Chapitre 5 ✅

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Notre arrêt arriva nous nous levions tous en même temps et nous sortions du train, bien évidemment l'autre pouffe les suivaient comme une bonne petite chienne.

Vu la manière dont elle s'habillait et les manières qu'elle faisait ça devait être une fille vraiment facile, une grosse pute quoi ! Je marchais encore plus vite que d'habitude pour pouvoir sortir plus vite d'ici et pour ne plus le voir lui sauf qu'une main douce et grande aux doigts fins vient entourer mon poignet.

Je me retournais et vis Justin et Kévin avec la blonde, je remarquais que c'est ce petit con qui c'est joué de moi hier qui me tenait fermement.

Justin: Bah alors Lise tu nous fuis ?
Moi: Ne m'appelle pas Lise Dis-je en dégageant mon poignet. Et non j'ai juste pas le temps de parler.
Kévin: Hum, je comprends en tout cas il a vraiment de la chance.
Moi: De quoi tu parles ?
La fille: Bah de celui qui ta fait l'énorme suçon dans le cou.

Putain de merde alors il est aussi gros que ça, je regardais vite fait Justin qui à perdu son sourire en coin pour laisser place à un visage fermé. Bim, bien fait pour ta gueule, sa t'apprendra à te jouer de moi.

Moi: Oh ! Euh oui. Dis-je en couvrant mon cou. Mais c'était exceptionnel ça n'arrivera plus jamais.
Kévin: Bah pourquoi ?
Moi: Parce que c'est qu'un con qui se joue de moi parce que le soir il est chez moi et la journée avec des pouffes dis-je en regardant en coin Justin.
Justin: Peut-être qui fait ça juste pour le plaisir. Ta raison il joue avec toi parce que vraiment il s'en bat les couilles de toi.

En entendant ses mots si dur et froid mon coeur à loupa un battement, je lui lançais un regard noir alors que lui me disait juste « ouais je m'en bas les couilles de toi" ». Eh oui je sais lire sur les lèvres mais à ce moment là j'aurais aimé ne pas savoir.

Je tournais les talons et je montais les marches quatre à quatre, je sentais ses putains de yeux noisette sur moi et sa voix rauque et sexy mais qui avait un pointe d'amusement m'appeler.

Je suis sorti du métro comme une flèche et j'ai couru jusqu'à chez moi, à mi-chemin j'ai dû retirer mes talons car ça me ralentissait

J'ai ouvert ma porte, jetée mes chaussures et je suis montée dans ma chambre, une larme à coulée après que j'ai refermée ma porte.

J'ai entendu ma mère monter mais j'ai pas voulu lui ouvrir elle m'aurait dit exactement la même chose qu'il y a 2 ans avant que ma vie soit bousillée par ce connard et que je sois totalement anéantie.

Après avoir pleurée les peu de larmes que j'avais encore dans mon corps, j'ai déverouillée ma porte et laissée ma fenêtre ouverte avant de partir sous la douche.

En entrant sous ma douche plus que brûlante j'avais ses mots dans la tête qui revenait sans cesse, tel une gifle dans la gueule pour me rappeler à quel point les mecs peuvent être cruel.

J'ai fais souffrir mon corps avec de l'eau brûlante comme mon cœur souffre à cause des mots de Justin.

Je suis sorti j'ai séchais ma peau meurtrie par l'eau chaude et j'ai enfilai mon shorty et mon t-shirt. Quand j'ai ouvert la porte un filet de buée sans et échappé, je n'avais pas le courage de descendre dans le salon et d'affronter l'interrogatoire de ma mère alors je suis retournée dans ma chambre qui était désormais plongée dans le noir.

Ma porte refermée, je me suis dirigée vers mon lit. Une main venue se plaquer sur ma bouche et une autre main à attrapée ma taille, mon dos à heurté brutalement le mur et mes yeux ce sont fermés instantanément.

Ça y est ça recommence, ils l'avaient relâcher et il m'avait retrouvé, il allait reproduire la même chose qu'il avait fait dans le passé.

Mes larmes ont coulée par centaine en revoyant la scène et un sanglot que j'aurais voulu étouffer s'échappa de mes lèvres et j'articulais la première chose qui me passais par la tête quand celui ci vint niché sa tête dans mon cou.

Moi: Je t'en supplie Larry me fait pas de mal. Articulais-je entre deux sanglots.

Il arrêta de bouger, retira sa tête de mon cou et la ramena juste en face de mon visage, ses yeux et son odeur me rappelais quelqu'un mais je ne voyais pas qui ça pouvait être à par lui.

Ce dernier trouva la lumière et l'alluma, la faible lumière qui s'en échappait me fis fermer les yeux pendant quelques instants. Quand je l'ai rouvrit mes yeux s'écarquillèrent en voyant celui qui me tenait fermement au mur.

Ses yeux noisette scrutais les miens qui devaient être rouge et bouffis à cause de mes larmes. Il enleva sa main de ma bouche et ses yeux descendit sur mon simple t-shirt qui m'arrivait à mi - cuisses avant de revenir dans mes yeux.

Justin: Qui est Larry ?
Moi: Putain sale con. Dis-je en le frappant. Tu m'as fais peur ! Ça va pas de rentrer chez les gens comme ça ! C'est personne.
Justin: Ta fenêtre était ouverte j'en ai profiter. Aller dit moi ? C'est ton mec ?
Moi: Ta gueule putain ! Et casse toi.

Il approcha son visage du mien, nos nez se touchaient et nos lèvres se frôlaient j'étais perturbée par se rapprochement et il le remarqua. Il approcha ses lèvres de mon oreille.

Justin: Pardon de t'avoir fait peur. dit-il avant de repartir par la fenêtre.

**désolée pour les fautes**

Il était mon présent - Justin Bieber Où les histoires vivent. Découvrez maintenant