiens, ta un nouveau joujou.
Moi : C'est mon colocataire pauv' type.
Nathan : Oui, c'est cela. Allez je me taille de là moi, kiss la p***
SUITE :
Et là Pierre attrapa Nathan par le col, le plaqua au mur et lui lâcha, froidement :
Pierre : Redit encore une fois ce que tu viens de dire et je te règle ton compte.
Il relâcha Nathan qui s'éloigna tout en remettant son tee-shirt correctement. On l'entendait pouffé de rire et avant de se dirigé vers les escaliers il parla à Pierre, sans se retourner.
Nathan : Je vois qu'elle ne t'a pas tout dit.
Pierre, se tournant vers moi : Il parle de quoi ?
Moi : Mais de rien, tu ne vois pas qu'il en fait exprès ! Allez viens, on rentre j'ai eu ma dose là.
Pierre semblait perplexe par rapport à la réponse que je lui avais donné.
Je pris un paquet de chips et partis m'installer sur le canapé devant la télévision histoire de faire retomber un peu toute la tension.
Pierre vint s'asseoir à mes côtés.
Pierre : Tu sais je ne veux pas t'embêter avec cela mais, il insinué quoi ce mec ? Et puis c'est qui ?
Moi, soufflant : Bon écoute, oublis tout ce qu'il a dit ! Tout ce que tu as à savoir c'est qu'il s'appelle Nathan et que c'est un gros con fouteur de merde.
Pierre : D'accord..
Sa me gênais de lui cacher des choses même si ce n'est que mon colocataire, je n'aime pas les non-dit ! Mais je ne pouvais pas lui avouer que Nathan était un simple plan cul, que je passais très souvent mes soirées dans les bras de mecs différents tout sa parce que je suis une fille complètement accro au sexe.
Pierre, se levant : Je vais en ville me chercher deux trois petits trucs, tu as besoin de quelque chose ?
Moi, lui adressant un sourire : Non, merci !
Il s'en alla donc faire ses fameuses courses.
10 minutes plus tard quelqu'un toqua à la porte, pensant que c'était Pierre je cria :
Moi : TA OUBLIE TES CLÉS ?
.... : Je n'ai jamais eu les clés de chez toi ma belle.
Je reconnus de suite que ce n'était pas Pierre mais Thibault !
Je me dirigea vers la porte et lui ouvris.
Thibault : Tu n'es pas contente de me voir ?
Moi : Ce n'est pas ça Thibault ! Juste j'avais envie de décompresser un peu tu comprends ?
Il s'approcha de moi et fit le contour de mes courbes.
Thibault : On peut décompresser autrement tu sais ?
Moi : Oh non Thibault, j'ai pas la tête à ça et en plus mon coloc' va surement bientôt rentrer.
Thibault n'écouta pas un mot de ce que j'avais dit et commença à m'embrasser le cou puis descendit un peu plus bas. Mon corps frissonnait, il était si sensuel dans ses gestes.. c'était fou !
Moi : AH mais Thibault.
Il posa un doigt sur ma bouche.
Thibault : Chuuut.
Il commença à m'embrasser le haut de mes seins, à la limite de mon haut puis m'emmena sur le canapé.
Il enleva mon haut ainsi que le sien puis m'allongea tout en se plaçant au dessus de moi.
Un plaisir étrange parcourait mon corps.. J'avais à la fois peur de me faire surprendre par Pierre mais j'avais à la fois tellement envie de Thibault !
Moi : Non Thibault je peux pas, imagine que mon coloc' arrive !
Thibault : On a qu'a faire sa rapidement.
Moi : Hum.. va fermer le verrou de l'intérieur au cas où.
Il s'exécuta et revint de plus belle.
Il enleva mon bas, j'étais désormais en sous-vêtements.
Il s'abaissa jusqu'à mon oreille et me souffla :
Thibault : On avais commencé quelque chose je crois hier soir..
Moi : Ah oui ?
Je dégrafa mon soutien à gorge.
Thibault se jeta sur mes seins et suça mes tétons quand tout à coup des pas se firent entendre dans le couloir..
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Addict.
Roman d'amourAlexia une jeune femme de 18 ans quitte Paris, sa ville natale, pour emménager à Toulouse. Entre rencontres, sexe, amour et mystère la vie d'Alexia ne sera pas de tout repos. De plus Alexia est une droguée mais une droguée pas comme les autres. Ell...