(J'adore parce que le média ne spoil rien tout nooooooon xD bonne lecture ^^' ♥)
Hier soir, j'ai parlé avec Jessica et depuis je me sens bien, ça fait vachement du bien ! Mais pour une raison que j'ignore je suis... tendu, je dois encore parler à Mathilde et depuis que je me suis rendu compte que j'ai des sentiments pour elle je ne sais pas, devoir lui parler tout seul, tous les deux, ça me fait bizarre. Je me comporte comme un gamin puceau qui n'a jamais approché une fille à plus de 10 m, enfin bref.
Je sais que Mathilde arrive avant tout le monde le matin, je ne sais pas pourquoi d'ailleurs, au début, Jess' était toujours la première arrivée, elle trainait avec Sophie et Sophia. Mais, quand Mathilde est arrivée, elle était la deuxième et de temps en temps Mathi' et Jess' restaient avec les deux rousses, mais ça restait rare.
Je suis donc parti plus tôt de chez moi pour arriver avant elle et avoir une chance de mettre les choses au clair avec elle car, ces derniers jours, j'ai été vraiment con de l'ignorer et je ne veux pas qu'elle pense qu'il y a un problème entre nous deux pour une x raison.
Je rentre dans le lycée quasi désert à cette heure-là et vois Mathilde à son casier. Je m'approche d'elle et me pose sur le casier à côté.
Moi : Salut.
Elle a un petit sursaut, ce qui me fait sourire.
Mathilde : Salut, tu m'as fait peur.
Moi : Excuse, ça va bien ?
Mathilde me regarde avec sérieux, en fait, je crois qu'elle est entrain de me jauger. Voir si je suis de bonne humeur ou non. Voir si je vais être gentil ou me comporter comme un connard et ça me fait chier de lui avoir donné cette appréhension.
Mathilde : Euh... Oui, ça va... Tu crois que l'on pourrait parler dans un endroit tranquille ?
What ? J'ai raté un truc là non ? C'est moi qui dois lui parler, pas l'inverse.
Moi : Euh... ouuaai, je suis plutôt hésitant mais, je dois lui parler aussi alors, suit moi.
On circule dans les couloirs pour aller dans un endroit que je connais et sur le chemin, je jette un coup d'œil vers Mathilde, elle regarde dans toutes les directions sauf la mienne et elle est impassible, froide, elle ne montre aucune émotion, en un mot, vu de l'extérieur je dirais qu'elle pourrait être, redoutable. Ouai, elle fait froid dans le dos avec ce regard.
Je souris et mets mon bras sur ses épaules. C'est seulement à ce moment qu'elle me regarde. Ça fait du bien d'avoir de nouveau ce regard bleu posé sur moi, je lui souris à nouveau et l'embrasse sur le front avant de la faire rentrer dans la salle de cours toujours déserte et souvent ouverte pour cause de travaux.
Je referme la porte derrière nous et mis le verrou. On ne sait jamais. J'allai parler, mais avant même que j'ouvre la bouche Mathilde parlait déjà.
Mathilde : Je sais pas ce que j'ai fais mais si un truc t'as déranger je suis désolée ok ? Et si on t'as dit un truc sur moi et bah sache que c'est pas vrai, j'ai rien fait je te jure !
Elle me sort ça d'une traite sans respirer une seule fois. Elle a les joues rouges et semble au bord de l'évanouissement par peur vis-à-vis de ma réaction. Elle reprent sa respiration et va de nouveau dire quelque chose, mais je la coupe dans son élan.
Moi : Oh, Mathilde, caaalme. Pourquoi tu te mets dans des états pareils pour rien ? Il n'y a rien. Je voulais te parler simplement pour te dire que j'étais désolé. Depuis samedi soir je t'ignore, mais ce n'est pas par rapport à ce que tu crois, je ne sais pas ce qui m'a pris. Je voulais simplement te demander pardon.
Mathilde : Tu es sûr ? Non, parce que c'est vrai quoi, t'as jamais été comme ça j'ai vraiment cru que j'avais fait quelque chose qui ne fallait pas et...
Moi : Matilde ! Tu n'as rien fait ! Il n'y a aucun problème, détend toi maintenant tu veux bien, tu me fais flipper, on dirait tu es au bord de l'infarctus.
Mathilde : Bah c'est quoi alors ?! Tu vas pas me dire que tu t'es comporté comme ça avec moi alors que j'ai rien fait, ça ne tient pas la route ! Je suis sûre que j'ai fais quelque chose, j'en suis sûre !
Et puis merde ! Elle ne veut pas se taire, moi je vais la faire taire ! Je l'attrape par les hanches, l'attire vers moi et frôle ses lèvres des miennes avant de l'embrasser à pleine bouche. Putain que c'est bon ! C'est tellement mieux que dans mes rêves. Le plus merveilleux c'est qu'elle répond à mon baiser, elle passe ses bras autour de mon cou puis une de ses mains passe dans mes cheveux. Elle entrouvre les lèvres donnant accès à ma langue pour mon plus grand plaisir. Je glisse ma langue contre la sienne, encore et encore, c'est tellement bon. Mes bras quittent ses hanches pour encadrer son visage. Je l'incline en arrière pour intensifier notre baiser, nos langues mènent une danse endiablée, nous sommes tous les deux haletants et moi je suis atrocement séré dans mon putain de jean.
Je retire ma langue et l'embrasse une dernière fois avant de nous arrêtés. On est tous les deux à bout de souffle, mon front est posé contre le sien et nous reprenons tous les deux notre souffle. Mathilde se lèche la lèvre puis se la mord, plus sexy tu meurs. Quant à moi, j'ai un implacable sourire plaqué sur le visage.
Moi : Tu n'as rien fait.
Elle rigole et ça me fais encore plus sourire. Son rire est juste merveilleux. Je veux l'entendre tous les jours si possibles. C'est un son juste, magnifique.
Mathilde : Non pas du tout, c'est vrai que je n'ai rien fait, pas même à l'instant.
Elle sourit de toutes ses dents.
Moi : Non, pas même à l'instant.
Mes mains redescendent sur ses hanches puis nous nous regardons dans les yeux. Plusieurs fois son regard revient sur mes lèvres et il en va de même pour moi. J'ai peur de ne pas pouvoir résister encore longtemps. Pour rompre le contact visuel avec son visage, je la prends dans mes bras et respire l'odeur de son parfum. Je ne sais pas ce que c'est mais il sent terriblement bon. Tout ce qui émane d'elle est merveilleux. J'avoue que si je la prends dans mes bras, c'est aussi parce que je la veux près de moi.
Je suis plus grand qu'elle de pas mal de tête et ça me fait sourire. Enfin, ça fait pas mal de temps que nous sommes enfermés ici et les autres doivent déjà être arrivés et ils doivent se demander où nous sommes.
Moi : Tu viens princesse ? Les autres doivent se demander où nous sommes.
Mathilde : Je te suis beau brun.
Elle sourit de toutes ses dents encore une fois. Je me dirige vers la porte, l'ouvre et laisse passer madame comme bon gentleman que je suis. Je referme derrière nous et nous partons rejoindre les autres.
Depuis que nous nous sommes éloignés, je trouve que ça fait vide et froid, je la veux encore près de moi alors je mets mes bras sur ces épaules comme quand nous étions arrivés sauf que cette fois elle me prend la main. Je ne dis rien et souris, pour changer.
Je vois le groupe au loin et avant qu'on arrive vers eux Mathilde, s'arrête net. Je me tourne vers elle et lui demande ce qui se passe.
Mathilde : Oh mon dieu ! On s'est embrassé alors que tu sors avec Jess' !
Moi : Ne t'inquiète pas, tout va bien on a rien fait de mal je t'expliquerais ce soir ok ?
Mathilde : C'est quoi encore cette histoire ? Vas y avant moi ça va faire bizarre si on arrive en même temps je vais directement devant la salle, je dirais à Jessica que j'ai raté mon premier bus à tout à l'heure.
Elle m'embrasse la joue avant de partir et me laisse là pour pas que les autres ne pause de question. Derrière j'entends le groupe m'appeler et je vais vers eux avec un énorme sourire niais mais rien à foutre.
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Quand elle est revenue
Teen FictionAdam, 17 ans, brun, yeux ténébreux, a sa petite vie tranquille. Sa meilleure amie d'enfance va revenir après des années de séparation. Un jeux de séduction va se mettre place, puis ils vont très vite se rapprocher plus que dans le temps. De la séduc...