13-Nous avons passer la frontière

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Suite à l'annonce du voyage j'étais partie de la salle du cristal pour aller au marcher. Il y a quelque chose que je devais vraiment régler. Je sortie dehor en prenant soin de passer dans les coins d'ombre et j'arrivai finalement au marcher. J'en est vraiment marre là , je dois dormir avec les même vêtement que ceux que je porte chaque jour et ce depuis deux semaine ! Je rentrai dans le magasin de vêtement bien décider a en finir. Cela faisais à peine quelque seconde que je me trouvais dans le magasin que déjà une jolie Purreko ce précipitais sur moi pour me pousser dans une cabine dans le qu'elle il y avais une douche. Je me lavai sans rien dire plus amusé par la situation qu'autre chose. Un coup sortie j'essuya mon corps et divers sous-vêtement était lancer par le dessus de la cabine. Je choisis qu'elle ensemble et j'en enfila l'un d'entre eux. La tâche faite elle ouvris la porte et me fis sortir. J'étais évidement toujours en sous-vêtement ce qui me fis rougir quand un homme qui passait par là me fixa. Calme , calme , calme. Ne pas faire un meurtre. Je souffla un long coup et je regarda la Purreko qui sélectionais des vêtements de tout style. Elle me fixa quelque seconde ce retourna m'assis sur une chaise de coiffeuse. Elle brossa mes cheveux avec ces griffes , mes cheveux peigner elle me repoussa dans la cabine. Finallement après une longue heure de recherche je trouva mon bonheur.
Un petit top couleur framboisse qui m'arrivait sous ma poitrine , mais ce qu'il avait de si spécial était que les bandelletes qui couvrais mon vontre ce réchaufait quand la température ambiante refroidissais. Et sa c'était bien. Comme pantalon je ne pris qu'un simple jeans moulant dont le tissus me permetais de me mouvoir à ma guise. J'avais aussi pris des bottes à talon haut plein qui avait des sortes de sangle. Pour ce qui étais de quand je sortais au soleil je pris une cape noire épaisse et chaude. Je sortis du magasin non sans remercier la Purreko et je remarquai que le soleil était couvert par plusieur nuage. Je rentrai dans ma chambre exètuner par ma journée et je m'endormis en extenué par cette journée.

La pluie défairlait à un rytme toride et tout ensemble nous tentions de garder le bateau vers notre destination. Une vague géante s'éleva dans les airs et s'écrassa sur le bateau qui cette fois dériva pour de bon. L'eau qui s'infiltrai dans mes vêtement glissa et me poussa jusqu'à ce que je rencontre la terre ferme. Je levai la tête pour regarder l'endroit ou je me trouvais , je ne vue rien d'autre à tavers le brouillard de pluie qu'une île. Et je m'évanouis.

Je me reveilla en sursaut et portat la main à ma bouche pour m'empêcher d'hurler. Rassurer je regardai ma chambre délabrer avec de reposé la tête sur mon oreiller rassuré. Mais malgré tout un sentiment d'inquiètude enflais en moi , petit à petit. Je savais que dans tout les cas , il y aurait un grave accident.
Je me souvenais , tout les rêves que je faisais qui ce réalisais. La maison en feu , la femme qui mourrais... Le karaoké surprise de mon prof quand j'avais douze ans... Je m'endormis finalment dans un someil sans rêve.

L'heure du départ étais arrivé , tout les objets dont nous avions bessoin étais entreposé dans la cale. Je monta sur le bateau accompagné de mes amis et j'attendis le départ en regardant l'horizon. Avant le départ Jade m'avait donné de petite dague que j'avais dissimulé dans mes bottes. Pour ce qui étais de mes équipiers il c'était armé jusqu'au dent bien que de manière discrète. Jenny et Nevra avais pris toute sorte de dague et d'objet réserver à leur garde. Ezarel tant qu'à lui avais pris tout de sorte de potion , il avais même pris à mon grand étonement une petite dague qui était tout simplement magnifique. Ils avaient aussi chacun amené un sac avec quelque objet personelle. Dans mon cas j'avais amené trois crayon deux efface un cartable de dessin et un petit cahier que j'avais acheté pour écrire des poèmes ou des histoires. Je sentie une secouse me sortant ainsis de mes pensers et je regarda Jenny qui ce trouvais au côté de Nevra qui étais à la barre. Je m'assis sur un baril et je commença à dessiner. Quand je finis mon dessin je remarquai que j'avais dessiné Ezarel. Enervé je jeta mon cahier au sol et sans un mot je ferma les yeux pour écouter les bruits de la glace qui ce craquai sous le passage du bateau. Malgré ma cape le froid restais toujours aussi mordant , et d'un coup. Plus rien , un vent chaud éfleura mon visage et le bruit des vagues résona dans mes oreilles. Surprise j'ouvris les yeux et quand je vis ce qui s'affichait à moi j'échappa un cris de surprise à peine dissimulé. Le paysage qui étais au paravant glacial resemblais maintenant à celui que l'on avais l'été.

-Nous avons passer la frontière , dit la voix d'Ezarel. En nous dirigeant vers le Sud le temps c'est réchauffer. Compléta t'il.

Je ne dis rien et je me laissa bercée par le bruit des vagues avant de finallement m'endormir. Je sentie des bras m'entouré et m'emporté à une destination inconnu. Quand je sentie quelque chose de mouelleux sous moi je soupira paisiblement.

-C'est l'heure de manger ! Me réveillai un voix que je présumais être celle de Jenny.

Affamé je coura jusqu'à arrivé dans une pièce ou tout le monde étais regroupé. Comme un rapace je me jeta sur mon assiette et alors que j'allais la dévorer une main pris mon repas. Qu'est-ce que ? Je levai tête et je vis Ezarel me regarder sérieusement.

-Et la politesse tu connai ? Parce que sérieux tu t'en allait mangé comme un vrai porc.

-Ouais c'est sa , et moi je te dit de reposser cette assiette tout de suite sinon c'est toi que je vais mangé.

-Moi j'aimerais bien qu'une fille me mange , intervint Nevra.

-Ta ge*le Nevra , dis-je d'une même voix avec Jenny.

Je me retournai vers Ezarel qui n'avait toujours pas repossé mon assiette et je m'avança par dessus la table pour mettre mon visage près de celui d'Ezarel. Je plaça mon nez au creu de son oreille.

-J'avoue que de la raclette d'elfe , sa cerais pas mal.

-Et moi j'avoue moi aussi que ton dessin est pas mal. Tu m'espionne pour dessiner avec autant de précision mes traits ?

Je pris mon assiette de ces mains et je mangea en silence. Le repas terminer je me levai et sur le seuil de la porte je lâcha d'une voix mielleuse :

-Enfait , c'est limite si tu est plus beau sur papier qu'en réaliter.

Je ferma la porte et je rentra dans ma chambre pour m'endormir dans un someil profond sur mon lit plus confortable que celui qui ce trouvais dans ma chambre au QG.



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