Chapitre 17

1.7K 35 0
                                    

Je me recoiffa et sortit de sa chambre, Martin me regarda en me souriant.

Il avait du comprendre ce qu'on avait commencé avec Nathan.

Martin n'était pas très grand, assez carré, brun avec des yeux noisettes et avait une allure de rugbyman. Pour brisé l'atmosphère gênante qui régnait je lui demanda :

Moi : Tu es rugbyman ?

Martin : Euh.. oui. Comment tu le sais ?

Moi : Je sais pas, ta carrure !

Martin : Ah ! Sa fait 10 ans que j'en fais.

Moi : Oh, tu as quel âge sans indiscrétion ?

Martin : 22 ans.

Moi : D'accord, bon je vais te laisser.. salut.

Martin : Salut.. euh tu t'appelle comment ?

Moi : Alexia.

Martin : Salut Alexia alors.

Je partis encore gêner mais avec toute fois une bonne impression de ce Martin et encore toute excitée de ce que j'avais commencé avec Nathan.

Je rentra à l'appartement et trouva Pierre non plus par terre mais affalé sur le canapé devant un film, un bol de céréales à la main.

En m'entendant arriver, il coupa le son, chercha ses mots puis le regard fuyant me dit :

Pierre : Alexia, je suis vraiment désolé de ce qu'il c'est passé hier.. je suis allé un peu trop loin pendant cette soirée et je regrette mais je te remercie, vraiment, d'être venu me chercher. Je m'en veux et en plus de ça tu dois me voir comme le mec qui ne tient pas l'alcool et qui rentre ivre d'une soirée entre pote. Je suis vraiment un.. un loser.

Je posa mon manteau puis partis me prendre un pot de glace dans la cuisine avant de rejoindre Pierre sur le canapé.

Moi : Tu sais, j'avais vraiment les nerfs contre toi ! Je crois que si je n'étais pas une fille aussi gentille je t'aurai tué sur place. Tu étais vraiment déchiré hier, tu disais n'importe quoi et j'étais juste super crevée quand on m'a appelé mais ce n'est pas pour autant que j'ai une mauvaise impression de toi, sa arrive ce genre de choses même si j'aimerai bien que sa ne se renouvelle pas et au fond, tu restes un gars très sympa que j'apprécie.

Pierre : Je suis soulagé que tu ne m'en veuille pas.

Il me sourit, son sourire ressemblait à celui d'un enfant qui voudrait se faire pardonner après une bêtise.

Je lui ouvris mes bras comme pour l'inviter à venir me faire un câlin et c'est ce qu'il fit.

Cela peut paraître étrange comme situation étant donné que je ne connais Pierre que depuis récemment mais sur le moment, c'est venu tout seul. J'avais besoin d'un câlin, un câlin pour marquer notre "réconciliation" si je puis dire.

Après ce petit instant d'explication je partis dans ma chambre.

J'étais encore toute chaude et si Pierre n'était pas mon colocataire, je lui aurai déjà sauté dessus. Puis une idée me traversa l'esprit.........


Addict.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant