JE L'AI FAIT. J'ai obtenu l'emploi. Non seulement cela, mais j'étais même parvenu à racheter la plupart des aliments que j'avais ruiné, comme Justin l'avait demandé. Je devais absolument dépenser aucun argent à coté, et je n'avais pas obtenu tous les produits d'épicerie, mais il était rentré vendredi soir, satisfait de voir les placards plein à nouveau. Sa satisfaction était tout ce qu'il me fallait. Tout ce qui m'importait.Il regarda un film avec moi plus tard dans la soirée. C'était agréable de se recroqueviller prés de lui. Aujourd'hui, il y avait de rares occasions d'avoir des câlins de sa part. Il était soit parti ou de mauvaise humeur, et quand il était de mauvaise humeur, il indiquait clairement qu'il ne voulait pas me regarder. Je ne pouvais pas le lui reprocher. J'étais plutôt dégoûtante à observer. C'était encore plus désagréable de me tenir et de se blottir à moi.
J'avais rencontré Harry dans le parc à nouveau ce matin là, comme promis. Pourtant, il semblait un peu choqué de me voir. Miraculeusement, il paraissait presque soulagé. Nous avions fait la même routine que mercredi, en supprimant le petit discourt du début et en ajoutant un tour de plus autour du parc.
J'étais fatigué au milieu de la seconde, mais Harry disait que c'était compréhensible et que nous pourrions essayer à nouveau la prochaine séance. Il avait à peine sué.
« Ont-ils fait de toi mon entraîneur pour me torturer? » lui avais-je demandé.
Il leva ses sourcils. « Te torturer comment ? »
Mes joues furent déjà rouges, alors je regarda le sol. « Même si tu serais quatre-vingts fois plus gros que maintenant, tu serais encore capable de me distancer », avais-je dis, « et tu seras probablement encore plus plaisant à regardez que moi. »
« Etait-ce une manière subtile de me complimenter ? »
Je regardais vers lui, le visage en feu, alors qu'il esquissait un sourire taquin, inclinant la tête sur le côté. « Ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dis. » J'avais pointé mon doigt sur lui, comme si je faisais une menace. Même si je l'avais fait, j'étais bien trop paresseux pour accomplir cette menace donc nous savions tous deux qu'elle était vide de sens.
Harry leva les mains en l'air. « Je n'ai fait pas une telle chose. » Il fut silencieux pendant un moment avant de dire, « donc ça veut dire que tu penses que je suis laid ? »
Je claqua ma main sur mon front et il se plia de rire.
Dimanche après-midi, Justin sorti hors du lit me jetant quelques regards, ludique comme il avait l'habitude d'être alors que je me brossais les dents. Il s'étira avant de marcher vers moi, plaçant ses lèvres sur mon front. Il me faisait tourner en rond constamment--des fois il était son ancien soi, et me disait que j'étais pas assez bonne pour lui. Qu'est-ce que je devais croire? Je ne pouvais pas abandonner alors que la partie de sa personnalité que j'aimais demeurait encore en lui.
Pour une raison quelconque, il était extrêmement affectueux ce matin. Il enroula ses bras autour de ma taille et posa son menton sur mon épaule, alors que je brouillais quelques œufs et cuisait son bacon. Cela ressemblait tellement à la façon dont nous avions l'habitude d'être. C'était douloureux d'y repenser. Je dévorais le moment, cependant, je ne voulais pas me risquer de peur d'être jeté loin pour toujours. Tout cela me manquait. Il me manquait.Il se dirigea le réfrigérateur, scrutant l'intérieur avant de demander. « Pas plus de jus d'orange ? »
Mon cœur sombra au creux de mon estomac. Alors que le moment était beau alors qu'il avait duré. « Je suis désolée. Je ne savais pas ou je devrais-»
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Grosse || h.s. (vf)
FanfictionEn surpoids et sous les griffes de son petit ami violent, Delilah veut reconstituer les pièces de sa vie avant que sa santé mentale et physique ne s'effondre. Je ne fais que traduire cette fiction pour ceux qui ne comprenne pas l'anglais, tout le m...