It wasn't real... [HG]

11-•Une marque au fer rouge•

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Hey ! Je me suis rendue compte que j'avais postée deux chapitres d'affilés avec Peeta... Oups... Du coup je posterais deux chapitres avec Katniss
Et désolée si j'ai pas poster j'ai eue une panne d'inspi pas possible -_-'

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Après l'interview, Le président Snow vint me parler, me disant que cela n'était pas suffisant, que personne n'y croyait, me menaçant de lâcher une bombe dans le treize, tuant toute ma famille.
On m'a remise dans ma cellule et cette fois, ce n'est pas au venin des guêpes tueuses que j'ai était torturée. Cela faisait une semaine je crois bien, qu'ils ne me faisaient plus rien et je crue être enfin tranquille.
Je suis naïve, si naïve.
Mon corps endolori fut emmené dans une salle similaire à la première. Seuls les instruments de torturés changèrent et mon regard se rempli de désespoir en voyant les différents fouets empilés les uns sur les autres.
On m'attacha, j'étais trop faible pour bouger et de toute façon je savais que plus aucune issue n'était possible.
J'étais allongée sur le ventre, nue et sans défense. Mes cris de douleurs parcoururent mon corps et je pleurais, je pleurais, je hurlais, je suppliais. Le corps ensanglanté, ils rangèrent les fouets et je crue tout cela finit. Ils sortirent une barre de métal, qu'on venait de chauffée jusqu'à ce que le bout deviennent rouge, je ne pouvais plus crier. Seulement subir. On m'enfonça la bout du métal si fort sur mes épaules, ma colonne, mes reins. Je brûlais, je suffoquait. Ces marques au fer rouge qui resteront à jamais imprimées en moi. Le souvenir de ma souffrance, à vie.
On me remis dans ma cellule. Sans m'avoir soignée évidement.
C'est limite si je puis bouger.
Cette nuit fut douloureuse.
Johanna subissait bien pire que moi. Elle avait des informations qu'on ne m'avait pas communiqué. Pourquoi m'avait on mise à part ?
Nous entendions nos hurlements mutuellement. C'est horrible mais sa nous a rapprocher. On partage la souffrance. J'ai appris à aimée le silence comme je ne l'ai jamais autant aimée.
Un soir, alors que nous gémissions en silence, je m'autorisera à lui poser une question:
- Hé Johanna. Ma voix fut roque et lointaine, cela faisait une éternité que je n'avais pas parler.
- Quoi ? Elle grommelle.
- Pourquoi ne me dit on rien ? Pourquoi n'ai je pas le droit de savoir ? Que c'est il passer ?
Elle ne répond rien. J'en ai plus que marre, mais je me tait. Nous sommes surveillées vingt quatre heures sur vingt quatre et je peux comprendre qu'elle ne veille rien dire.
On revient me chercher pour une seconde interview avec Caesar.
Je laissais Eris s'occuper de moi en silence, qui discutée avec les stylistes des nouvelles quand une remarque m'interloqua:
- Vous avez entendus la nouvelle a propos du district treize ? Demande ma styliste.
- Non, pourquoi ? Je sais seulement que leurs vêtements sont de très mauvais goût... Dit mon deuxième styliste.
- Ce n'est pas en rapport avec la rébellion ? Demande Eris.
- SIIIIIII ! Sifflote ma styliste. Ça me fait mal aux tympans.
- Quoi ?
- Snow va attaquer le treize ! Lance t'elle.
Mon dieu. Le treize, Prim...
Morts ?
Je fais semblant de ne rien écouter et le concentre sur un magazine de vêtement à ma gauche.
- Ah bon ?! Quand ? Comment ? Demande mon styliste tout en me coiffant.
- Dans trois semaines, juste après la dernière interview de Katniss ! Je crois qu'il va lâcher des bombes. Enfin, nous serons débarrassés ! À cause d'eux nous n'avons même plus de quoi manger ! Les districts ne font plus leurs travail ! S'exclame t-elle, exaspérée.
J'ai limité envie de rire, si les gens du Capitole savaient ce que nous endurions !
Je suis si faible et si frêle que je ne sais pas comment ils vont me faire paraître en bonne santé, ou du moins en forme.

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- 10 secondes ! Lance le cameraman.