Chapitre 19

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Je sortais de la somptueuse salle de bain. Il m'avait laissé un boxer et un chandail blanc qui était assez long pour me couvrir. Il m'arrivait à mi cuisse. Etre dans ses vêtement me faisait drôle.Il était quand même mon professeur à l'université.

Je descendis au rez de chaussé et le retrouva dans la cuisine.

- Te sens-tu mieux? Me demanda-t-il.

- Oui.

PDV HARRY

Je l'avais préparer des vêtements pour qu'elle se sente mieux.J'entendais l'eau de la douche couler et j'eus envie d'aller la rejoindre. Je l'imaginais nue, l'eau coulant sur son corps. Mon pantalon devint étroit et je chassais ses pensées perverses de ma tête. Non, pas maintenant, pas après ce qu'elle venait de vivre.

Je descendis dans la cuisine et préparais la table du petit-déjeuné.Quand j'eus fini, je me retournais et la vis. Elle était si sexy dans mes vêtements. J'avais envie de la prendre, maintenant mais j'essayais de me contrôler, un fois de plus.

Pas maintenant, pas maintenant, pas maintenant, me répétais-je sans cesse.

- Je voulais vous remercier, me dit-elle lentement.

- Tu n'as pas à me remercier, lui dis-je sincèrement.

Elle avala tout ce que contenait son assiette.

- Veux-tu qu'on aille au commissariat ?

- Non, je veux pouvoir oublier tout cela, m'apprit-elle.

Je hochais la tête, ne trouvant rien d'autre à dire. Un long moment de silence s'installa avant qu'elle ne le rompt.

- Je devrais m'en aller.

Je la regardais, je ne voulais pas qu'elle parte. Je tentais alors le tout pour le tout.

- Es-tu sûre? Voulus-je savoir.

- Oui.

- Tu devrais peut-être restée encore un peu chez moi, cela ne me dérange pas.

- Oui mais... je dois quand même m'en aller. Merci pour tout, sincèrement, dit-elle en se levant.

- Non! Attends, lui dis-je en l'arrêtant. Écoute, il serait vraiment préférable que tu restes ici. L'autre connard sait où tu vis.

A mes mots, elle tressaillit. Elle n'y avait visiblement pas pensé et c'est ce que j'avais espéré.

- Je...

J'attendis mais elle ne disait rien. J'avais gagné , elle allait rester avec moi. Cela allait être dur de rester près d'elle sans pouvoir rien faire avec elle, mais ça ne durera pas longtemps. Bientôt je l'aurais, elle sera mienne. Dans tout les sens du termes. Et rien qu'à cette idée, je durcis dans mon pantalon.

- Alors nous sommes d'accord, conclus-je.

Elle hocha la tête et je voyais qu'elle se sentait complètement paumée.

****

Il était 20h00 et la journée avait été longue. Elle était restée devant la télé et avait dormi assez longtemps. Elle me parlait que rarement et il fallait que je changeais ça. J'avais besoin de plus de contact avec elle.

Je m'assis donc à côté d'elle.

- Que veux-tu manger? Lui demandais-je.

- Je ne sais pas, dit-elle.

- Pizza ça te conviens?

- Oui.

Je passais la commande et revint m'installer près d'elle.

- Puis-je avoir un téléphone s'il vous plaît?





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