CHAPTER XXI

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"JE NE VOIS PAS de logique à faire les magasins le jour du Black Friday. Une troupe de personnes qui font des crises et qui se piétinent les uns les autres. Qu'est-ce qu'il y a d'amusant dans cela? Moi je dis, allez-y après les vacances et obtenez toutes les ventes de liquidation. C'est beaucoup moins dangereux de cette manière," Grand-père murmura avant de pousser une bouchée de haricots verts dans sa bouche. (nda : le black friday est le lendemain de thanksgiving, c'est une coutume de faire du shopping ce jour la)

Tante Casey secoua la tête. "Papa, les ventes de liquidation ne sont pas les mêmes que celles du Black Friday. Tout coute moins cher."

"Je parie que tu considères que ta vie coûte aussi moins chère en participant à quelque chose d'aussi stupide."

"Tu ne comprends pas."

"Sur ça je suis d'accord, ma chérie."

Tout le monde avait leur assiette pleine et se dispersaient dehors pour manger, en raison du temps frais et du fait qu'il n'y avait pas assez de place à l'intérieur. Nous avions apporté des chaises, et papa avait une vieille table dans l'abri qu'il avait traîné aussi. Quelques chaises de jardin tombaient en lambeaux, et les tables avaient des taches de saleté refusant d'être nettoyé. Les gens étaient trop occupés à farcir leur bouche pour se plaindre du luxe, cependant.

En équilibre sur la corde raide, je mangeais un morceau de dinde ou une petit morceau d'un petit pain si quelqu'un me regardait, pour simplement éviter toutes questions potentielles qui pourraient être posées. La petite quantité de nourriture était suffisante pour que mon estomac grogne et que mon corps résiste en le faisant remonter. Cela me mettait en colère parce que j'aimais les vacances, en particulier les repas faits maison. Je voulais désespérément manger tout ce qui il y avait dans mon assiette, mais mon esprit ne me laissait pas le faire.

Lorsque nous avions manqué de chaises, certains d'entre nous s'assirent sur le sol, y compris Harry et moi, Nathan, et les adolescentes d'oncle Robby et de tante Ruby, Brittany et Piper. Les jumeaux restèrent ensemble tandis que Nathan et Harry s'engagèrent dans une conversation animée.

"Mec, Titanic n'est pas aussi triste," dit Nat.

"Tout ce que je dis est que je ne suis pas un gars émotionnel, mais ce film fait brailler comme un bébé," dit Harry.

"Écoute," Nat se pencha, "L'astuce est, quand tu commence à être triste, rigole juste. Cela te rend pour un connard, mais tu ne verses pas une seule larme."

Harry rit. "C'est noté, mec."

Et ils se firent un check.

Maman marchait avec son assiette vide et sourit à Harry, pleine d'espoir. "J'espère que le repas ne t'a pas déçu."

Harry regarda vers elle, plissant les yeux contre le soleil avec son assiette presque vide sur l'herbe en face de lui. "Pas du tout. Cela a dépassé mes attentes."

Elle rit. "Eh bien, je suis heureuse que tu en profites."

"Je vous remercie beaucoup d'avoir laissé ma sœur et moi venir."

"Bien sûr."

Quand maman partit, Nat donna un coup de coude Harry. "Tu es un lèche cul, mec."

Harry ricana, donnant un haussement d'épaules innocent. "J'ai eu un bon repas."

Puis Nat rit.

Je levai les yeux et je vis Maman s'avancer pour parler à Gemma, Zac et Des, qui lui souriaient sincèrement. Je mordis ma lèvre inférieure, jetant un coup d'œil à la nourriture que j'avais à peine touché et joué avec le morceau de dinde. Mon esprit me criait dessus; Mon estomac grogna intensément. Les deux se battaient, et mon esprit avait gagné. Je retirai ma main et la serrai avec l'autre, en la plaçant sur mes genoux. Je n'avais pas remarqué que Harry m'observait, mais je n'étais pas surprise non plus.

Grosse || h.s. (vf)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant