CHAPTER XVI

4K 251 49
                                    

DES CRIS JOYEUX ET DES RIRES éclatèrent des enfants alors qu'ils couraient chassant l'autre, se captivant dans une vie innocente de cache-cache. L'envie soudaine de se joindre à eux juste pour la ruée d'être à nouveau jeune était exaspérant. Un grand sourire me faisait mal à mes joues à nouveau et mes yeux n'avaient pas la chance de se concentrer sur un jeu trop longtemps. Il y avait tellement de bonheur et d'excitation, c'était pratiquement contagieux.

Il y avait une maison gonflable à droite de la cour, et à gauche était le porche arrière où les parents se tenaient devant un gril, hululant et criant à un match de football à la télévision qu'ils avaient truquées à l'extérieur. Une femme d'âge moyen avec un maque de peinture de visage du thème de princesse donnait aux enfants leur propre visage fantastique, dont la plupart étaient Spiderman ou de papillon, selon le sexe. Sauf pour une petite fille qui avait obtenu sa peinture de visage pour ressembler à un masque rose de Batman.

Avec paillettes et brillants, bien sûr.

Desiree était dans une crise de fou rire lorsque je l'avais repéré. Elle venait obtenu sa peinture de visage faite, mais elle aidait la femme avec l'enfant suivant.

Ce fut quand Harry me vit, laissant échapper un gémissement ludique que Des couvrit son visage avec de la peinture et la femme lui tendit les paillettes.

"Oh mon," je m'étouffai dans un rire.

Ayant tout juste six ans, le masque de papillon de Des ne ressemblait pas exactement à un papillon. En bref, il y avait du violet sur du rose avec des lignes noires dans des endroits aléatoires. Toutefois, si vous penchez un peu la tête et regardez vraiment, un papillon de fortune était là --à peine, mais il l'était. Avec une quantité abondante de paillettes bleues et or, évidemment.

Desiree me vit et sourit, en agitant sa petite main frénétiquement. Je souris et levai la boîte ou logeait son présent. Ses yeux s'élargirent et elle haleta, oubliant totalement Harry alors qu'elle me le prit des mains.

"Oh, wow! Je vais le mettre avec les autres. Vous êtes, Madame Delilah!" Elle courut avant que je ne puisse même répondre.

Harry se redressa, loucha, puis alla se frotter l'œil. Je frappai sa main, cependant, et le regardai. "Tu plaisante? Tu ruines son chef-d'œuvre."

Il me donna un coup d'œil. "Ouais, eh bien son chef-d'œuvre est dans mon œil. J'ai l'impression qu'un tube entier de paillettes est coincé là-dedans."

Je relevai son menton pour pencher sa tête en arrière alors qu'il ouvrit ses yeux aussi large que possible. Voyant des paillettes sur la base de ses cils du bas, j'utilisai doucement mon pouce pour les enlever. Alors que je le faisait, je lui dis, "J'espère juste qu'être venu comme ça n'est pas désagréable. J'ai entendu toute cette agitation, alors je ne pensais pas que frapper à la porte serait très utile."

"Tout le monde est venu par la porte, pas de soucis. Honnêtement, je pense que certains enfants du voisinage au hasard sont ici parce que ce n'est pas possible que Desiree aime autant de gens," répondit-il avec un petit rire.

"Tu peux te rincer les yeux avec de l'eau dans le cas où je n'ai pas tout enlever."

"Plus tard. Comme tu l'as dit, je ne peux pas ruiner le chef-d'œuvre."

"C'est vrai qu'un chef-d'œuvre pareil," je remarquai, étouffant un rire.

"Si mauvais?"

"Une licorne pourrait tout aussi bien venir sur son visage."

"Au moins, c'est une licorne, hein?"

Je laissai échapper un rire, n'étant pas être en mesure de l'aider. C'était tellement décontracté quand il était question d'enfants, ou quand c'était question de quoique ce soit, vraiment. C'était étonnant, en fait. Être si facile à vivre n'était pas une qualité que les gens avaient comme ça. Ou s'ils l'étaient, j'avais de la chance dans le pool génétique. Néanmoins, pourtant, cela faisait d'Harry la véritable personne qu'il était. Il ne serait pas Harry s'il était pas aussi... détendu.

Grosse || h.s. (vf)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant